1
40
28
-
Acteur
Un individu.
Nom
Naquet
Prénom
Alfred
Année de naissance
1834
Année de décès
1916
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de Médecine
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Agrégation de chimie
Date Agrégation
1863
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Doctorat de Médecine
Date Doctorat
1859
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Montpellier
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1853-1855
1855-1862
Ville Naissance
Carpentras
Ville Décès
Paris
Licencié
Oui
Type Licence
Licencié ès Sciences-Physiques
Date Licence
1857
Titre Doctorat
Application de l'analyse chimique à la toxicologie
Profession
Professeur de Sciences Chimiques
Ville Exercice Professionnel
Palerme
Paris
Attache Institutionnelle
Oui
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1867
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1868
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/5" target="_blank" rel="noreferrer">De l’affinité</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.1, Paris, 1867, pp. 313-321. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f312.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f312.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/10" target="_blank" rel="noreferrer">De l'atomicité</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a>, t.2, Paris, 1868, pp. 85-107. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f88.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f88.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
2
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
Chabaud, Jean-Paul, <em>Alfred Naquet (1834-1916), Parlementaires Comtadin, « Père » du Divorce</em>, éd. Études Comtadines, Paris, 2002.
<p>Naquet Alfred, Ancien sénateur du Vaucluse : <a href="https://www.senat.fr/senateur-3eme-republique/naquet_alfred1708r3.html" target="_blank" rel="noreferrer">https://www.senat.fr/senateur-3eme-republique/naquet_alfred1708r3.html</a></p>
<p>Adolphe Robert, Edgar Bourloton et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889, éd. Bourloton, Paris, 1889-1891 : <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081</a> / <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a> </p>
<p>Base de données des députés français depuis 1789 : <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a></p>
Correspondance
Correspondance de Duhem, Pierre
Commentaire Correspondance
Lettre d'Alfred Naquet à Pierre Duhem. Naquet désire savoir s'il est possible de se procurer les interventions de Duhem sur la mécanique chimique et la chimie physique.
Autre Publication
<p>«La Discussion de MM. Wurtz, Deville et Berthelot », in <em>Le Moniteur scientifique</em>, t.19, Paris, 1877, pp.801-804. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215200m/f800.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215200m/f800.image</a>)</p>
<p>« Sur la Constitution de la Matière », in <em>Le Moniteur scientifique</em>, t.56, Paris, 1900, pp.481-489. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215233s/f64.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215233s/f64.image</a>)</p>
<p>« Une Crise dans la science », in <em>Le Moniteur scientifique</em>, t.60, Paris, 1904, pp.321-330. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152400/f321.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152400/f321.image</a>)</p>
<p>« L’Énergie. A propos de l’Ouvrage de W. Ostwald », in<em> Le Moniteur scientifique</em>, t.75, Paris, 1911, pp.777-784. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152557/f360.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152557/f360.image</a>)</p>
<p><span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Naquet dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f481.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 16, Paris, 1876, p. 481 et dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f464.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 31, Paris, 1883, p. 465.</span></p>
Nom Attache Institutionnelle
Société Chimique de Paris
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Institut technique
Faculté de Médecine
Statut Prof. reconstitué
Chimiste-Philosophe
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><strong><br /><br /></strong>Alfred Naquet est né à Carpentras le 6 octobre 1834. Il descend d'une famille israélite. Il meurt à Paris le 11 novembre 1916.<br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Formation</strong></span><strong> :</strong> <br /><br />Naquet suit des études au Collège de Carpentras. En 1851, il obtient son baccalauréat ès lettres. <br /><br />En 1852, il début des études de médecine à la Faculté de médecine de Montpellier. <br /><br />En 1853, il quitte Montpellier pour poursuivre ses études à la Faculté de médecinde de Paris. Il est élève au laboratoire du chimiste Charles-Adolphe Würtz (1817-1884)<a href="#_ftn1" title="">[1]</a>.</p>
