1
40
11
-
Acteur
Un individu.
Nom
André
Prénom
Louis Joseph Nicolas
Année de naissance
1838
Année de décès
1913
Ville Naissance
Nuits-Saint-Georges
Ville Décès
Dijon
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Polytechnique
École d'application de l'artillerie
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Metz
Date Établissement ou Lieu de Formation
1857
1859
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Militaire
Commentaire Profession
En 1861, il est lieutenant en second au 9e régiment d'artillerie.
En 1867, il est capitaine en second au 7e régiment d'artillerie.
En 1870, il est affecté à l'École de pyrotechnie et à la Commission d'expériences de Bourges.
En 1877, il est chef d'escadron au 34e régiment d'artillerie.
En 1885, il est lieutenant-colonel à Grenoble, puis colonel en 1888.
En 1893, il est nommé général de brigade.
De 1894 à 1896, il est commandant de l'École polytechnique.
En 1899, il est général de division commandant la 10e division de l'École polytechnique.
De 1900 à 1904, il est nommé ministre de la Guerre.
En 1902, il est conseiller général du canton de Gevrey-Chambertin.
Ville Exercice Professionnel
Bourges
Paris
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1868
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1883
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<p>Quelques polytechniciens (X) dans l'affaire Dreyfus par Hubert Lévy-Lambert (X 53) : <a href="http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html</a></p>
<p>Heilbron, Johan, « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm" target="_blank" rel="noreferrer">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)</p>
<p><span>Comité des travaux historiques et scientifiques : <span>CTHS-La France savante, <span>Diane Dosso, Bruno Delmas : <a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#" target="_blank" rel="noreferrer">http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#</a></span></span></span></p>
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/29" target="_blank" rel="noreferrer">De l'esprit métaphysique en géométrie</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 3, Paris, 1868, pp. 265-277. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77874v/f266.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77874v/f266.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/30" target="_blank" rel="noreferrer">Le spiritualisme et l'école expérimentale</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 4, Paris, 1869, pp. 135-153. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f134.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f134.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/31" target="_blank" rel="noreferrer">Variétés. Le postulatum d'Euclide à l'Académie des sciences</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 6, Paris, 1870, pp. 310-311. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f313.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f313.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/32" target="_blank" rel="noreferrer">De l'Espace</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 11, Paris, 1873, pp. 169-184. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77882g/f168.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77882g/f168.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/33" target="_blank" rel="noreferrer">De la Matière, de la Vie et de l'Esprit</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 12, Paris, 1874, pp. 32-58. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77883t/f33.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77883t/f33.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/45" target="_blank" rel="noreferrer">Sur l'établissement des lois numériques</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 339-362. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f338.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f338.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/46" target="_blank" rel="noreferrer">Études critiques de philosophie mathématique</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 243-273. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f242.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f242.item</a>)</p>
« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/47" target="_blank" rel="noreferrer">Bibliographie. Annuaire du bureau des longitudes</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a>, </em>t. 7, Paris, 1871, pp. 174-176. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f173.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f173.image</a>)
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
8
Commentaire Général
<p>André, Louis Joseph Nicolas (1838-1913) publie ses articles dans <em>La Philosophie positive</em> sous le pseudonyme de Louis André-Nuytz. Il souligne dans « De l'esprit métaphysique en géométrie » p. 277 : « Je prie mes lecteurs de ne pas considérer ce nom comme un masque destiné à arbriter ma personnalité. Je le prends, au contraire, pour préserver mes nombreux homonymes de la confusion qui pourrait s'établir entre nous. Louis André. »<br />En 1883, il publie deux articles sous le pseudonyme de Gauvain-Gavignon (source : <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f460.item" target="_blank" rel="noreferrer">T</a><span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f460.item" target="_blank" rel="noreferrer">able Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, p.461)</span>. </p>
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
École de pyrotechnie
École polytechnique
Attache Institutionnelle
Oui
Statut Prof. reconstitué
Militaire-Philosophe
Autre Publication
<p><span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par André dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f475.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 16, Paris, 1876, p. 475 et dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f460.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 31, Paris, 1883, p. 461.</span></p>
Date Profession
1861-1904
Nom Attache Institutionnelle
Société de Sociologie
Société de sociologie de Paris
Société positiviste internationale
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><strong><br /><br /></strong>André est né à Nuits-Saint-Georges le 29 mars 1858. Il meurt à Dijon le 20 mars 1913.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span><strong> :</strong><strong><br /><br /></strong>Après des études au Lycée de Dijon et au Collège Sainte Barbe, il intègre l'<span>École Polytechnique en 1857.<br /></span>En 1859, il est élève à l'<span>École d'application du génie et de l'artillerie de Metz. <br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span><strong> :<br /><br /></strong></span>En 1861, André est nommé lieutenant en second au 9e régiment d'artillerie.<br />En 1867, il est nommé capitaine en second au 7e régiment d'artillerie.<br />En 1870, il est affecté à l'École de pyrotechnie et à la Commission d'expériences de Bourges.<br />En 1877, il est chef d'escadron au 34e régiment d'artillerie.<br />En 1885, il est lieutenant-colonel à Grenoble, puis colonel en 1888.<br />En 1893, il est nommé général de brigade.<br />De 1894 à 1896, il est commandant de l'École polytechnique.<br />En 1899, il est général de division commandant la 10e division de l'École polytechnique.<br />De 1900 à 1904, il est nommé ministre de la Guerre.<br />En 1902, il est conseiller général du canton de Gevrey-Chambertin.<br />André participe à l'établissement des nouvelles méthodes de tir, aux études relatives à la mélimite, et à la confection des cartouches du nouveau fusil dit Lebel. Il prend part aux recherches théoriques sur l'aviation et publie en 1865 <em>De la navigation aérienne et de l'aviation</em>. Il publie ses recherches en sciences-militaires dans la <em>Revue d'artillerie</em> et <em>L'Armée Moderne</em><a href="#_ftn1" title="">[1].<br /><br /><br /></a><strong><span style="text-decoration:underline;">Engagements sociaux, civiques et politiques</span> :</strong></p>
Suite à sa participation aux combats de Champigny et du Bourget, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1871. En 1903, il est décoré de la médaille militaire. <br />Dreyfussard, il prend la défense des officiers républicains « dont la carrière avait souffert du fait de leur prise de position dans l'Affaire, contre les attaques des éléments réactionnaires. À cet effet, il confia à son chef de cabinet le général Percin et son ordonnance le capitaine Mollin, membre du Grand Orient, la constitution d'un système de fiches relatant les opinions politiques et religieuses des officiers. 25000 fiches furent ainsi constituées à l'aide d'informations transmises par la hiérarchie militaire quelquefois aidée par les francs-maçons. La découverte de certaines fiches par deux députés nationalistes, Guyot de Villeneuve et Gabriel Syveton, mit le feu aux poudres. En octobre 1904, ces derniers attaquèrent violemment André à la Chambre des députés, l'accusant d'avoir instauré un système de délation et utilisé les fiches pour décider de la carrière des intéressés et allant jusqu'à le frapper. Malgré l'appui de Jaurès, il dut démissionner en novembre 1904, entraînant le gouvernement Combes dans sa chute. » (Lévy-Lambert, Hubert (2006))<br /><strong><br /><br /><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</span> :<br /><br /></strong>L'activité éditoriale en philosophie des sciences d'André débute en 1868 et cesse en 1883. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 6 articles de fond et 2 recensions. Elle représente 53% de la production totale de l'auteur dans le périodique. <br /><ul><li>
<p>4 articles de fond et 1 recension sont consacrés à la philosophie positive des sciences mathématiques. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/29" target="_blank" rel="noreferrer">André (1868)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/31" target="_blank" rel="noreferrer">André (1870)</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/32" target="_blank" rel="noreferrer">André (1873)</a> ont pour objectif principal de faire la preuve que les premiers principes de la géométrie sont des généralisations de l’expérience établies à partir d’un processus d’abstraction inductif. Ainsi, l'espace géométrique, conçu positivement comme un artifice logique sans aucune valeur ontologique, est l'abstraction subjective de la propriété objective qu'à la matière d'être étendue. L'auteur est ainsi conduit à éliminer les résidus métaphysiques (en particulier la croyance en l'existence de l'espace) qui se trouvent aux fondements de la géométrie. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/46" target="_blank" rel="noreferrer">André (1883)</a> restitue aux sciences mathématiques leur caractère de sciences naturelles. Il est alors amené à corriger, modifier et compléter les considérations de Comte sur la mathématique (division, définition, classification et organisation des sciences mathématiques). André, à l'instar de <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/48" target="_blank" rel="noreferrer">Littré</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/11" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff</a>, entretient une interprétation phénoméniste extrêmement stricte de la philosophie positive. </p>
</li>
<li>
<p>2 articles de fond sont consacrés à une présentation et défense des principes et méthodes fondamentales du système positiviste (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/30" target="_blank" rel="noreferrer">André (1869)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/33" target="_blank" rel="noreferrer">André (1874)</a>). Il convient de souligner qu'en 1868, André publie une brochure <a href="https://archive.org/details/lepositivismepo00andrgoog" target="_blank" rel="noreferrer"><em>Le Positivisme pour tous</em></a> (préface de Littré) dédiée à un exposé élémentaire des principes et méthodes fondamentales de <em>La Philosophie positive. </em></p>
</li>
<li>
<p>1 recension est dédiée à un périodique d'actualité scientifique : <em>L'Annuaire du Bureau des Longitudes </em>(<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/47" target="_blank" rel="noreferrer">André (1871)</a>)</p>
</li>
</ul><p><br />De 1872 à 1874, André est membre de la première Société de sociologie. Il est membre de la Société positiviste internationale et de la Société de Sociologie de Paris.<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Source</span> :<br /><br /></strong>- Dosso, Diane et Delmas, Bruno, Comité des travaux historiques et scientifiques : CTHS-La France savante. (<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#" target="_blank" rel="noreferrer">http://cths.fr/an/savant.php?id=12012</a>)<br /><br />- Heilbron, Johan (2007), « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm" target="_blank" rel="noreferrer">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)<br /><br />- Lévy-Lambert, Hubert (2006), « Quelques polytechniciens (X) dans l'affaire Dreyfus », in <i>La Jaune et la Rouge</i>, 2006, pp. 60-65. (<a href="http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html</a>)<br /><br /><br /></p>
<div>
<p><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Ces informations sont données par Dosso, Diane et Delmas, Bruno, Comité des travaux historiques et scientifiques : CTHS-La France savante (<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#" target="_blank" rel="noreferrer">http://cths.fr/an/savant.php?id=12012</a>)</p>
<div></div>
</div>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
André, Louis Joseph Nicolas (1838-1913)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Clavel
Prénom
Adolphe Charles
Année de naissance
1815
Année de décès
1881
Ville Naissance
Grenoble
Ville Décès
Bouhans-les-Autrey
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de Médecine
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Inconnue
Date Établissement ou Lieu de Formation
Inconnue
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Doctorat de Médecine
Date Doctorat
1843
Titre Doctorat
Inconnu
Profession
Médecin
Publiciste
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Inconnu
Ville Exercice Professionnel
Paris
Date Profession
1844
Statut Prof. reconstitué
Médecin-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1872
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1872
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/76" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Herbert Spencer, Classification des Sciences</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.9, Paris, 1872, pp. 295-299. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f296.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f296.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Autre Publication
<span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Clavel dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f476.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 16, Paris, 1876, p. 476 et dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f461.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 31, Paris, 1883, p. 462.</span>
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat-Civil</strong></span> :<br /><br />Clavel est né le 27 février 1815 à Grenoble. Il meurt le 26 mars 1881 à Bouhans-les-Autrey<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span> :<br /><br />Il réalise ses études à la Faculté de médecine.<br />En 1843, il est docteur en médecine.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span> :<br /><br />Aucune information.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Engagements sociaux, civiques et politiques</strong></span> :<br /><br />Aucune information.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sicences</strong></span> :<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Clavel débute en 1872 et cesse en 1872. Elle se déploie exclusivement dans la revue <i>La Philosophie Positive</i>. Elle se compose d’un compte-rendu et représente la totalité de la production de l’auteur dans le périodique.<br /><br /><ul><li>
<p>Un compte-rendu en philosophie généraliste des sciences consacré à la présentation et discussion de la classification des sciences de Spencer. La critique de Clavel se focalise principalement sur les principes méthodologiques et épistémologiques à partir desquels Spencer établit une distinction entre les sciences abstraites, concrètes-abstraites et concrètes (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/76" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Clavel (1872)</a>).</p>
</li>
</ul>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Clavel, Adolphe Charles (1815-1881)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Guiraud
Prénom
Aristide
Année de naissance
18??
Année de décès
1???
Ville Naissance
Inconnue
Ville Décès
Inconnue
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Inconnu
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Inconnue
Date Établissement ou Lieu de Formation
Inconnue
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Inconnue
Ville Exercice Professionnel
Oran
Date Profession
Inconnue
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Société de géographie et d'archéologie de la province d'Oran. Journal des travaux de la Société
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1877
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1877
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/72" target="_blank" rel="noreferrer">Galilée, Étude sur sa vie et ses découvertes</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.18, Paris, 1877, pp. 19-40 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77889w/f18.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77889w/f18.item</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Autre Publication
<span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Naquet dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f481.item" target="_blank" rel="noreferrer"></a><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f462.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 31, Paris, 1883, p. 463.</span>
Fiche Complète
Non
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span><strong> :<br /><br /></strong>Aucune information<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Engagements sociaux, civiques et politiques</span> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</span> :<br /></strong><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Guiraud débute en 1877 et cesse en 1877. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose d'un article de fond et représente 50% de la production totale de l’auteur dans le périodique. </p>
<ul><li>Un article de fond d'histoire et de médiation des sciences consacré aux découvertes et théories astronomiques de Galilée (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/72" target="_blank" rel="noreferrer">Guiraud (1877)</a>). </li>
</ul>
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Inconnu
Commentaire Général
Plusieurs informations à propos d'Aristide Guiraud sont disponibles :<br /><br />En 1852, un Guiraud soutient une thèse à l'école de pharmacie (De l'action des oxydes de potassium de sodium et de baryum, sur le rouge cinchonique, et d'un nouveau mode d'obtenir du sulfate de quinine (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6372414w" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6372414w</a>)).
