« Note sur la raison chez Cournot », in Revue de Métaphysique et de morale, t. 13, 1905, pp. 307-318. (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110592/f313.image)
« Le développement de la pensée de Cournot », in La Revue du mois, t. 12, 1911, pp. 404-427. (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68125r/f12.image)
« Le hasard chez Aristote et chez Cournot », in Revue de Métaphysique et de morale, t. 10, Paris, 1902, pp. 667-681. (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110561/f671.image)
« La définition du hasard de Cournot », in Revue philosophique de la France et de l'étranger, t. 72, 1911, pp. 136-159. (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k172112/f140.image)
« La science et la religion chez Cournot », in Bulletin de la Société Française de Philosophie, 1911, pp. 83-104. (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68125r/f114.item)
« Cournot et le pragmatisme scientifique contemporain », in Scientia, t. 10, 1911, pp. 370-380. (https://amshistorica.unibo.it/7)
« Essai sur la classification des sciences, par M. Goblot », in Revue de métaphysique et de morale, t. 7, 1899, pp. 325-346. (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110530/f325.image)
« Le raisonnement géométrique et le syllogisme », in Revue philosophique de la France et de l’étranger, t. 44, 1897, pp. 364-389.
« Science grecque et science modern », in Séances et travaux de l’Académie des sciences morales et politiques : Compte-rendu, t. 60, 1904, pp. 335-368. (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2992571/f343.item.r=Cournot)
Charle, Christophe, « 79. Milhaud (Samuel, Gaston) », in, Les professeurs de la faculté des lettres de Paris – Dictionnaire biographique 1909-1939, Paris, Institut national de recherche pédagogique, 1986, pp. 160-161. (https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1986_ant_2_2_2772)
« L’ensemble de la science mathématique, résumé des idées d’Auguste Comte », in La Philosophie Positive, t.27, Paris, 1881, pp. 165-186. (http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77898v/f165.image)
Christian Marbach, « Langlois, X 1806, reporter de guerre et/ou historien », Bulletin de la Sabix [En ligne], 52 | 2013 (http://sabix.revues.org/1165)
Etat-Civil :
Pinet est né à Paris le 15 juin 1844. Il meurt à Paris le 21 novembre 1918.
Formation :
En 1864, il entre à l’École Polytechnique.
En 1866, il intègre l’École d’Application de l’Artillerie et du Génie.
Carrière scientifique :
Le 1er décembre 1868, il est Lieutenant en second du 10ème régiment d’artillerie.
Le 26 juillet 1869, il est Lieutenant en second de la 8ème compagnie d’ouvriers d’artillerie.
Le 6 août 1869, il est Lieutenant en second du 10e régiment d’artillerie.
Le 24 octobre 1870, il est Lieutenant du 10e régiment d’artillerie.
Le 20 avril 1872, il est Capitaine en second à Rennes.
Le 30 aout 1872, il est Capitaine en second à l’École de Pyrotchenie.
Le 21 octobre 1873, il est Capitaine en second du 35ème régiment d’artillerie.
Le 11 mai 1875, il est Capitaine en second du 26ème régiment d’artillerie.
Le 3 janvier 1876, il est Capitaine du 4ème régiment d’artillerie.
Du 29 mars 1880 au 17 avril 1884, il est Inspecteur des Études à l’École Polytechnique.
Du 17 avril 1884 au 1er juillet 1887, il est Capitaine du 2e Bataillon d’artillerie de forteresse.
Du 1er juillet 1887 au 18 Juillet 1894, il est Chef d’Escadron du 1er régiment de pontonniers.
Du 18 juillet 1894 au 6 avril 1896, il est Chef d’Escadron du 4ème régiment d’artillerie.
Du 6 avril 1896 au 20 mai 1898, il est Chef d’Escadron à l’État-Major.
De 1900 à 1913, il est Bibliothécaire de L’École Polytechnique.
Engagements sociaux, civiques et politiques :
Aucune information.
Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sicences :
L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Pinet débute en 1881 et cesse en 1881. Elle se déploie exclusivement dans la revue La Philosophie Positive. Elle se compose d’un article de fond et représente la totalité de la production de l’auteur dans le périodique.
[1] La mathématique concrète porte sur les phénomènes géométriques et mécaniques. Elle a un caractère de physique expérimentale. Elle se compose ainsi des sciences géométriques et des sciences mécaniques.
[2] La mathématique abstraite porte sur des relations numériques. Elle a un caractère essentiellement rationnel. Elle se compose ainsi de l'analyse mathématique.