<p>En 1857, il est licencié ès Sciences-Physiques. <br /><br />EN 1859, Naquet obient le doctorat de médecine pour sa thèse sur les <em>Applications de l'analyse chimique à la toxicologie</em>.<br /><br />En 1860, il concourt pour l'agrégation en chimie (thèse : <em>De l'Allotropie et de l'isométrie</em>). Il échoue suite à une erreur commise dans l'épreuve pratique. <br /><br />En 1863, il concourt avec succès pour l'agrégation en chimie (thèse : <em>Des Sucres).</em> Nommé Professeur agrégé de chimie à la Faculté de médecine de Paris en août 1863, il ne prend ses fonctions qu'en novembre 1865.<a href="#_ftn1" title="">[2]<br /><br /><br /></a><strong><span style="text-decoration:underline;">Carrière Scientifique</span> :</strong> </p>
<p>De 1863 à 1865, Naquet séjourne à Palerme, où il occupe la Chaire de chimie et de physique de l'Instituto technico Governativo. C'est à Palerme qu'il rédige les <em><a href="https://play.google.com/books/reader?id=G67wdbT0SKwC&printsec=frontcover&output=reader&hl=fr&pg=GBS.PP1" target="_blank" rel="noreferrer">Principes de chimie fondés sur les théories</a></em><a href="https://play.google.com/books/reader?id=G67wdbT0SKwC&printsec=frontcover&output=reader&hl=fr&pg=GBS.PP1" target="_blank" rel="noreferrer"> moderne</a><a href="https://play.google.com/books/reader?id=G67wdbT0SKwC&printsec=frontcover&output=reader&hl=fr&pg=GBS.PP1" target="_blank" rel="noreferrer">s</a>, premier ouvrage d'enseignement et de vulgarisation consacré à la théorie atomique. Cet ouvrage, qui connait quatre éditions et plusieurs traductions (anglais, allemand, russe) entre 1865 et 1890, contribue à assurer la diffusion de la théorie atomique auprès des étudiants et de la communauté scientifique. Les travaux qu'il réalise dans son laboratoire de Palerme sont publiés dans les <em>Comptes-rendus de l'Accadémie des Sciences de Paris </em>et le <em>Bulletin de la Société Chimique de France</em>. <br /><br />En 1865, de retour en France, il occupe son poste de Professeur agrégé de Chimie à la Faculté de médecine de Paris. Il mène, pendant deux ans, ses travaux et recherches expérimentales au sein du laboratoire de Würtz. <br /><br />En 1867, il entre dans la vie politique active. il participe à la formation d'un comité révolutionnaire et organise, en collaboration avec le professeur de droit <span>Émile</span><span> Acollas</span> (1826-1891), le premier Congrès de la Paix qui se tient à Genève les 11, 12 et 13 septembre 1867. <br /><br />En 1868, suite à une condamnation politique pour délit de société secrète, Naquet est privé de sa chaire à la Faculté de Médecine<a href="#_ftn1" title="">[3]</a>. Il est alors contraint d'abandonner non seulement ses recherches expérimentales, mais aussi sa carrière et son enseignement scientifique<a href="#_ftn1" title="">[4]</a>. Il poursuit son activité dans le champ des sciences physiques et chimiques en tant que journaliste scientifique. Ainsi, de 1867 à 1911, Naquet publie plusieurs chroniques et feuilletons scientifiques dans des périodiques (<em>Tribune</em>, <em>Démocratie</em>, <em>Le Moniteur Scientifique</em>). Il rédige plusieurs entrées du <em>Dictrionnaire Universel </em>(1865-1876) de Pierre Larousse et du <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3383f" target="_blank" rel="noreferrer"><em>Dictionnaire de chimie pure et appliquée</em></a><em> </em>de Würtz. <br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Engagement sociaux, civiques et politiques</strong></span><strong> :</strong></p>
<p>En 1869, suite à sa condamnation pour la publication de <em>Religion, Propriété, Famille</em>, Naquet s'exile en Espagne en tant que correspondant du <em>Reveil</em> et du <em>Rappel</em><em>. </em>Une amnestie est accordée par Napoléon III permettant à Naquet de rentrer en France à la fin de l'année 1869.<br /><br />De 1871 à 1898, il endosse des responsabilités politiques. Il est élu député du Vaucluse de 1871 à 1883, sénateur de la Seine de 1883 à 1890 et député de la Seine de 1889 à 1898. <br /><br />Pour des présentations et des études historiographiques des positions et actions politiques du Chimiste-Philosophe, nous renvoyons à Proth (1883), Robert et Cougny (1889), Flax (1909), Chabaud (2002), Portalez (2015).<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><b>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</b></span><b> :</b><span style="text-decoration:underline;"><b><br /><br /></b></span>L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Naquet au sein des périodiques philosophiques débute en 1867 et cesse en 1868. Elle se déploie exclusivement dans la revue <i>La Philosophie Positive</i>. Elle se compose de deux articles de fond consacrés à un plaidoyer philosophique en faveur de la théorie atomique<a href="#_ftn1" title="">[5]</a>.<br /><br />Historiquement, il est le premier chimiste à intervenir au sein des périodiques philosophiques français de cette époque et à diffuser la nouveauté scientifique auprès de la communauté positiviste. Naquet présente plusieurs intérêts manifestes pour la compréhension de la pratique éditoriale et philosophique des scientifiques.