<p>En 1866, il publie <em>Notice sur l'hygiène et les eaux minérales </em>(<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58491198" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58491198</a>). On apprend qu'il est pharmacien à Chalon-Sur-Saône et membre de plusieurs Sociétés de Chimie et de Pharmacie.<br /><br />En 1877, <em>La Philosophie positive</em> publie une lettre de Guiraud adressée à l'examinateur de la marine A. Ledieu. La lettre est envoyée d'Oran. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778903/f153.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778903/f153.image</a>)<br /><br />En 1878, il publie un article sur <em>Alexandre de Humboldt</em> dans le <em>Bulletin de la Société de Géographie et d'Archéologie d'Oran.<br /></em></p>
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Guiraud, Aristide (18??-1???)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Littré
Prénom
Émile
Année de naissance
1801
Année de décès
1881
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de Médecine
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Philologue
Lexicologue
Politicien
Publiciste
Statut Prof. reconstitué
Publiciste-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer">Les Trois philosophies</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 1, Paris, 1867, pp. 5-30. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f4.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f4.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/51" target="_blank" rel="noreferrer">Les Hypothèses positives de Cosmogonie</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 9, Paris, 1872, pp. 343-371. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f344.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f344.image)</a></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/52" target="_blank" rel="noreferrer">De la Logique Formelle. Liard, Revue Philosophique de la France et de l'étranger</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 18, Paris, 1877, pp. 456-461. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77889w/f455.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77889w/f455.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/229" target="_blank" rel="noreferrer">Transrationalisme</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.24, Paris, 1880, pp. 33-51. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f31.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f31.item</a>)</p>
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>La science au point de vue philosophique</em>, éd. Didier et Ce, Paris, 1873. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f1.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f1.item</a>)</p>
Autre Publication
<p>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Littré dans <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em>dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f479.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 16, Paris, 1876, pp. 479-481 et dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f463.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 464-465.</p>
<p>« Cosmos, essai d’une description physique du monde, par Alexandre de Humboldt », in <em>Revue germanique</em>, Paris, 1858. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f12.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f12.item</a>)</p>
<p>« Discours sur l’étude de la philosophie naturelle », in <em>Le National</em>, Paris, 1835. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f55.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f55.item</a>)</p>
<p>« Les étoiles filantes », in <em>Revue des Deux Mondes</em>, Paris, 1852 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f66.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f66.item</a>)</p>
<p>« Ampère et l’électro-magnétisme », in <em>Revue des Deux Mondes</em>, Paris, 1837. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f96.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f96.item</a>)</p>
<p>« Résumé des nouvelles recherches des géomètres sur la chaleur de la Terre », in <em>Revue républicaine</em>, Paris, 1834. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f121.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f121.item</a>)</p>
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1867
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1880
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
4
Nom Attache Institutionnelle
Société de sociologie
Biographie
<b><span style="text-decoration:underline;">État Civil</span> :<br /><br /></b>Émile Littré est né à Paris le 1<sup>er</sup> février 1801. Il meurt à Paris le 2 juin 1881.<br /><br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Formation</span> :<br /><br /></b>De 1822 à 1827, il étudie à la Faculté de Médecine de Paris.<br />En 1827, suite au décès de son père, Littré abandonne les études de médecine et donne des cours de latin et de grec pour subvenir aux besoins de sa famille.<br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Carrière scientifique</span> :<br /><br /></b>De 1831 à 1851, il est l’un des principaux rédacteurs du journal <i>Le National</i>.<br />En 1836, il débute sa collaboration à la <i>Revue des deux Mondes</i>.<br />De 1839 à 1862, il réalise la traduction d’Hippocrate.<br />En 1862, il débute la traduction de l’<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2820810" target="_blank" rel="noreferrer"><i>Histoire naturelle</i></a> de Pline l’Ancien.<br />De 1847 à 1865, il rédige le <i>Dictionnaire de la langue française</i>.<br />En 1870, il est nommé par Gambetta professeur d’histoire et de géographie à l’École polytechnique. Son cours est publié dans <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f380.image" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1870)</a>.<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f380.image)"><br /></a>Le 30 décembre 1871, il est élu à l’Académie française.<br /><br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Engagement sociaux, civiques et politiques</span></b><b> :<br /><br /></b>Lors de la Révolution de juillet 1830, Littré s’engage du côté des insurgés.<br />En 1848, il est conseiller municipal de Paris.<br />De 1871 à 1881, il endosse des responsabilités politiques. Du 8 février 1871 au 7 mars 1876, il est élu représentant de la Seine à l’Assemblée nationale. Du 15 décembre 1875 au 2 juin 1881, il est élu sénateur.<br />En 1875, il est reçu, avec <i>Grégoire Wyrouboff </i> (1843-1913) et Jules Ferry (1832-1893), par le Grand Orient de France (loge « La Clémente Amitié ») et devient franc-maçon.<br /><br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences :<br /><br /></span></b>En 1840, il découvre les travaux d’Auguste Comte et devient un disciple militant de la philosophie positive.<br />En 1844, il publie six articles sur la philosophie positive dans <i>Le National</i>.<br />En 1849, il rédige onze articles dans <i>Le National</i> sur « l’application de la philosophie positive au gouvernement des sociétés et en particulier à la crise actuelle ». Ces articles sont réunis dans le recueil <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k86046c" target="_blank" rel="noreferrer"><i>Conservation, Révolution, Positivisme</i></a>.<br />En 1863, il publie <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k954949" target="_blank" rel="noreferrer"><i>Auguste Comte et la philosophie positive</i></a>.<br />De 1835 à 1858, il publie plusieurs articles de vulgarisation dans la <i>Revue républicaine</i>, la <i>Revue des deux mondes</i>, et la <i>Revue germanique</i>. Ces articles sont réunis dans <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700" target="_blank" rel="noreferrer"><i>La science au point de vue philosophique</i></a>.<br />En 1852, Littré s’oppose à la religion positiviste et à la méthode subjective développées par Comte dans le <i>Système de Politique positive</i>. Il est alors accusé par le père du positivisme « de faire un schisme positiviste ». Littré devient ainsi le représentant d’un positivisme hétérodoxe, antireligieux et républicain.<br />En 1867, en collaboration avec <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/11" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff</a>, il participe à la fondation et au fonctionnement de la revue <i>La Philosophie Positive</i>. En 1872, il participe à la fondation de la première Société de sociologie<a href="#_ftn1" title="">[1]</a> dont l’objectif premier est une étude scientifique des problèmes sociaux et politiques<a href="#_ftn1" title="">[2]</a>.<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Littré débute en 1867 et cesse en 1880. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 3 articles de fond et 1 recension. Elle représente ainsi 2% de la production totale de l’auteur dans le périodique<a href="#_ftn1" title="">[3]</a>.
<ul><li>2 Articles de fond sont consacrés à une présentation des méthodes et principes fondamentaux de la philosophie positive. Dans son article programmatique (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1867)</a>), Littré propose une interprétation scientiste et phénoméniste du positivisme qui constitue le schème conceptuel et le cadre théorique à partir desquels se structure le périodique. Cette interprétation est reprise par <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13#_ftn1" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff (1867)</a>. En 1880, à travers l’analyse du concept cournotien de transrationalisme, Littré revient sur certains principes fondamentaux du positivisme (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/229" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1880)</a>).</li>
<li>1 Article de fond porte sur les hypothèses positives de Cosmogonie. La nature, la valeur et les limites de ces hypothèses sont examinées à partir de la théorie contienne des hypothèses scientifiques (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/51" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1872)</a>).</li>
<li>1 Recension est dédiée aux interventions de Louis Liard sur la logique formelle publiées dans la <i>Revue Philosophique de la France et de l’étranger</i>. Cette recension permet à Littré non seulement de présenter aux lecteurs les travaux en logique de Raymond Lull, Boole et Stanley Jevons, mais aussi de réaffirmer la nature expérimentale des principes fondamentaux de la logique (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/52" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1877)</a>).</li>
</ul><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Source</strong></span> : <br /><br /><br />- Gouhier Henri. <em>Émile Littré et la philosophie</em>, in <em>Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres</em>, 125ᵉ année, n°4, 1981. pp. 606-615. (<a href="http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1981_num_125_4_13890" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1981_num_125_4_13890</a>)<br /><br /><span>- Heilbron, Johan (2007), « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in </span><em>Revue française de sociologie</em><span>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (</span><a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a><span>)</span><br /><div><br />- Robert, Adolphe, Bourloton, Edgar et Cougny, Gaston (1889, <em>Dictionnaire des parlementaires français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889</em>, éd. Bourloton, Paris, 1889-1891 : (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081</a> / <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a>)<br /><br /><br /></div>
<div>
<div><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Parmi les 26 membres fondateurs, 3 ont une activité dans le champ de la philosophie des sciences au sein de <i>La Philosophie positive </i>: <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/28" target="_blank" rel="noreferrer">Louis André (1838-1913)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/11" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/55" target="_blank" rel="noreferrer">Stupuy Hippolyte (1832-1900)</a>. La première séance de la Société ainsi que son règlement et ses membres sont publiés dans Littré, Émile, « Fondation d'une Société de Sociologie », in <em>La Philosophie positive</em>, t. 8, 1872.(<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image</a>)<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[2]</a> Pour une étude historiographique et prosopographique de la Société, nous renvoyons le lecteur à Heilbron (2007).<br /><br /><div>
<div><a href="#_ftnref1" title="">[3]</a> Littré totalise 181 interventions dans <i>La Philosophie Positive</i> (articles, notes, commentaires, recensions, lettres). Heilbron (2007), p. 316.
<div></div>
</div>
</div>
</div>
</div>
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Littré, Émile (1801-1881)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Naquet
Prénom
Alfred
Année de naissance
1834
Année de décès
1916
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de Médecine
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Agrégation de chimie
Date Agrégation
1863
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Doctorat de Médecine
Date Doctorat
1859
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Montpellier
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1853-1855
1855-1862
Ville Naissance
Carpentras
Ville Décès
Paris
Licencié
Oui
Type Licence
Licencié ès Sciences-Physiques
Date Licence
1857
Titre Doctorat
Application de l'analyse chimique à la toxicologie
Profession
Professeur de Sciences Chimiques
Ville Exercice Professionnel
Palerme
Paris
Attache Institutionnelle
Oui
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1867
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1868
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/5" target="_blank" rel="noreferrer">De l’affinité</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.1, Paris, 1867, pp. 313-321. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f312.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f312.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/10" target="_blank" rel="noreferrer">De l'atomicité</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a>, t.2, Paris, 1868, pp. 85-107. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f88.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f88.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
2
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
Chabaud, Jean-Paul, <em>Alfred Naquet (1834-1916), Parlementaires Comtadin, « Père » du Divorce</em>, éd. Études Comtadines, Paris, 2002.
<p>Naquet Alfred, Ancien sénateur du Vaucluse : <a href="https://www.senat.fr/senateur-3eme-republique/naquet_alfred1708r3.html" target="_blank" rel="noreferrer">https://www.senat.fr/senateur-3eme-republique/naquet_alfred1708r3.html</a></p>
<p>Adolphe Robert, Edgar Bourloton et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889, éd. Bourloton, Paris, 1889-1891 : <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081</a> / <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a> </p>
<p>Base de données des députés français depuis 1789 : <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a></p>
Correspondance
Correspondance de Duhem, Pierre
Commentaire Correspondance
Lettre d'Alfred Naquet à Pierre Duhem. Naquet désire savoir s'il est possible de se procurer les interventions de Duhem sur la mécanique chimique et la chimie physique.
Autre Publication
<p>«La Discussion de MM. Wurtz, Deville et Berthelot », in <em>Le Moniteur scientifique</em>, t.19, Paris, 1877, pp.801-804. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215200m/f800.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215200m/f800.image</a>)</p>
<p>« Sur la Constitution de la Matière », in <em>Le Moniteur scientifique</em>, t.56, Paris, 1900, pp.481-489. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215233s/f64.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215233s/f64.image</a>)</p>
<p>« Une Crise dans la science », in <em>Le Moniteur scientifique</em>, t.60, Paris, 1904, pp.321-330. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152400/f321.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152400/f321.image</a>)</p>
<p>« L’Énergie. A propos de l’Ouvrage de W. Ostwald », in<em> Le Moniteur scientifique</em>, t.75, Paris, 1911, pp.777-784. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152557/f360.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152557/f360.image</a>)</p>
<p><span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Naquet dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f481.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 16, Paris, 1876, p. 481 et dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f464.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 31, Paris, 1883, p. 465.</span></p>
Nom Attache Institutionnelle
Société Chimique de Paris
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Institut technique
Faculté de Médecine
Statut Prof. reconstitué
Chimiste-Philosophe
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><strong><br /><br /></strong>Alfred Naquet est né à Carpentras le 6 octobre 1834. Il descend d'une famille israélite. Il meurt à Paris le 11 novembre 1916.<br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Formation</strong></span><strong> :</strong> <br /><br />Naquet suit des études au Collège de Carpentras. En 1851, il obtient son baccalauréat ès lettres. <br /><br />En 1852, il début des études de médecine à la Faculté de médecine de Montpellier. <br /><br />En 1853, il quitte Montpellier pour poursuivre ses études à la Faculté de médecinde de Paris. Il est élève au laboratoire du chimiste Charles-Adolphe Würtz (1817-1884)<a href="#_ftn1" title="">[1]</a>.</p>
<p>En 1857, il est licencié ès Sciences-Physiques. <br /><br />EN 1859, Naquet obient le doctorat de médecine pour sa thèse sur les <em>Applications de l'analyse chimique à la toxicologie</em>.<br /><br />En 1860, il concourt pour l'agrégation en chimie (thèse : <em>De l'Allotropie et de l'isométrie</em>). Il échoue suite à une erreur commise dans l'épreuve pratique. <br /><br />En 1863, il concourt avec succès pour l'agrégation en chimie (thèse : <em>Des Sucres).</em> Nommé Professeur agrégé de chimie à la Faculté de médecine de Paris en août 1863, il ne prend ses fonctions qu'en novembre 1865.<a href="#_ftn1" title="">[2]<br /><br /><br /></a><strong><span style="text-decoration:underline;">Carrière Scientifique</span> :</strong> </p>
<p>De 1863 à 1865, Naquet séjourne à Palerme, où il occupe la Chaire de chimie et de physique de l'Instituto technico Governativo. C'est à Palerme qu'il rédige les <em><a href="https://play.google.com/books/reader?id=G67wdbT0SKwC&printsec=frontcover&output=reader&hl=fr&pg=GBS.PP1" target="_blank" rel="noreferrer">Principes de chimie fondés sur les théories</a></em><a href="https://play.google.com/books/reader?id=G67wdbT0SKwC&printsec=frontcover&output=reader&hl=fr&pg=GBS.PP1" target="_blank" rel="noreferrer"> moderne</a><a href="https://play.google.com/books/reader?id=G67wdbT0SKwC&printsec=frontcover&output=reader&hl=fr&pg=GBS.PP1" target="_blank" rel="noreferrer">s</a>, premier ouvrage d'enseignement et de vulgarisation consacré à la théorie atomique. Cet ouvrage, qui connait quatre éditions et plusieurs traductions (anglais, allemand, russe) entre 1865 et 1890, contribue à assurer la diffusion de la théorie atomique auprès des étudiants et de la communauté scientifique. Les travaux qu'il réalise dans son laboratoire de Palerme sont publiés dans les <em>Comptes-rendus de l'Accadémie des Sciences de Paris </em>et le <em>Bulletin de la Société Chimique de France</em>. <br /><br />En 1865, de retour en France, il occupe son poste de Professeur agrégé de Chimie à la Faculté de médecine de Paris. Il mène, pendant deux ans, ses travaux et recherches expérimentales au sein du laboratoire de Würtz. <br /><br />En 1867, il entre dans la vie politique active. il participe à la formation d'un comité révolutionnaire et organise, en collaboration avec le professeur de droit <span>Émile</span><span> Acollas</span> (1826-1891), le premier Congrès de la Paix qui se tient à Genève les 11, 12 et 13 septembre 1867. <br /><br />En 1868, suite à une condamnation politique pour délit de société secrète, Naquet est privé de sa chaire à la Faculté de Médecine<a href="#_ftn1" title="">[3]</a>. Il est alors contraint d'abandonner non seulement ses recherches expérimentales, mais aussi sa carrière et son enseignement scientifique<a href="#_ftn1" title="">[4]</a>. Il poursuit son activité dans le champ des sciences physiques et chimiques en tant que journaliste scientifique. Ainsi, de 1867 à 1911, Naquet publie plusieurs chroniques et feuilletons scientifiques dans des périodiques (<em>Tribune</em>, <em>Démocratie</em>, <em>Le Moniteur Scientifique</em>). Il rédige plusieurs entrées du <em>Dictrionnaire Universel </em>(1865-1876) de Pierre Larousse et du <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3383f" target="_blank" rel="noreferrer"><em>Dictionnaire de chimie pure et appliquée</em></a><em> </em>de Würtz. <br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Engagement sociaux, civiques et politiques</strong></span><strong> :</strong></p>
<p>En 1869, suite à sa condamnation pour la publication de <em>Religion, Propriété, Famille</em>, Naquet s'exile en Espagne en tant que correspondant du <em>Reveil</em> et du <em>Rappel</em><em>. </em>Une amnestie est accordée par Napoléon III permettant à Naquet de rentrer en France à la fin de l'année 1869.<br /><br />De 1871 à 1898, il endosse des responsabilités politiques. Il est élu député du Vaucluse de 1871 à 1883, sénateur de la Seine de 1883 à 1890 et député de la Seine de 1889 à 1898. <br /><br />Pour des présentations et des études historiographiques des positions et actions politiques du Chimiste-Philosophe, nous renvoyons à Proth (1883), Robert et Cougny (1889), Flax (1909), Chabaud (2002), Portalez (2015).<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><b>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</b></span><b> :</b><span style="text-decoration:underline;"><b><br /><br /></b></span>L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Naquet au sein des périodiques philosophiques débute en 1867 et cesse en 1868. Elle se déploie exclusivement dans la revue <i>La Philosophie Positive</i>. Elle se compose de deux articles de fond consacrés à un plaidoyer philosophique en faveur de la théorie atomique<a href="#_ftn1" title="">[5]</a>.<br /><br />Historiquement, il est le premier chimiste à intervenir au sein des périodiques philosophiques français de cette époque et à diffuser la nouveauté scientifique auprès de la communauté positiviste. Naquet présente plusieurs intérêts manifestes pour la compréhension de la pratique éditoriale et philosophique des scientifiques.<br /><br />En premier lieu, il introduit, pour la première fois au sein du champ philosophique, les débats scientifiques opposant les atomistes de l’École de Würtz<a href="#_ftn2" title="">[6]</a> aux anti-atomistes Henri Sainte-Claire Deville<a href="#_ftn3" title="">[7]</a> (1818-1881) et Marcelin Berthelot (1827-1907). En effet, c’est en octobre 1867, soit quelques mois seulement après la parution du premier numéro de la revue, que le chimiste intervient. Il rapporte les deux célèbres leçons professées devant la Société chimique de France par Deville<a href="#_ftn4" title="">[8]</a>. Naquet ne se contente pas d’être un simple médiateur scientifique entre les chimistes de la Société chimique et la communauté des positivistes de la revue. Ce dernier prend part directement aux débats qu’il rapporte en prenant ouvertement position en faveur de la théorie atomique. Cet engagement est ce qui va le conduire à opérer une analyse philosophique et à chercher à convaincre le lecteur positiviste de la légitimité de cette théorie. L’analyse philosophique est ainsi motivée par une controverse scientifique et c’est dans un contexte de dispute que l’interprétation libérale du positivisme va être invoquée comme instance de légitimation.<br /><br />Ensuite, Naquet, à travers une stratégie éditoriale de diffusion et de médiation scientifiques, offre à l’historien de la philosophie des sciences la possibilité de mettre à jour l’une des façon dont un scientifique pouvait faire usage d’un périodique en mobilisant son programme pour défendre une théorie scientifique sur le plan philosophique. Cette stratégie éditoriale repose sur une forme d’argument d’autorité et permet de comprendre pourquoi Naquet a choisi de mobiliser un périodique, qui se propose d’être l’organe de diffusion de la philosophie positive, pour faire son entrée dans le champ de la philosophie des sciences. Son objectif est de légitimer, d’un point de vue philosophique, la théorie atomique en faisant la preuve de son accord avec le programme positiviste de la revue, tout particulièrement son rejet de toute forme de métaphysique dans la connaissance scientifique. En effet, ces interventions ont été principalement motivées par les attaques formulées par Deville et Berthelot à l’encontre de la théorie atomique :<br /><br />« Les adversaires de la théorie atomique et des formules de constitution nous accusent chaque jour d’oublier les principes de notre science ; ils disent que nous ne faisons plus de la science positive, mais des suppositions toutes gratuites, qui ne conduisent à rien ; qu’en un mot notre chimie est une chimie métaphysique. » (Naquet (1868), p. 88)<br /><br />En effet, lors de sa conférence, Deville affirme que <br /><br />« l’hypothèse des atomes (…) que nous faisons présider à toutes les réactions des corps que nous étudions, sont des pures inventions de notre esprit, des noms que nous faisons substances, des mots auxquels nous prêtons une réalité . (Les atomistes seraient responsables) ce mysticisme scientifique dont la chimie donne en ce moment un dangereux exemple. » (Deville (1866), p. 21)<br /><br />Ces attaques consistent, d’un point de vue philosophique, à accuser les atomistes de pratiquer une chimie à caractère métaphysique. Une telle accusation repose sur la conviction selon laquelle des scientifiques qui sont amenés à postuler, à travers leur construction théorique, des entités inobservables s’engageraient nécessairement dans un programme de recherche s’apparentant à une forme d’essentialisme scientifique. En d’autres termes, selon Deville et Berthelot, les partisans de la théorie atomique, en faisant usage de théories au sein desquelles sont postulées des entités qui échappent à toute vérification expérimentale directe, seraient nécessairement conduits à s’engager ontologiquement à reconnaître que ces entités existent réellement<a href="#_ftn5" title="">[9]</a> et qu’elles représentent les causes premières des phénomènes observables<a href="#_ftn6" title="">[10]</a>. Deville et Berthelot sont conduits à porter une telle accusation du fait, en partie, qu’ils conçoivent la vérification expérimentale dans un sens fort et qu’ils érigent ce dispositif en un critère de démarcation phénoméniste extrêmement strict, ayant pour objectif non seulement de décider du caractère scientifique d’un concept ou d’un énoncé, mais aussi et surtout de fournir un dispositif d’élagage afin de libérer les sciences de toute forme de métaphysique<a href="#_ftn7" title="">[11]</a>. La pertinence épistémique de cette démarcation repose sur le fait qu’elle évite toute intrusion de la métaphysique dans les sciences. Elle permettrait de définir la frontière entre ce qui est épistémiquement accessible aux scientifiques (le domaine phénoménal) et ce qui ne l’est pas (le domaine extra-phénoménal qui échappe aux moyens expérimentaux). Ainsi, en soutenant qu’un énoncé ne peut légitimement prétendre à la scientificité qu’à la condition de porter exclusivement sur des entités accessibles à l’observation, c’est-à-dire susceptible d’être mis directement, au moyen de procédures expérimentales, en rapport avec des données phénoménales, les anti-atomistes sont conduits à exclure les atomes du domaine de la connaissance scientifique et à dénoncer les scientifiques qui en font usage dans leur construction de s’engager dans une recherche ontologique des causes premières.<br /><br />Or, le fait de publier un plaidoyer philosophique dans un périodique positiviste et de revendiquer un accord avec son programme philosophique<a href="#_ftn8" title="">[12]</a> permet de faire la preuve que cette accusation est infondée. En effet,<br /><br />« le titre même de cette revue prouve surabondamment que nous ne nous portons point les défenseurs des causes occultes. Ennemis de toute métaphysique, soumettant toutes nos théories au contrôle de l’expérience, nous ne pouvons que nous rallier à tout ce qu’a dit M. Deville des mots introduits dans la science pour marquer notre ignorance des causes réelles, mots qui non seulement ont le défaut de ne rien nous apprendre, mais encore celui d’arrêter nos investigations en nous faisant croire que nous savons. <a href="#_ftn9" title="">[13]</a> » ( Naquet (1867), 85)<br /><br />Les atomistes, en s’accordant avec les présupposés philosophiques et méthodologiques anti-métaphysique du positivisme<a href="#_ftnref10" title="">[14]</a>, dépouillent ainsi les hypothèses portant sur des entités inobservables de toute connotation ontologique. En d’autres termes, les atomistes refusent non seulement la thèse doxastique selon laquelle employer et accepter des théories portant sur des entités inobservables conduit nécessairement à s’engager ontologiquement en faveur de ces entités<a href="#_ftn11" title="">[15]</a>, mais aussi la thèse axiologique prônant l’idée que l’objectif premier et essentiel des sciences chimiques est de construire des théories scientifiques susceptibles de mettre à jour les causes premières des phénomènes. En revendiquant un accord avec le système positiviste<a href="#_ftn12" title="">[16]</a>, le chimiste pose la base du code d’honneur fictionnaliste qui sera systématisé par Wyrouboff (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff (1880)</a>). Ce code d’honneur, qui constitue les conditions présidant à l’introduction théorique d’entités inobservables, permet d’exclure toute interprétation ontologique de ces entités. Il consiste à reconnaître que les concepts théoriques portant sur des entités inobservables sont des artifices logiques provisoires de l’esprit n’ayant aucune prétention ontologique :<br /><br />« Pourquoi donc repousser cette théorie ? Je le concevrais si, à la manière des métaphysiciens antiques, nous acceptions les atomes, les molécules, les groupements atomiques, comme des vérités absolues, comme des faits démontrés. Mais, à l’époque présente, la métaphysique est trop définitivement sortie de toutes les sciences exactes pour pouvoir y rentrer sous quelque forme que ce soit. Les chimistes les plus partisans de la théorie atomique ne considèrent cette théorie que comme une hypothèse (…). » (Naquet (1868), p. 107)<br /><br />Enfin, après avoir déjoué les attaques des anti-atomistes, Naquet est conduit à examiner la valeur et la fonction de la théorie atomique en tant qu’artifice logique, à partir de la méthodologie de la philosophie positive :<br /><br />« La philosophie positive, en effet, n’a jamais repoussé les hypothèses. Elle s’est bornée à déterminer dans quels cas elles sont légitimes, scientifiques, utiles, et dans quels cas elles ne le sont pas. Si l’on repoussait les hypothèses d’une manière absolue, toute recherche scientifique se réduirait à un empirisme aussi improductif que fastidieux. La philosophie positive admet d’abord, comme hypothèses légitimes les suppositions qui sont susceptibles d’être soumises à la sanction de l’expérience et d’être ainsi démontrées vraies ou fausses. Elle admet en outre une seconde classe d’hypothèse, à laquelle appartient l’hypothèse atomique (…).<a href="#_ftn13" title="">[17]</a>» (Naquet (1868), p. 85).<br /><br />Le Chimiste-Philosophe distingue ainsi deux catégories d’hypothèses dont l’emploi est nécessaire et légitime en science<a href="#_ftn14" title="">[18]</a> La première catégorie recouvre les hypothèses phénoménales. La deuxième catégorie recouvre les artifices logiques. La différence épistémique entre les deux catégories d’hypothèses repose sur le fait que les conditions de recevabilité en science diffèrent d’une catégorie d’hypothèses à l’autre : la vérification expérimentale pour les premières, des critères pragmatistes pour les secondes. Naquet avance ainsi qu’on ne peut pas attendre des hypothèses portant sur des entités inobservables le même mode de justification que celui qui convient aux hypothèses phénoménales. Il s’attache alors aux conditions d’acceptabilité des deux catégories d’hypothèses. Les hypothèses phénoménales sont des suppositions qui <i>sont susceptibles d’être soumises à la sanction de l’expérience et d’être ainsi démontrées vraies ou fausses</i><a href="#_ftn15" title="">[19]</a>. Elles sont de nature à être directement mises à l’épreuve expérimentale en portant exclusivement sur des entités et des phénomènes observables. Ce qui va garantir leur légitimité, leur scientificité, c’est qu’elles ne peuvent être admises en science que si elles subissent avec succès la vérification expérimentale. Elles peuvent ainsi prétendre se fixer définitivement, en tant que lois expérimentales, dans la connaissance scientifique. Les artifices logiques, qui appartiennent à la deuxième catégorie d’hypothèses, ont pour caractéristiques principales d’être théoriquement et empiriquement fécondes<a href="#_ftn16" title="">[20]</a> :<br /><br />« lorsqu’on connaît un certain nombre de phénomènes et de lois, ces phénomènes et ces lois, sans lien entre eux, ne font point un ensemble, un tout. Ils ne permettent pas de prévoir des faits nouveaux et de guider l’expérimentateur dans ses recherches. C’est ici que l’hypothèse devient utile. Elle groupe les phénomènes et les lois et forme de ces phénomènes et de ces lois un ensemble complet, un système. (…) Il y a mieux, l’hypothèse ne se borne pas à classer et à relier les faits déjà connus, elle fait prévoir des faits nouveaux. (…) Elle doit répondre à un nombre de faits supérieurs à celui que l’on connaissant en la créant. (…) Elle fait prévoir mathématiquement les phénomènes encore inconnus susceptibles d’être groupés par elle, elle dirige le savant. (…) On ne peut s’en passer qu’en faisant de la chimie un empirisme dans lequel la science étouffe. » (Naquet (1868), pp. 86-87)<br /><br />Ainsi, ce qui rend nécessaire l’élaboration et l’usage de la théorie atomique et qui lui confère une valeur et une légitimité est non seulement sa capacité à simplifier, ordonner et classer les lois expérimentales déjà connues, mais aussi et surtout sa fécondité heuristique et empirique, c’est-à-dire sa capacité à prédire des lois expérimentales nouvelles. L’élaboration et l’utilisation des artifices logiques dans la connaissance scientifique se justifient à partir de critères épistémiques de nature pragmatiste. Naquet (1868) présente les six hypothèses principales qui constituent la théorie atomique. Cette présentation met en relief le pouvoir prédictif de la théorie en exposant les découvertes qu’elle a rendu possible.<br /><br />Naquet poursuivra sa campagne épistémologique en faveur de la théorie atomique en mobilisant le positivisme libérale dans <i>Le Moniteur Scientifique</i> (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215200m/f800.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1877)</a>, <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215233s/f64.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1900)</a>, <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152400/f321.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1904)</a> et <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152557/f360.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1911)</a>).<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Source :</span></strong> <br /><br />- Bensaude-Vincent, Bernadette (2009), « Une science sous influence positiviste ? », in <i>Matière à penser. Essais d’histoire et de philosophie de la chimie</i>, Presses universitaires de Paris Nanterre, Paris, 2009, pp. 199-249. (<a href="http://books.openedition.org/pupo/1308" target="_blank" rel="noreferrer">http://books.openedition.org/pupo/1308</a>)<br /><br />- Chabaud, Jean-Paul (2002), <em>Alfred Naquet, Parlementaire Comtadin, "Père" du Divorce</em>, éd. Etudes Comtadines, Pernes-les-Fontaines, 2002.<br /><br />- Deville, Henri Sainte-Claire (1864), « Sur la Dissociation », in <em>Leçons de chimie professées de 1860 à 1869 inclus Société chimique de Paris</em>, T.5, éd. Hachette, Paris, 1864, pp. 255-353.<br /><br />- Deville, Henri Sainte-Claire (1866), « Sur l’Affinité », in <em>Leçons de chimie professées de 1860 à 1869 inclus Société chimique de Paris</em>, T.6, éd. Hachette, Paris, 1866, pp.1-85.<br /><br />- Flax (1909), « Alfed Naquet », in Les Hommes du jour, n°73, 12-06-1909, (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k442309n.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k442309n.item</a>)<br /><br />- Laudan, Larry (1971), « Towards a Reassessment of Comte’s ‘Methode Positive’ », in <i>Philosophy of Science</i>, Vol. 38, No. 1 (Mar., 1971), pp. 35-53.<br /><span><br />- Lestel, Laurence (2007), </span><em>Itinéraires de chimistes</em><span>, éd. EDP sciences, Paris, 2007<br /><br /></span>- Naquet, Alfred (1895), « Les médecins ignorés. La carrière médicale de M. Naquet contée par lui-même », in <em>La Chronique médicale : revue bi-mensuelle de médecine scientifique, littéraire et anecdotique</em>, n°2, 1895, pp. 42-48. (<a href="http://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/medica/resultats/index.php?p=44&do=page&cote=130381x1895x02" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/medica/resultats/index.php?p=44&do=page&cote=130381x1895x02</a>)</p>
<p>- Pigeard-Micault, Nathalie (2011), <em>Charles-Adolphe Wurtz, Un savant dans la tourmente</em>, éd. Hermann, Paris, 2011.<br /><br />- Portalez, Christophe (2015), <em>Alfred Naquet et ses amis politiques : patronage, influence et scandale en République (1870-1898)</em>, Université d'Avignon, 2015.<br /><br />- Proth, Mario (1883), <em>A. Naquet</em>, éd. A. Quantin, Paris, 1883 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411661m" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411661m</a>)<br /><br />- Robert, Adolphe, Bourloton, Edgar et Cougny, Gaston (1889, <em>Dictionnaire des parlementaires français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889</em>, éd. Bourloton, Paris, 1889-1891 : (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081</a> / <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a>)<br /><br /></p>
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong><br /></strong></span><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Würtz, Charles-Adolphe (1817-1884). En 1834, il entre à la Faculté de médecine de Strasbourg. En 1839, il est nommé Chef des travaux de chimie à la Faculté de médecine de Strasbourg. En 1843, il est docteur de médecine. En 1844, il travaille au laboratoire privé de Jean-Baptiste Dumas. En 1845, il est l’assistant de Dumas à l’Ecole de médecine de Paris. En 1849, il est chargé de cours de chimie organique à l’Ecole de médecine. De 1859 à 1852 ; il est professeur de chimie à l’Institut agronomique de Versailles. En 1853, il occupe la chaire de chimie à la Faculté de médecine de Paris (chaire de chimie organique et chaire de chimie minérale et de toxicologie). En 1866, il est nommé Doyen de la Faculté de médecine. En 1875, il est titulaire de la chaire de chimie organique de la Faculté des sciences de Paris. C’est dans les années 1850 que Naquet rencontre Würtz qui devient son ami et son initiateur aux sciences chimiques. Les deux hommes collaborent à plusieurs reprises. Pour une biographie scientifique de Würtz, nous renvoyons à Lestel (2007), p. 545. Pour une étude historiographique du parcours de Würtz, nous renvoyons à Piegard-Micault (2011).<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[2]</a> Les agrégés nouvellement nommés deviennent stagiaires et doivent attendre 3 ans, sans traitement, avant de prendre leurs fonctions : « N’allez pas croire qu’une fois nommé, j’entrai tout de suite en fonctions. A cette époque on devait faire un stage de 3 ans, à partir de la date du début du concours. Comme les candidats pour les chaires de sciences accessoires passaient les derniers, je n’eus que deux ans à attendre. » Naquet (1895), p. 44.<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[3]</a> Suite aux propos tenus lors de la clôture du Congrès le 13 septembre 1867 (« Je (Naquet) propose au congrès de ne pas se séparer sans un vote de flétrissure à la mémoire de Napoléon 1<sup>er</sup>, le plus grand malfaiteur du siècle »), Naquet est arrêté à la frontière. Il est accusé d’avoir colporté des livres et brochures contre l’empire. En décembre 1867, il est condamné par l’empire pour délit de société secrète et manœuvres à l’intérieur à 15 mois de prison et à la privation de ses droits civiques pendant 5 ans. En 1869, il est condamné à 4 mois de prison et à la privation à perpétuité de ses droits civiques et politiques pour la publication de <i>Religion, Propriété, Famille</i>.<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[4]</a> « Reprendre la chimie ? C’est mon rêve doré mais c’est impossible. La science, j’en suis convaincu ne peut réussir qu’à ceux qui ont des moyens d’existence et qui peuvent lui donner tout leur temps, ce qui n’est pas mon cas. Quand il faut gagner sa vie et celle de sa famille et qu’on n’a pas une de ces santés qui permettent quatorze ou quinze heures de travail par jour, expérience faite, j’y ai renoncé. » Cité par Chabaud (2002), p. 38.</p>
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<p><a href="#_ftnref1" title="">[5]</a> Les titres des deux interventions du Chimiste-Philosophe, « De l’affinité » et « De l’Atomicité », correspondent aux deux concepts fondamentaux de la théorie atomique de l’École de Würtz.</p>
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<p><a href="#_ftnref2" title="">[6]</a> Il convient de souligner que Naquet est l’unique chimiste de l’École de Würtz à intervenir dans un périodique philosophique pour défendre la théorie atomique.</p>
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<p><a href="#_ftnref3" title="">[7]</a> Henri Sainte-Claire Deville (1818-1881), formé à la chimie expérimentale par Louis Jacques Thenard (1777-1857) et Jean-Baptiste Dumas (1800-1884), est docteur ès sciences physiques (1841), docteur en médecine (1843) et licencié ès sciences mathématiques (1843). Il est professeur de chimie à la Sorbonne. Pour plus de précisions sur la biographie du chimiste, nous renvoyons le lecteur Lestel (2007), pp. 475-481.</p>
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<p><a href="#_ftnref4" title="">[8]</a> Deville (1864) et Deville (1866).</p>
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<p><a href="#_ftnref5" title="">[9]</a> Les atomistes hypostasieraient l’atome.</p>
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<p><a href="#_ftnref6" title="">[10]</a> Les atomistes prétendraient énoncer à travers la théorie atomique, le constituant essentiel de la réalité matérielle censé donner naissance aux phénomènes observables.</p>
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<p><a href="#_ftnref7" title="">[11]</a> Deville et Berthelot préconisent une méthodologie des sciences empiriste et inductiviste. Ils soutiennent que les lois scientifiques doivent être construites par induction à partir de l’observation sans avoir recours à des hypothèses théoriques. Pour une étude des principes épistémologiques invoqués par Berthelot dans la controverse qui oppose atomistes et anti-atomistes, nous renvoyons à Bensaude-Vincent (2008).</p>
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<div>
<p><a href="#_ftnref8" title="">[12]</a> Naquet soutient qu’il est en mesure de repousser les attaques des anti-atomistes « en faisant voir que la théorie atomique et les formules de constitution qui en découlent, sont des théories et des hypothèses parfaitement légitimes, permises, même par la philosophie la plus scrupuleuse à ce point de vue, par la philosophie positive. » Naquet (1868), 313. La revendication du chimiste d’un accord avec le système positiviste permet d’exclure toute interprétation ontologique des concepts théoriques portant sur des entités inobservables.</p>
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<p><a href="#_ftnref9" title="">[13]</a> Voir aussi Naquet (1900), 486.</p>
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<p><a href="#_ftnref10" title="">[14]</a> L’une des caractéristiques du positivisme est de proscrire la métaphysique des sciences positives. L’argument central, d’ordre historique, invoqué par les positivistes à l’appui de cette thèse, est la fameuse loi des trois états à laquelle <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1867)</a> consacre l’article programmatique de la revue.</p>
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<p><a href="#_ftnref11" title="">[15]</a> En d’autres termes, l’épistémologie positiviste autorise un rapport d’acceptation qui n’est pas en même temps un rapport de croyance. Par là, l’élaboration, l’acceptabilité et l’emploi de la théorie atomique en chimie n’impliquent aucunement la croyance en la réalité de l’atome. </p>
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<p><a href="#_ftnref12" title="">[16]</a> Ainsi, pour Naquet, « le positivisme a été dans le vrai lorsqu’il a déclaré la raison pure impuissante à nous faire connaître des vérités objectives. En réduisant les hypothèses sur la nature intime des choses, sur le noumène, à de <i>simples artifices de l’esprit</i>, à de simples fils d’Ariane capables de nous diriger dans le labyrinthe des recherches, en refusant de leur attribuer aucun caractère de réalité, il a posé la véritable base de la connaissance scientifique ». Naquet (1904), 486.</p>
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<p><a href="#_ftnref13" title="">[17]</a> Naquet s’appuie sur la 28<sup>ème</sup>leçon du <i>Cours de philosophie positive</i> au sein de laquelle Comte a élaboré une « théorie fondamentale des hypothses » et à déterminer « les conditions positives qui doivent présider à la formulation et à l’emploi de cet instrument positif. » (Comte (1975), p. 456). D’un point de vue général, le père du positivisme considère les hypothèses comme un instrument nécessaire pour l’élboration d’une science pleinement positive. Comme le souligne Laudan (nous traduisons) « de manière évident, les hypothèses sont pour Comte l’ingrédient le plus fondamental dans la recherche scientifique. » (Laudan (1971), p. 47)</p>
<p><a href="#_ftnref14" title="">[18]</a> La 28<sup>ème</sup> leçon du <i>Cours</i> consacrée aux hypothèses scientifiques, et sur laquelle s’appuie Naquet, a donné naissance à deux formes de positivisme. La première peut être qualifiée de conservatrice. Elle soutient, en interprétant la vérification expérimentale dans un sens fort, que le positivisme nous autorise à employer des hypothèses phénoménales, mais interdit tout usage d’hypothèse portant sur des entités inobservables. La seconde interprétation peut être qualifiée de libérale. Elle soutient que le positivisme reconnaît comme hypothèses légitimes non seulement les hypothèses phénoménales, mais aussi et surtout les hypothèses portant sur des entités inobservables. Cette forme de positivisme autorise ainsi, à condition de ne pas s’engager ontologiquement à l’égard des entités qu’elles postulent, l’emploi d’hypothèses portant sur des entités qui échappent à toute procédure expérimentale directe. Nous reprenons cette distinction entre positivisme conservateur et positivisme libérale à Laudan (1971), pp. 47-50.</p>
</div>
<div>
<p><a href="#_ftnref15" title="">[19]</a> Naquet précisera en 1904, au sein du <i>Moniteur Scientifique</i>, que ces hypothèses sont de « simples conjectures, susceptibles de recevoir de l’expérience une confirmation ou un démenti (…). Ces hypothèses-là sont non seulement licites mais nécessaires : elles ne demeurent d’ailleurs qu’un temps très court à l’état hypothétique ; l’expérience vient bien vite ou leur donner un caractère de certitude ou les éliminer comme fausses. » Naquet (1904), p. 485.</p>
</div>
<div>
<p><a href="#_ftnref16" title="">[20]</a> Le concept de prédiction est central dans la pensée positiviste. Il est conçu comme un principe de démarcation à double tranchant. Il permet de faire la distinction entre les énoncés scientifiques (prédictifs) et les énoncés métaphysiques (non prédictifs), ainsi qu’entre les énoncés scientifiques et la simple accumulation empirique de faits d’observation (qui étant sans lien théorique sont stériles d’un point de vue prédictif). Voir à ce sujet, Laudan (1971), pp. 38-39.</p>
</div>
</div>
Commentaire Profession
Naquet est Professeur agrégé de Chimie Organique
Date Profession
1863-1865
1865-1867
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Naquet, Alfred Joseph (1834-1916)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Noël
Prénom
Georges
Année de naissance
18??
Année de décès
????
Nationalité
Française
Profession
Inconnue
Attache Institutionnelle
Non
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1868
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1870
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/59" target="_blank" rel="noreferrer">Des Axiomes et des définitions mathématiques</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.2, Paris, 1868, pp. 422-441. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f424.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f424.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/60" target="_blank" rel="noreferrer">Des Axiomes et des définitions mathématiques (deuxième et dernier article)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.3, Paris, 1868, pp. 63-79. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77874v/f62.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77874v/f62.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/61" target="_blank" rel="noreferrer">La Numération décimale. Les Notations numérales et les chiffres modernes. Étude historique. Premier article</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.4, Paris, 1869, pp. 242-263. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f241.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f241.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/62" target="_blank" rel="noreferrer">La Numération décimale. Les Notations numérales et les chiffres modernes. Étude historique. Deuxième article</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.4, Paris, 1869, pp. 400-430. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f400.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f400.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/63" target="_blank" rel="noreferrer">La Numération décimale. Les Notations numérales et les chiffres modernes. Étude historique. Troisième et dernier article </a>», in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.5, Paris, 1869, pp. 79-102. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f79.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f79.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/64" target="_blank" rel="noreferrer">La Science géométrique dans l'Inde ancienne (Premier article)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.5, Paris, 1869, pp. 408-425. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f408.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f408.image</a>)</p>
<p>«<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/65" target="_blank" rel="noreferrer"> La Science géométrique dans l'Inde ancienne (Deuxième article)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.6, Paris, 1870, pp. 44-72. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f47.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f47.item</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
7
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Statut Prof. reconstitué
Inconnu
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span><strong> :<br /><br /></strong>Aucune information<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Engagements sociaux, civiques et politiques</span> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</span> :<br /><br /></strong></p>
<p>L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Noël débute en 1868 et cesse en 1870. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 7 articles de fond et représente la totalité de la production de l’auteur dans le périodique.</p>
<ul><li>2 articles de fond sont consacrés à la philosophie positive des sciences mathématiques. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/59" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1868)</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/60" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1868)</a> visent non seulement à combattre les conceptions métaphysiques selon lesquelles les axiomes et les définitions mathématiques sont des vérités a priori indépendantes de l'expérience, des principes subjectifs et absolus représentant les formes logiques et essentielles de l'entendement, mais aussi à démontrer l'origine phénoménale et le caractère expérimental des sciences mathématiques dont les notions premières sont construites par un procédé inductif. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/59" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1868)</a> examine les principes de la géométrie. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/60" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1868)</a> analyse les principes de la science des nombres</li>
<li>5 articles de fond sont consacrés à l’histoire positive des sciences mathématiques. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/61" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1869)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/62" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1869)</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/63" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1869)</a> ont pour objectif de présenter une histoire abrégée de la numération décimale en retraçant les différentes phases par lesquelles ont passé et cette numération et le système de chiffres. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/64" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1869)</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/65" target="_blank" rel="noreferrer">Noël (1870)</a> tente de faire la preuve que 1° les Hindous n’avaient pas eu d’école de géomètres originaux, cherchant et découvrant des vérités abstraites, 2° les livres géométriques des Hindous ne devaient être que des formulaires remplis d’énoncés sans démonstrations, ramassés dans des ouvrages grecs, et rassemblés, sans ordre scientifique, par des compilateurs inintelligents.</li>
</ul><p></p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Noël, Georges (18??-????)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Pichard
Prénom
Prospère Frédéric
Année de naissance
1839
Année de décès
1???
Ville Naissance
Inconnue
Ville Décès
Inconnue
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Inconnu
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Inconnu
Date Établissement ou Lieu de Formation
Inconnue
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Garde-Mines
Professeur de Chimie et de Technologie Agricole
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Laboratoire des Mines d'Oran
École Pratique d’Agriculture de la Seine-Inférieure
Commentaire Profession
<p>Pichard, Prospère est Garde-Mines jusqu'en 1888. Il travaille dans le laboratoire des Mines d'Oran (Source : <a href="http://jubilotheque.upmc.fr/fonds-geolreg/GC_000002_001/document.pdf?name=GC_000002_001_pdf.pdf" target="_blank" rel="noreferrer">Association Française pour l’Avancement des Sciences. Congrès d’Oran, 1888. Oran & l’Algérie en 1887, Notices Historiques, Scientifiques & Economiques. Tome 1. pp. 250, 253, 269</a>). Il est nommé, par arrêté du M. Le ministre de l’agriculture, en date du 6 mars 1888, Professeur de Chimie et de Technologie Agricole à l’École pratique d’agriculture de la Seine-Inférieure (aujourd’hui Seine-Maritime). (Source : <a href="https://patrimoine.mines-paristech.fr/scripto/transcribe/334/91294" target="_blank" rel="noreferrer">https://patrimoine.mines-paristech.fr/scripto/transcribe/334/91294</a>)</p>
Ville Exercice Professionnel
Oran
Bois-Guillaume
Date Profession
18??-1888
1888-1???
Statut Prof. reconstitué
Garde-Mines-Philosophe
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1872
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1873
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/67" target="_blank" rel="noreferrer">Doctrine du Réel. Catéchisme à l'usage des gens qui ne se paient pas de mots (premier article)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.9, Paris, 1872, pp. 161-177. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f162.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f162.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/68" target="_blank" rel="noreferrer">Doctrine du Réel. Catéchisme à l'usage des gens qui ne se paient pas de mots (dernier article)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.10, Paris, 1873, pp. 161-180. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778814/f160.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778814/f160.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
2
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>Doctrine du Réel. Catéchisme à l'usage des gens qui ne se paient pas de mots</em>, éd. Hurtau, Libraire-Éditeur, Paris, 1873 (<a href="https://books.google.fr/books?id=vrVYAAAAMAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false" target="_blank" rel="noreferrer">https://books.google.fr/books?id=vrVYAAAAMAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false</a>)</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Autre Publication
<p><span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Wyrouboff dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em>dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f482.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 16, Paris, 1876, p. 482 et dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f466.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a>, in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>, t. 31, Paris, 1883, p. 467.</p>
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span><strong> :<br /><br /></strong>Pichard, Prospère est Garde-Mines jusqu'en 1888. Il travaille dans le laboratoire des Mines d'Oran.<br />Il est nommé, par arrêté de M. Le ministre de l’agriculture, en date du 6 mars 1888, Professeur de Chimie et de Technologie Agricole à l’École pratique d’agriculture de la Seine-Inférieure (aujourd’hui Seine-Maritime).<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Engagements sociaux, civiques et politiques</span> :</strong><br /><br />Aucune information<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</span> :<br /><br /></strong>L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Pichard débute en 1872 et cesse en 1873. Elle se déploie exclusivement dans la revue<em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 2 articles de fond et représente 33% de la production de l’auteur dans le périodique.
<ul><li>
<p>2 articles de fond en philosophie généraliste des sciences consacrés à une présentation des principes et méthodes fondamentales du positivisme (méthode expérimentale; objet de la connaissance et classification positiviste des sciences; définition, méthode et objet des sciences mathématiques, astronomiques, physiques et chimiques; définition de la philosophie positive; lois; nature, objet et valeur de la connaissance positive). <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/67" target="_blank" rel="noreferrer">Pichard (1872)</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/68" target="_blank" rel="noreferrer">Pichard (1873)</a></p>
</li>
</ul><br />L'auteur entretient une correspondance avec <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/48" target="_blank" rel="noreferrer">Littré, Émile (1801-1881)</a> :<br /><br /><ul><li>
<p>Émile LITTRÉ (1801-1881). 23 L.A.S., Mesnil-le-Roi, Roscoff, Paris, Bordeaux, Versailles, Pornic 1867-1880, à Prosper Pichard, à Oran ; 50 pages in-8. Remerciement pour un article sur La Philosophie positive dans L’Écho d’Oran, et encouragements pour la formation dans cette ville d’une société scientifique et littéraire qui répandra la doctrine positive... Il est plusieurs fois question de lire le manuscrit de Doctrine du réel : catéchisme à l’égard des gens qui ne se payent pas de mots et de servir d’intermédiaire avec l’éditeur Baillière : « moi-même j’ai songé à composer un catéchisme, [...] j’en ai même écrit quelque chose » (19 septembre 1869) ; il fournit une préface au livre... Sombres commentaires politiques du député à Bordeaux ; si la monarchie se rétablit, il se démettra de son mandat... Il exprime à plusieurs reprises son appréciation pour Andrieu, député démissionnaire d’Oran, sollicite une souscription en faveur de la veuve d’Auguste Comte, remercie de l’envoi d’un article sur Herbert Spencer et de remarques au sujet d’un article d’Eugène de Roberty... Questions quant à des termes employés à propos de la production des Kabyles : garouille et ressences... Expression d’admiration pour les talents et le caractère de John Stuart Mill... Lui-même décline inexorablement et souffre de douleurs permanentes : « Je garde la lucidité de l’esprit au milieu de tout cela, ce qui fait illusion à quelques-uns sur mon état, et j’en profite pour travailler un peu à la revue » (2 janvier 1880)</p>
</li>
</ul>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Pichard, Prospère Frédéric (1839-1???)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Pinet
Prénom
Gaston Léon Édouard
Année de naissance
1844
Année de décès
1918
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Polytechnique
École d’Application de l’Artillerie et du Génie
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1864
1866
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Chef d’Escadron d’Artillerie à la Direction de Vincennes
Inspecteur des Études à l’École Polytechnique
Bibliothécaire à l’École polytechnique
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
École polytechnique
Ville Exercice Professionnel
Paris
Date Profession
1868-1898
1880-1884
1900-1913
Statut Prof. reconstitué
Militaire-Philosophe
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1881
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1881
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/70" target="_blank" rel="noreferrer">L’ensemble de la science mathématique, résumé des idées d’Auguste Comte</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.27, Paris, 1881, pp. 165-186. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77898v/f165.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77898v/f165.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<p><a href="http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_2=PRENOMS&VALUE_2=%27Edouard%20L%E9on%27&NUMBER=19&GRP=1&REQ=%28%28%27Edouard%20L%E9on%27%29%20%3APRENOMS%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All" target="_blank" rel="noreferrer">Leonore</a></p>
<p>Christian Marbach, « Langlois, X 1806, reporter de guerre et/ou historien », Bulletin de la Sabix [En ligne], 52 | 2013 (<a href="http://sabix.revues.org/1165" target="_blank" rel="noreferrer">http://sabix.revues.org/1165</a>)</p>
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat-Civil</strong></span> :<br /><br />Pinet est né à Paris le 15 juin 1844. Il meurt à Paris le 21 novembre 1918.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span> :<br /><br />En 1864, il entre à l’École Polytechnique.<br />En 1866, il intègre l’École d’Application de l’Artillerie et du Génie.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span> :<br /><br />Le 1<sup>er</sup> décembre 1868, il est Lieutenant en second du 10<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 26 juillet 1869, il est Lieutenant en second de la 8<sup>ème</sup> compagnie d’ouvriers d’artillerie.<br />Le 6 août 1869, il est Lieutenant en second du 10<sup>e</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 24 octobre 1870, il est Lieutenant du 10<sup>e</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 20 avril 1872, il est Capitaine en second à Rennes.<br />Le 30 aout 1872, il est Capitaine en second à l’École de Pyrotchenie.<br />Le 21 octobre 1873, il est Capitaine en second du 35<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 11 mai 1875, il est Capitaine en second du 26<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 3 janvier 1876, il est Capitaine du 4<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Du 29 mars 1880 au 17 avril 1884, il est Inspecteur des Études à l’École Polytechnique.<br />Du 17 avril 1884 au 1<sup>er</sup> juillet 1887, il est Capitaine du 2<sup>e</sup> Bataillon d’artillerie de forteresse.<br />Du 1<sup>er</sup> juillet 1887 au 18 Juillet 1894, il est Chef d’Escadron du 1<sup>er</sup> régiment de pontonniers.<br />Du 18 juillet 1894 au 6 avril 1896, il est Chef d’Escadron du 4<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Du 6 avril 1896 au 20 mai 1898, il est Chef d’Escadron à l’État-Major.<br />De 1900 à 1913, il est Bibliothécaire de L’École Polytechnique.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Engagements sociaux, civiques et politiques</strong></span> :<br /><br />Aucune information.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sicences</strong></span> :<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Pinet débute en 1881 et cesse en 1881. Elle se déploie exclusivement dans la revue <i>La Philosophie Positive</i>. Elle se compose d’un article de fond et représente la totalité de la production de l’auteur dans le périodique.<br /><br /></p>
<ul><li>Un article de fond de philosophie des sciences-mathématiques consacré à un résumé dogmatique de la conception comtienne de la science mathématique (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/70" target="_blank" rel="noreferrer">Pinet (1881)</a>). L'auteur présente et détaille ainsi la distinction positiviste entre la mathématique concrète<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftnref1" title="">[1]</a> et la mathématique abstraite<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftn1" title="">[2]</a>.</li>
</ul><div><br /><div>
<p><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftnref1" title="">[1]</a> La mathématique concrète porte sur les phénomènes géométriques et mécaniques. Elle a un caractère de physique expérimentale. Elle se compose ainsi des sciences géométriques et des sciences mécaniques.</p>
</div>
</div>
<p><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftnref1" title="">[2]</a> La mathématique abstraite porte sur des relations numériques. Elle a un caractère essentiellement rationnel. Elle se compose ainsi de l'analyse mathématique.</p>
Commentaire Profession
Le 1er décembre 1868, il est Lieutenant en second du 10ème régiment d’artillerie.
Le 26 juillet 1869, il est Lieutenant en second de la 8ème compagnie d’ouvriers d’artillerie.
Le 6 août 1869, il est Lieutenant en second du 10e régiment d’artillerie.
Le 24 octobre 1870, il est Lieutenant du 10e régiment d’artillerie.
Le 20 avril 1872, il est Capitaine en second à Rennes.
Le 30 aout 1872, il est Capitaine en second à l’École de Pyrotchenie.
Le 21 octobre 1873, il est Capitaine en second du 35ème régiment d’artillerie.
Le 11 mai 1875, il est Capitaine en second du 26ème régiment d’artillerie.
Le 3 janvier 1876, il est Capitaine du 4ème régiment d’artillerie.
Du 29 mars 1880 au 17 avril 1884, il est Inspecteur des Études à l’École Polytechnique.
Du 17 avril 1884 au 1er juillet 1887, il est Capitaine du 2e Bataillon d’artillerie de forteresse.
Du 1er juillet 1887 au 18 Juillet 1894, il est Chef d’Escadron du 1er régiment de pontonniers.
Du 18 juillet 1894 au 6 avril 1896, il est Chef d’Escadron du 4ème régiment d’artillerie.
Du 6 avril 1896 au 20 mai 1898, il est Chef d’Escadron à l’État-Major.
De 1900 à 1913, il est Bibliothécaire de L’École Polytechnique.
Attache Institutionnelle
Non
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Pinet, Gaston Léon Édouard (1844-1918)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Royer
Prénom
Clémence Augustine
Année de naissance
1830
Année de décès
1902
Ville Naissance
Nantes
Ville Décès
Neuilly-sur-Seine
Nationalité
Française
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Publiciste
Statut Prof. reconstitué
Publiciste-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/54" target="_blank" rel="noreferrer">Attraction et gravitation d'après Newton</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.31, Paris, 1883, pp. 206-226. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f205.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f205.image</a>)</p>
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1883
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1883
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Autre Publication
<p><span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Royer dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f482.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 16, Paris, 1876, pp. 482-483 et dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f467.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>, t. 31, Paris, 1883, p. 468.</p>
Ville Exercice Professionnel
Lausanne
Cully
Paris
Date Profession
1856-1870
1870
Nom Attache Institutionnelle
Société d'anthropologie de Paris
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Établissement ou Lieu de Formation
Autodidacte
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Suisse
Date Établissement ou Lieu de Formation
1856-1862
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>La constitution du monde : dynamique des atomes, nouveaux principes de philosophie naturelle</em>, éd. Schleicher frères, Paris, 1900 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1143026" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1143026</a>)</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Biographie
<strong><span style="text-decoration:underline;">Etat Civil</span> :</strong><br /><br />Clémence Royer est née le 21 avril 1830 à Nantes. Elle meurt le 6 février 1902 Neuilly-sur-Seine.<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Formation</span> :</strong><br /><br />Royer est autodidacte. <br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Carrière scientifique</span> :<br /></strong><br />De 1853 à 1855, elle enseigne le français et la musique en Angleterre. <br />En 1860, elle donne des cours de logique mathématique et de philosophie en Suisse (Lausanne et Cully). Ces cours sont <span>destinés aux femmes.</span><br />En 1861, elle débute la traduction de <em>L'Origine des espèces </em>de Darwin.<br />En 1870, elle est membre de la Société d'anthroplogie de Paris.<br />En 1881, elle fonde la Société des études philosophiques et morales.<br />Elle collabore à plusieurs journaux de vulgarisation scientifique (<em>La Revue Scientifique</em>, <em>La Science Illustrée</em>)<br />Elle publie dans des journaux littéraires et politiques dont le <i>Journal des femmes</i><span> et à </span><i>La Fronde.</i> <br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Engagements sociaux, civiques et politiques</span> :<br /><br /></strong>Le 17 novembre 1900, Royer est décorée de la Légion d'honneur.<br /><span>Elle est membre fondatrice de la première </span>obédience maçonnique<span><span> mixte. <br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</span> :<br /><br /></strong>L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Royer débute en 1883 et cesse en 1883. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose d'un article de fond et représente 10% de la production totale de l'auteur dans le périodique. <br /><br /></span></span>
<ul><li>1 article de fond consacré à une présentation et disucssion de la loi de la gravitation universelle et de l'hypothèse de l'attraction dans les écrits de Newton (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/54" target="_blank" rel="noreferrer">Royer (1883)</a>).</li>
</ul>
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Royer, Clémence Augustine (1830-1902)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Stupuy
Prénom
Hippolyte
Année de naissance
1832
Année de décès
1900
Ville Naissance
Paris
Nationalité
Française
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Publiciste
Ville Exercice Professionnel
Paris
Statut Prof. reconstitué
Publiciste-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1878
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1878
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/56" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Notice sur la vie et les oeuvres de Sophie Germain</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.21, Paris, 1878, pp. 389-406. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77892s/f389.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77892s/f389.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Source
<p><a href="http://www.medias19.org/index.php?id=19381" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.medias19.org/index.php?id=19381</a></p>
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p style="text-align:left;">Oeuvres philosophiques de Sophie Germain ; suivies de pensées et de lettres inédites. Et précédées d'une notice sur sa vie et ses oeuvres, éd. Paul Rinia, Paris, 1879. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2032890" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2032890</a>)</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Autre Publication
<span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Stupuy dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f483.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 16, Paris, 1876, p. 483 et dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f467.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 31, Paris, 1883, p. 468.</span>
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<p><strong><span style="text-decoration:underline;">Etat-Civil</span> </strong>:</p>
<p>Stupuy est né à Paris le 18 juin 1832.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span> :<br /><br />Aucune information.</p>
<p>Les études biographiques (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5861239f/f735.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Glaeser (1878)</a>, <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5554299n/f1328" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Lermina (1885)</a>) indiquent seulement que Stupuy a suivi des études littéraires et scientifiques avant de débuter dans le journalisme.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span> :<br /><br />En 1849, Stupuy débute une carrière de journaliste en collaborant à l’<i>Artiste </i>de Lille et au <i>Républicain</i> de Dunkerque. Il intervient ensuite dans plusieurs périodiques mondains et politiques (<i>La Politique</i>, le <i>Siècle</i>).</p>
<p>En 1867, il devient un collaborateur de <i>La </i><i>Philosophie Positive</i>. Entre 1867 et 1883, il publie une soixantaine d’interventions dans le périodique de Littré.<br /><span style="text-decoration:underline;"><strong><br /><br />Engagements sociaux, civiques et politiques</strong></span> :<br /><br />En 1870, pendant le siège de Paris, il est secrétaire de la commission d’armement du XIe arrondissement et organisateur des bataillons de marche de la garde nationale.<br />En 1871, il est membre de la ligue des droits de Paris dont l’objectif est de concilier le Paris insurgé et le gouvernement de Versailles.<br />En 1884, il est conseiller municipal pour le quartier Saint-Georges (IXe arrondissement).<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sicences</strong></span> :<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Stupuy débute en 1878 et cesse en 1878. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose d’un article de fond. Elle représente ainsi 1,5% de la production totale de l’auteur dans le périodique<a href="#_ftn1" title="">[1]</a>.<br /><br /></p>
<ul><li>Un article de fond <span>d'histoire et de médiation des sciences consacré aux recherches mathématiques de Sophie Germain. Cette intervention sert de préface aux Oeuvres philosophiques de Sophie Germain, avec des Pensées et des Lettres inédites. </span></li>
</ul><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Source</strong></span> :<br /><br />- Delmas, Bruno, <a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=123873" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://cths.fr/an/savant.php?id=123873</a><br /><br />- Glaeser, Ernest, <em>Biographie nationale des contemporains</em> / rédigée par une société de gens de lettres, sous la direction de M. Ernest Glaeser, Paris, 1878. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5861239f/f735.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5861239f/f735.image</a>)<br /><br /><br />- Heilbron, Johan (2007), « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)<br /><br />- Lermina, Jules, Dictionnaire universel illustré, biographique et bibliographique, de la France contemporaine, Paris, 1885. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5554299n/f1328" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5554299n/f1328</a>)<br /><br /><div>
<div>
<p><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Stupuy totalise 62 interventions dans <i>La Philosophie Positive</i> (articles, notes, commentaires, recensions, lettres). Heibron (2007), p. 316.</p>
</div>
</div>
Date Profession
1849-1900
Nom Attache Institutionnelle
Société de Sociologie
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Stupuy, Hippolyte (1832-1900)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Wyrouboff
Prénom
Grégoire Nicolaevitch
Année de naissance
1843
Année de décès
1913
Ville Naissance
Moscou
Ville Décès
Paris
Nationalité
Russe
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de médecine
Faculté des Sciences
École de chimie de Frémy, Muséum national d’histoire naturelle
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Saint Pétersbourg
Berlin
Paris
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Doctorat ès sciences physiques
Date Doctorat
1886
Titre Doctorat
Recherches sur la structure des corps cristallisés doués de pouvoir rotatoire (thèse 1) et recherches sur la composition et la forme cristalline de quelques nouveaux tartrates (thèse 2)
Ville Exercice Professionnel
Paris
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Société Chimique de Paris
Société française de minéralogie
Société de Sociologie
Société d'anthropologie de Paris
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1867
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1883
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Source
<p>Clauzade, Laurent, « Grégoire Wybouroff : Penser la Russie. Essais de sociologie positive appliquée ? », in <em>Archives de Philosophie</em>, t. 79, 2016, pp. 297-316. (<a href="https://www.cairn.info/revue-archives-de-philosophie-2016-2-page-297.htm" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.cairn.info/revue-archives-de-philosophie-2016-2-page-297.htm</a>)</p>
<p>Copaux, Hippolyte, « Notice sur la vie et les travaux de Grégoire Wybouroff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la société chimique de France</em>, t.15, pp. 1-21. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image</a>)</p>
<p>Jourdy, Émile, « Wyrouboff, sa vie, son œuvre », in <em>Revue scientifique</em>, 1914, pp. 14-19. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image</a>)</p>
<p>Wallerant, Frédéric, « Wyrouboff », in <em>La nature</em>, n°2119, p. 94. (<a href="http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716</a>)</p>
<p>Semlali, Yusef, « Eugène de Roberty (1843-1915). Une page peu connue de l’histoire de la sociologie », 22 pages, 2005. (<a href="https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document</a>)</p>
<p>Heilbron, Johan, « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)</p>
<p>Wallerant, Frédéric, « Wyrouboff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la Société française de minéralogie</em>, t. 37, 1914, Paris, pp. 44-58. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image</a>)</p>
<p>Charle, Christophe, Telkès, Eva. 91. Wyrouboff (<i>Grégoire</i>, Nicolas), in Charle Christophe, Telles Eva, <i>Les professeurs du Collège de France - Dictionnaire biographie 1901-1939</i>, Paris : Institu. National de recherche pédagogique, 1988, pp. 242-243. (<a href="http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170</a>)</p>
Commentaire Profession
<p>Bien que Wyrouboff soit identifié comme Professeur de sciences-physiques sur la première de couverture de son ouvrage <em>La Science vis-à-vis de la religion </em>(<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s</a>), ses activités, productions et recherches scientifiques conduisent à le catégoriser comme Chimiste. Voir à ce sujet, le recensement des contributions de Wyrouboff à la chimie (1866-1908) réalisé par <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f740.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Copaux, Hippolyte (1914), pp. XV-XXI</a>.</p>
<p>En 1903, Wyrouboff est titulaire de la Chaire d'Histoire générale des sciences du Collège de France</p>
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/12" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La Physique Moderne, <em>Essai sur l'unité des phénomènes naturels</em>, par M. Saigey. Paris, 1867, in-18, Germer-Baillière</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.1, Paris, 1867, pp. 156-164. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f157.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f157.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le Certain et le probable, l’absolu et le relatif</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.1, Paris, 1867, pp. 165-182. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f164.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f164.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/14" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’hypothèse de l’éther en optique</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.2, Paris, 1868, pp. 246-264 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f249.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f249.image</a>)</p>
<p> « <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/15" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De l’individu dans le règne inorganique</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.4, Paris, 1869, pp. 52-70 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f51.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f51.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/16" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Quelques mots à propos d’une nouvelle métaphysique : conséquences philosophiques et métaphysiques de la thermodynamique, par G. A. Hirn</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.6, Paris, 1870, pp. 225-240. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f228.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f228.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/17" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Minéralogie</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 16, Paris, 1876, pp. 199-215. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f199.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f199.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/18" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De l’esprit métaphysique en chimie</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 23, Paris, 1879, pp. 177-199. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77894g/f176.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77894g/f176.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Les Hypothèses scientifiques</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 25, Paris, 1880, pp. 169-184. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778965/f168.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778965/f168.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/20" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Ce qu’il faut pour philosopher</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 31, Paris, 1883, pp. 5-26. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f4.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f4.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/21" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La philosophie matérialiste et la philosophie positive</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 22, Paris, 1879, pp. 23-49 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778934/f23.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778934/f23.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/23" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. L'Année philosophique. Études critiques sur le mouvement des idées générales dans les divers ordres de connaissances, par Ch. F. Pillon, avec une introduction par M. Ch. Renouvier. Paris, 1868, Germer-Baillière</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 2, Paris, 1868, pp. 467-472. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f470.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f470.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/24" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. L'Année philosophique, par J. Pillon. - Paris, 1869. Chez Germer-Baillière</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 5, Paris, 1869, pp. 321-324. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f321.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f321.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/25" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. Annuaire scientifique, par Deherain, huitième année, 1869</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 5, Paris, 1869, pp. 324-326 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f324.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f324.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/26" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. Infini et quantité. Études sur le concept de l'infini en philosophie et dans les sciences, par E. Evellin, ancien élève de l'École normale supérieure, agrégé de philosophie au Lycée Saint-Louis. Paris, G. Baillière, 1881; Essai de philosophie naturelle, par J. Tissot, ingénieur en chef du corps des mines. Tome 1er, G. Baillière, Paris, 1881</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 26, Paris, 1881, pp. 452-457. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77897h/f451.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77897h/f451.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/27" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La Lumière électrique, son histoire, sa production et son emploi, par E. Alglave et J. Boulard. Paris, F. Didot, 1882</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 28, Paris, 1882, pp. 313-314. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778996/f312.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778996/f312.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/42" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Qu'est-ce que la géologie</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.1, Paris, 1867, pp. 31-50. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f30.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f30.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/43" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La science au point de vue philosophique, par E. Littré, Paris, Chez Didier</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.10, Paris, 1873, pp. 477-478. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778814/f476.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778814/f476.image</a>)</p>
« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/44" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La philosophie scientifique, par H. Girard, Bruxelles, chez Macquardt</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em><br />, t.24, Paris, 1880, pp. 319-320. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f318.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f318.image</a>)
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/337" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De la méthode dans la statistique</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie</a></em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"> Positive</a>, t. 6, Paris, 1870, pp. 23-43. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f26.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f26.item)</a></p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
19
Autre Publication
<p>Voir la liste des articles (en particulier sociologiques et politiques) de Grégoire Wyrouboff parus dans la revue <em>La Philosophie positive</em> réalisée par Clauzade dans Clauzade, Laurent, « Grégoire Wybouroff : Penser la Russie. Essais de sociologie positive appliquée ? », in <em>Archives de Philosophie</em>, t. 79, 2016, pp. 297-316.</p>
<p>Voir la liste chronologique des articles scientifiques (une centaine consacrée principalement à la chimie, la minéralogie et la cristallographie) de Grégoire Wyrouboff réalisée par Copaux dans <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f740.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Copaux, Hippolyte, « Notice sur la vie et les travaux de Grégoire Wybouroff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la société chimique de France</em>, t.15, pp. I-XXI</a></p>
<p>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Wyrouboff dans <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em>dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f483.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 16, Paris, 1876, pp. 483-485 et dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f468.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 469-470.</p>
<p>Wyrouboff publia deux articles dans la<em> Revue Générale des Sciences pures et appliquées </em>(non référencés ailleurs) :<br /><br />« L’Enseignement de la minéralogie », in <em>Revue Générale des Sciences pures et appliquées</em>, 1903, pp. 9-12. (<a href="%C2%AB%C2%A0L%E2%80%99Enseignement%20de%20la%20min%C3%A9ralogie%C2%A0%C2%BB,%20in%20Revue%20G%C3%A9n%C3%A9rale%20des%20Sciences%20pures%20et%20appliqu%C3%A9es,%201903,%20pp.%209-12.%20(http%3A//gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17078s" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17078s</a>)<br /><br /></p>
<p>« Les Théories modernes sur la structure des milieux cristallisés », in <em>Revue Générale des Sciences pures et appliquées</em>, 1906, pp. 1050-1059. (<a href="%C2%AB%C2%A0Les%20Th%C3%A9ories%20modernes%20sur%20la%20structure%20des%20milieux%20cristallis%C3%A9s%C2%A0%C2%BB,%20in%20Revue%20G%C3%A9n%C3%A9rale%20des%20Sciences%20pures%20et%20appliqu%C3%A9es,%201906,%20pp.%201050-1059.%20http%3A//gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17081p/f1054.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17081p/f1054.image</a>)</p>
Profession
Chimiste
Professeur de philosophie
Commentaire Statut Professionnel Reconstitué
<p>Malgré sa nomination à la chaire d'"Histoire générale des sciences" du Collège de France, Wyrouboff n'est pas catégorisé comme Philosophe. Ses publications en philosophie des sciences dans les périodiques philosophiques cessent avec l'arrêt de <em>La Philosophie Positive </em>en 1883. Il ne publia pas les cours professés au Collège de France.</p>
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/22" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Science vis-à-vis de la religion</em></a>, éd. Germer-Baillière, Paris, 1865. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s</a>)</p>
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
École de chimie de Frémy, Muséum national d’histoire naturelle
Faculté des Sciences
Collège de France
Statut Prof. reconstitué
Chimiste-Philosophe
Date Profession
1887-1913
1903-1913
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Grégoire Wyrouboff est né à Moscou le 14 novembre 1843. Il descend d’une famille noble russe<a href="#_ftn1" title="">[1]</a>. Il est naturalisé français le 4 janvier 1887. Wyrouboff meurt à Paris le 13 décembre 1913.</p>
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Formation</strong></span><strong> :</strong></p>
<p>Après des études au Lycée Bonaparte (Lycée Condorcet aujourd’hui) à Paris de 1855 à 1857 et au Lycée Alexandre de Saint-Pétersbourg<a href="#_ftn2" title="">[2]</a>, il suit des études de médecine et de sciences naturelles (cristallographie et chimie) à la Faculté des sciences et à la Faculté de médecine de Saint-Pétersbourg, Berlin et Paris.</p>
<p>En 1864, il entre à l’École de chimie de Frémy où la chimie est enseignée non seulement du point de vue de ces « applications à l’analyse, aux sciences-naturelles et à l’agriculture (…), mais aussi dans ses rapports avec les autres sciences, telles que la physique, la minéralogie et la géologie<a href="#_ftn3" title="">[3]</a> ». Wyrouboff reçoit ainsi une formation en chimie minérale (première année), en chimie organique (deuxième année) et en chimie appliquée (troisième et quatrième année). C’est en 1864, avec l’appui du directeur du Muséum national d’histoire naturelle Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) et du directeur de l’enseignement supérieur Victor Duruy (1811-1894), que le chimiste Edmond Frémy (1819-1844) fonde le premier laboratoire public français d’enseignement et de recherche gratuit de chimie pratique au Muséum national d’histoire naturelle. L’École fonctionne de 1864 à 1892, date à laquelle Frémy est mis à la retraite<a href="#_ftn4" title="">[4]</a>.</p>
<p class="p1">En 1886, Wyrouboff obtient le doctorat ès sciences-physiques à la Faculté des sciences de Paris (1ère thèse : Recherches sur la structure des corps cristallisés doués du pouvoir rotatoire ; 2ème thèse : Recherches sur la composition et la forme de quelques nouveaux tartrates).<br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Carrière scientifique</strong></span><strong> :</strong></p>
<p class="p1">Wyrouboff débute sa carrière scientifique à partir des années 1870 au sein de l’École de chimie de Frémy. Il mène plusieurs travaux en cristallographie et chimie. De 1866 à 1908, il publie ses travaux dans le <i>Bulletin de la Société chimique de France</i>, les <i>Annales de Chimie-physique</i>, le <i>Bulletin des Sociétés des Naturalistes de Moscou</i>, le <i>Bulletin de la Société de Minéralogie</i>, les <i>Comptes-Rendus de l’Académie des Sciences</i><a href="#_ftn5" title=""><b>[5]</b></a>. En 1889, il publie un <i>Manuel pratique de cristallographie</i> (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k91951f.texteImage" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k91951f.texteImage</a>). Wyrouboff est membre de la Société Française de minéralogie et de la Société chimique de France.</p>
<p class="p1">Du 15 novembre 1893 au 21 février 1894, il donne des conférences au laboratoire de Charles Friedel (1832-1899) à la Faculté des sciences de Paris<a href="#_ftn6" title="">[6]</a>.</p>
<p class="p1">En 1901, suite à la fermeture de l’École de Frémy, la Sorbonne lui prête gracieusement un laboratoire personnel où il poursuit ses travaux jusqu’en 1908.</p>
<p>En 1903, Wyrouboff est nommé titulaire de la chaire d’histoire générale des sciences du Collège de France. Il occupe cette chaire jusqu’à sa mort en 1913<a href="#_ftn7" title="">[7]</a>. Cette nomination a suscité plusieurs polémiques. Fondée en 1892, la chaire d’histoire des sciences est occupée par le positiviste Pierre Laffitte (1823-1903). À la mort de ce dernier en 1903, la chaire est mise au concours. L’ingénieur et historien des sciences Paul Tannery (1843-1904) est le candidat favori pour succéder à Laffitte. Il est placé premier par l’ensemble des professeurs du Collège de France et de l’Académie des sciences. Cependant, le Ministre de l’Instruction publique, par arrêté ministérielle en date du 20 décembre 1903, désigne Wyrouboff comme titulaire de la chaire. Pour une présentation et analyse historiographiques des polémiques suscitées par la titularisation de Wyrouboff, nous renvoyons le lecteur à Sarton (1947), Petit (1995) et Paul (1976) et Pineau (2010).<br />Les cours professés par Wyrouboff au Collège de France<a href="#_ftn8" title="">[8]</a> portent principalement sur l’histoire des sciences physiques et chimiques<a href="#_ftn9" title="">[9]</a>.</p>
<p class="p1"><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Engagements sociaux, civiques et politiques :</strong></span></p>
<p class="p1">En 1870, pendant le siège de Paris, il est incorporé dans l’ambulance de la Presse. Il est en charge du service hospitalier. En récompense de sa collaboration à la défense nationale, il reçoit la croix de chevalier de la légion d’honneur (1873).</p>
<p>En 1875, il est reçu, avec <em>É</em>mile Littré (1801-1881) et Jules Ferry (1832-1893), par le Grand Orient de France (loge « La Clémente Amitié ») et devient franc-maçon.</p>
<p class="p1">En 1877, lors de la guerre turco-russe, il est médecin-chef d’une grande ambulance dans la région frontière en face de Kars (Caucase). Il est décoré de l’ordre de Saint-Vladimir.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</strong></span><strong> :</strong><span style="text-decoration:underline;"><strong><br /><br /></strong></span>C’est par l’intermédiaire du philosophe positiviste Louis Edmond Pommier (1812- 1 ???)<a href="#_ftn10" title="">[10]</a>, alors professeur titulaire de la chaire de littérature française au Lycée Impérial Alexandre de Saint-Pétersbourg depuis 1859, que Wyrouboff s’initie au positivisme. C’est ainsi à travers une leçon sur le mouvement des idées dans la France contemporaine que « Wyrouboff reçoit non seulement une doctrine, le positivisme dans sa version « incomplète », antireligieuse et républicaine, mais aussi un réseau de relations au sein duquel il évoluera toute sa vie : par son professeur de littérature, il a eu accès à Littré, qu’il rencontre dès 1862, ainsi qu’à Madame Comte, qui le poussera plus tard, (…) à s’engager dans l’aventure de la revue <i>La Philosophie positive</i>, et enfin à tous les cercles de pouvoir des quarante premières années de la troisième République » (Clauzade (2016), pp. 299-300).</p>
<p class="p1">En 1862, jouissant d’une grande fortune personnelle, Wyrouboff propose à Madame Comte de subventionner la réimpression du <i>Cours de Philosophie positive</i> d’Auguste Comte (1798-1857). En 1867, en collaboration avec Littré, il participe à la fondation, au financement et au fonctionnement de la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>. En 1872, il participe à la fondation de la première Société de sociologie<a href="#_ftn11" title="">[11]</a> dont l’objectif premier est une étude scientifique des problèmes sociaux et politiques<a href="#_ftn12" title="">[12]</a>.<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Wyrouboff débute en 1867 et cesse en 1883. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 11 articles de fond et 8 recensions. Elle représente ainsi 12% de la production totale de l'auteur dans le périodique<a href="#_ftn13" title="">[13]</a>.</p>
<ul><li>4 Articles de fond et 1 recension sont consacrés à une présentation et défense des principes et méthodes fondamentales du système positiviste (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/23" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1868)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/16" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1870)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/21" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1879)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/20" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1883)</a>).</li>
<li>3 Articles de fond portent sur l’actualité scientifique liée à la géologie (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/42" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a>) et à la minéralogie (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/15" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1869)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/17" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1876)</a>). Ces sciences sont abordées à partir de la classification positivistes des sciences. L'objectif principal de l'auteur est de fixer la place qu'occupent la géologie et la minéralogie dans la série hiéarchique des sciences. Une étude similaire est réalisée par <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/337" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1870)</a> sur la statistique et ses méthodes. En donnant une définition rationnelle et positive de la statistique et de ses méthodes, le Chimite-Philosophe est conduit à condamner l'utilisation du calcul des probabilités dans l'étude des phénomènes sociaux.</li>
<li>3 Articles de fond et 1 recension sont dédiés à l’actualité scientifique liées aux sciences physiques et chimiques. La théorie de l’éther (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/12" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/14" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1868)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a>) et l’atomisme (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/18" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1879)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a>) sont principalement examinés à partir de la théorie positiviste des hypothèses scientifiques. L'enjeu de ces interventions est de déterminer la nature, la valeur et la légitimité des hypothèses scientifiques. </li>
</ul><p class="p1"><br />En 1867, dans le deuxième numéro du périodique, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a> publie un article programmatique dans lequel il expose le principe fondamental du positivisme<a href="#_ftn1" title="">[14]</a> à partir duquel son activité éditoriale et épistémologique s’articule. Faisant suite à l’article programmatique de <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Littré (1867)</a> publié dans la première livraison de la revue et consacré à l’exposé de la méthode, de la doctrine et des conséquences du système positiviste, l’intervention du Chimiste-Philosophe propose une interprétation scientiste et phénoméniste extrêmement strict de la philosophie comtienne. Ce positivisme hétérodoxe qui structure d’un point de vue théorique le périodique s’oppose à la religion positiviste et à la méthode subjective développées par Comte dans le <i>Système de Politique positive</i> et entretenues par Laffitte et les collaborateurs de <i><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/34" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Revue occidentale</a> </i>(Clauzade (2016). L’interprétation scientiste et phénoméniste du positivisme constitue le schème conceptuel et le cadre théorique<a href="#_ftn14" title="">[15]</a> au sein duquel Wyrouboff mène un travail éditorial et une activité épistémologique de médiation scientifique. C’est à travers ce travail que l'auteur vise à fournir aux lecteurs les principes positivistes permettant non seulement de s’affranchir des recherches ontologiques et d’éliminer des sciences positives toute forme résiduelle de métaphysique, mais aussi de lutter contre la spécialisation exagérée du travail scientifique.</p>
<p class="p1"><br />Les analyses épistémologiques dédiées aux théories physiques et chimiques conduisent <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a> à abandonner l’interprétation conservatrice et phénoméniste de la méthodologie positiviste des sciences selon laquelle les hypothèses portant sur des entités inobservables sont des conceptions métaphysiques devant être éliminées des connaissances positives au profit de recherches exclusivement limitées aux propriétés phénoménales de la matière<a href="#_ftn1" title="">[16]</a>. L'auteur systématise alors une forme libérale de positivisme que nous pouvons qualifier de positivisme fictionaliste. Dans cette forme de positivisme, les hypothèses portant sur des entités inobservables sont des fictions légitimes théoriquement et empiriquement fécondes n'ayant aucune valeur ontologique<a href="#_ftn1" title="">[17]</a>. <br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Source</strong></span><strong> : </strong></p>
<p>- Charle, Christophe, Telkès, Eva (1988). 91. Wyrouboff (<i>Grégoire</i>, Nicolas), in Charle Christophe, Telles Eva, <i>Les professeurs du Collège de France - Dictionnaire biographie 1901-1939</i>, Paris : Institu. National de recherche pédagogique, 1988, pp. 242-243. (<a href="http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170</a>)</p>
<p>- Clauzade, Laurent (2016), « Grégoire Wybouroff : Penser la Russie. Essais de sociologie positive appliquée ? », in <em>Archives de Philosophie</em>, t. 79, 2016, pp. 297-316.<br /><br />- Copaux, Hippolyte (1913), « Notice sur la vie et les travaux de Grégoire Wybouroff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la société chimique de France</em>, t.15, Paris, 1913, pp. 1-21. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image</a>)<br /><br />- Heilbron, Johan (2007), « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)<br /><br />- Jourdy, Émile (1914), « Wyrouboff, sa vie, son œuvre », in <em>Revue scientifique</em>, 1914, pp. 14-19. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image</a>)<br /><br />- Kersaint, Georges (1964), « L’École de chimie de Frémy », in <em>Revue d’histoire de la pharmacie</em>, 1964, pp. 165-172. (<a href="http://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_1964_num_52_183_8236" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_1964_num_52_183_8236</a>)<br /><br />- Paul, Harry W (1976), « Scholarship and ideology : The chair of the general history of science at the Collège de France, 1892-1913 », in <i>Isis</i>, 1976, pp. 376-397.<br /><br />- Petit, Annie (1995), « L’héritage du positivisme dans la création de la chaire d’histoire générale des sciences au Collège de France », in <i>Revue d’histoire des sciences</i>, t. 48, 1995, pp. 521-556. (<a href="http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1995_num_48_4_1241" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1995_num_48_4_1241</a>)<br /><br />- Pineau, François (2010), <i>Historiographie de Paul Tannery et réceptions de son oeuvre : sur l’invention du métier d’historien des sciences</i>, Université de Nantes, 2010. (<a href="https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00726388/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00726388/</a>)<br /><br />- Sarton, Georges (1947), « Paul, Jules, and Marie Tannery (With a Note on Grégoire Wyrouboff) », in <em>Isis</em>, Vol. 38, 1947, pp. 33-51.<br /><br />- Schnitter, Claude (1996), « Le développement du Muséum national d’histoire naturelle de Paris au cours de la seconde moitié du XIX siècle : « se transformer ou périr » », in Revue d’histoire des sciences, t. 49, 1996, pp. 53-98. (<a href="http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1996_num_49_1_1248" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1996_num_49_1_1248</a>)<br /><br />- Semlali, Yusef (2005), « Eugène de Roberty (1843-1915). Une page peu connue de l’histoire de la sociologie », 22 pages, 2005. (<a href="https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document">https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document</a>)<br /><br />- Wallerant, Frédéric, « Wyrouboff », in La nature, n°2119, p. 94. (<a href="http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716">http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716</a>)<br /><br />- Wallerant, Frédéric (1914), « Wyrouboff (1843-1913) », in Bulletin de la Société française de minéralogie, t. 37, 1914, Paris, pp. 44-58. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image</a>)</p>
<p> </p>
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<p><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Wyrouboff est Conte (Yusef (2005)).</p>
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<p><a href="#_ftnref2" title="">[2]</a> École privilégiée de la noblesse, où l’on enseigne à la fois les sciences, les lettres et le droit (Copaux (1913), p. II).</p>
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<p><a href="#_ftnref3" title="">[3]</a> Kersaint (1964).</p>
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<p><a href="#_ftnref4" title="">[4]</a> Pour une présentation historiographique de l’École de Frémy, nous renvoyons le lecteur à Kersaint (1964) et Schnitter (1996).</p>
</div>
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<p><a href="#_ftnref5" title="">[5]</a> Pour une présentation des travaux scientifiques de Wyrouboff, nous renvoyons le lecteur à Copaux (1913) et Wallerant (1914).</p>
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<p class="p1"><a href="#_ftnref6" title="">[6]</a> « Sur la nature des phénomènes de polymorphisme et d’isomorphisme » (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5462541w/f10.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5462541w/f10.image</a>)</p>
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<p><a href="#_ftnref7" title="">[7]</a> Du fait de la maladie de Wyrouboff, le Collège de France a fait parfois appel à un suppléant. Le docteur Léonce Manouvrier (1850-1927) remplaça ainsi le Chimiste-Philosophe à plusieurs reprises et professa des cours sur les sciences inorganiques (« Constitution de la psychologie, de l’anthropologie, de la sociologie, et leurs rapports suivant le plan général de la classification d’Auguste Comte », premier semestre de 1909-1910).</p>
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<p><a href="#_ftnref8" title="">[8]</a> Les cours sont conservés dans le fond Grégoire Wyrouboff et déposés à l’IMEC.</p>
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<p><a href="#_ftnref9" title="">[9]</a> Liste des intitulés des cours professés par Wyrouboff : « Histoire moderne des sciences physico-chimiques » (1903-1904), « Histoire des théories sur la structure de la matière. Évolution générale des sciences physico-chimique » (1903-1904), « Histoire de la géologie et de la minéralogie » (1905-1906), « Histoire de la chimie » (1906-1907), « Histoire de la physique depuis les premières tentatives d’Aristote jusqu’à nos jours » (1907-1908), « Tableau général du développement des connaissances positives sur la nature depuis les faits les plus simples que nous donnent les mathématiques jusqu'aux phénomènes si complets de la vie » (1908-1909), « Histoire de la Chimie depuis Lavoisier » (1909-1911), « Évolution des théories géologiques » (1910-1911), « Étude critique des théories générales de la physique depuis les premières généralisations de Galilée jusqu'aux conceptions aussi ingénieuses qu'hypothétiques de la physique moderne » (1911-1912), « Histoire des hypothèses cosmogoniques et des théories géologiques » (1913-1914). Le cours sur l’histoire des hypothèses cosmogoniques n’a jamais eu lieu.</p>
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<p><a href="#_ftnref10" title="">[10]</a> Pommier adhère en 1848 à la société positiviste fondée par Comte. À l’instar de Littré, Pommier rejette le positivisme religieux. Il contribue au dictionnaire de Littré.</p>
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<p><a href="#_ftnref11" title="">[11]</a> Parmi les 26 membres fondateurs, 3 ont une activité dans le champ de la philosophie des sciences au sein de <i>La Philosophie positive </i>: <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/28" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Louis André (1838-1913)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/48" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Littré</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/55" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Stupuy Hippolyte (1832-1900)</a>. La première séance de la Société ainsi que son règlement et ses membres sont publiés dans Littré, Émile, « Fondation d'une Société de Sociologie », in <em>La Philosophie positive</em>, t. 8, 1872.(<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image</a>)</p>
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<p><a href="#_ftnref12" title="">[12]</a> Pour une étude historiographique et prosopographique de la Société, nous renvoyons le lecteur à Heibron (2007).</p>
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<p><a href="#_ftnref13" title="">[13]</a> Wyrouboff totalise 155 interventions dans <i>La Philosophie positive </i>(articles, notes, commentaires, recensions, lettres). Heilbron (2007), p. 316. Les articles de Wyrouboff consacrés à la philosophie des sciences représentent donc une part assez faible de sa production dans <em>La Philosophie positive</em>. Ce dernier va principalement s'illustrer dans le domaine de la sociologie appliquée. Pour une analyse de la production du chimsite-philosophe dans ce domaine, nous renvoyons le lecteur à Clauzade (2016).<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[14]</a> Selon ce principe, les propriétés phénoménales de la matière, ordonnées par des lois scientifiques, constituent la réalité empirique, seul lieu possible d’une véritable connaissance positive.<br /><i></i></p>
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<p><a href="#_ftnref14" title="">[15]</a> Wyrouboff reviendra sur les principes fondamentaux du positivisme afin de dénoncer les confusions conceptuelles, méthodologiques et théoriques des entreprises qui visent à concilier les sciences, la métaphysique et la théologie (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/16" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1870)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/20" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1883)</a>), de faire la preuve que le positivisme n’est pas un matérialisme (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/21" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1879)</a>), de défendre le positivisme contre les attaques formulées par les néo-criticistes Charles Renouvier (1815-1903) et François Pillon (1830-1914) (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/23" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1868)</a>).<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[16]</a> « (Les Hypothèses) ont toujours été considérées comme indispensables. Elles ne sont donc pas des produits accidentels de tel ou tel état des esprits, de telle ou telle doctrine régnante, elles nous apparaissent comme intimement liées au développement des recherches scientifiques, comme inséparables des destinées de la science (…). Cette conclusion, fort légitime pourtant, peut provoquer une objection et une objection très sérieuse. On peut dire que les esprits ne sont pas arrivés encore, dans l’immense majorité des cas du moins, à l’état pleinement positif, qu’ils continuent à se laisser bercer par les illusions des causes finales envisagées à un point de vue spiritualiste ou à un point de vue matérialiste ; que, parvenus à la phase strictement scientifique, ils rejetteront définitivement les derniers vestiges des conceptions métaphysiques et ne chercheront plus d’interprétations en dehors de la phénoménalité. <em><strong>C’est là une opinion soutenue par un certain nombre de penseurs se rattachant à l’école positive, une opinion que j’ai longtemps acceptée dans sa forme la plus absolue</strong></em>. Un examen attentif démontre que l’objection peut et doit être écartée. L’hypothèse scientifique (…) est le produit d'un état donné de la science, de l'ensemble de ses faits, de ses lois, de ses théories; elle est une sorte de conclusion suprême de toutes nos connaissances exactes sur un groupe entier de phénomènes naturels. (...) Plusieurs sciences sont arrivées à leur pleine maturité, à une positivité aussi satisfaisante que possible, pourtant elles possèdent toutes des hypothèses pénibement élaborées et qu'elles conservent précieusement. Il me suffira de citer la physique, une science inférieure, par conséquent simple, une science relativement ancienne, extraordinairement riche en faits exacts, en lois précises et directement vérifiables; elle renferme deux grandes hypothèses qui sont des types du genre et dont l'une, née d'hier, se développe, s'accroît tous les jours. (...) Il n'est donc nullement exact de dire que les hypothèses correspondent à la période métaphysique de la science, qu'elles représentent les derniers reste de la méthode à priori; elles coexistent avec les doctrines les plus positives sans les gêner et sans en être aucunement gênées. (...) La plupart des hypothèses scientifiques ont été très fécondes en résultats, elles ont inspiré et dirigé un grand nombre de travaux considérables, et cela dans les parties les plus délicates, les moins accessibles de la science. Comment eussent-elles pu aboutir, d'une façon si constante et si directe à des lois scientifiques, si elles n'étaient qu'une manifestation de la méthode métaphysique ? Cela nous est une preuve de plus qu'elles font corps aevec la science et qu'il n'est nul besoin de les en exclure.» <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a>, pp. 178-179.<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[17]</a> Les scientifiques doivent ainsi respecter le code d’honneur fictionnaliste des positivistes.</p>
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Commentaire Attache Institutionnelle
Wyrouboff est président de la Société française de minéralogie, fondateur et vice-président de la Société de Sociologie
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Commentaire Fiche Complète
Certains comptes rendus sont à revoir (déterminer s'ils font partis du corpus en philosophie des sciences)
Dublin Core
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A name given to the resource
Wyrouboff, Grégoire Nicolaevitch (1843-1913)