<br /><br />En premier lieu, il introduit, pour la première fois au sein du champ philosophique, les débats scientifiques opposant les atomistes de l’École de Würtz<a href="#_ftn2" title="">[6]</a> aux anti-atomistes Henri Sainte-Claire Deville<a href="#_ftn3" title="">[7]</a> (1818-1881) et Marcelin Berthelot (1827-1907). En effet, c’est en octobre 1867, soit quelques mois seulement après la parution du premier numéro de la revue, que le chimiste intervient. Il rapporte les deux célèbres leçons professées devant la Société chimique de France par Deville<a href="#_ftn4" title="">[8]</a>. Naquet ne se contente pas d’être un simple médiateur scientifique entre les chimistes de la Société chimique et la communauté des positivistes de la revue. Ce dernier prend part directement aux débats qu’il rapporte en prenant ouvertement position en faveur de la théorie atomique. Cet engagement est ce qui va le conduire à opérer une analyse philosophique et à chercher à convaincre le lecteur positiviste de la légitimité de cette théorie. L’analyse philosophique est ainsi motivée par une controverse scientifique et c’est dans un contexte de dispute que l’interprétation libérale du positivisme va être invoquée comme instance de légitimation.<br /><br />Ensuite, Naquet, à travers une stratégie éditoriale de diffusion et de médiation scientifiques, offre à l’historien de la philosophie des sciences la possibilité de mettre à jour l’une des façon dont un scientifique pouvait faire usage d’un périodique en mobilisant son programme pour défendre une théorie scientifique sur le plan philosophique. Cette stratégie éditoriale repose sur une forme d’argument d’autorité et permet de comprendre pourquoi Naquet a choisi de mobiliser un périodique, qui se propose d’être l’organe de diffusion de la philosophie positive, pour faire son entrée dans le champ de la philosophie des sciences. Son objectif est de légitimer, d’un point de vue philosophique, la théorie atomique en faisant la preuve de son accord avec le programme positiviste de la revue, tout particulièrement son rejet de toute forme de métaphysique dans la connaissance scientifique. En effet, ces interventions ont été principalement motivées par les attaques formulées par Deville et Berthelot à l’encontre de la théorie atomique :<br /><br />« Les adversaires de la théorie atomique et des formules de constitution nous accusent chaque jour d’oublier les principes de notre science ; ils disent que nous ne faisons plus de la science positive, mais des suppositions toutes gratuites, qui ne conduisent à rien ; qu’en un mot notre chimie est une chimie métaphysique. » (Naquet (1868), p. 88)<br /><br />En effet, lors de sa conférence, Deville affirme que <br /><br />« l’hypothèse des atomes (…) que nous faisons présider à toutes les réactions des corps que nous étudions, sont des pures inventions de notre esprit, des noms que nous faisons substances, des mots auxquels nous prêtons une réalité . (Les atomistes seraient responsables) ce mysticisme scientifique dont la chimie donne en ce moment un dangereux exemple. » (Deville (1866), p. 21)<br /><br />Ces attaques consistent, d’un point de vue philosophique, à accuser les atomistes de pratiquer une chimie à caractère métaphysique. Une telle accusation repose sur la conviction selon laquelle des scientifiques qui sont amenés à postuler, à travers leur construction théorique, des entités inobservables s’engageraient nécessairement dans un programme de recherche s’apparentant à une forme d’essentialisme scientifique. En d’autres termes, selon Deville et Berthelot, les partisans de la théorie atomique, en faisant usage de théories au sein desquelles sont postulées des entités qui échappent à toute vérification expérimentale directe, seraient nécessairement conduits à s’engager ontologiquement à reconnaître que ces entités existent réellement<a href="#_ftn5" title="">[9]</a> et qu’elles représentent les causes premières des phénomènes observables<a href="#_ftn6" title="">[10]</a>. Deville et Berthelot sont conduits à porter une telle accusation du fait, en partie, qu’ils conçoivent la vérification expérimentale dans un sens fort et qu’ils érigent ce dispositif en un critère de démarcation phénoméniste extrêmement strict, ayant pour objectif non seulement de décider du caractère scientifique d’un concept ou d’un énoncé, mais aussi et surtout de fournir un dispositif d’élagage afin de libérer les sciences de toute forme de métaphysique<a href="#_ftn7" title="">[11]</a>. La pertinence épistémique de cette démarcation repose sur le fait qu’elle évite toute intrusion de la métaphysique dans les sciences. Elle permettrait de définir la frontière entre ce qui est épistémiquement accessible aux scientifiques (le domaine phénoménal) et ce qui ne l’est pas (le domaine extra-phénoménal qui échappe aux moyens expérimentaux). Ainsi, en soutenant qu’un énoncé ne peut légitimement prétendre à la scientificité qu’à la condition de porter exclusivement sur des entités accessibles à l’observation, c’est-à-dire susceptible d’être mis directement, au moyen de procédures expérimentales, en rapport avec des données phénoménales, les anti-atomistes sont conduits à exclure les atomes du domaine de la connaissance scientifique et à dénoncer les scientifiques qui en font usage dans leur construction de s’engager dans une recherche ontologique des causes premières.<br /><br />Or, le fait de publier un plaidoyer philosophique dans un périodique positiviste et de revendiquer un accord avec son programme philosophique<a href="#_ftn8" title="">[12]</a> permet de faire la preuve que cette accusation est infondée. En effet,<br /><br />« le titre même de cette revue prouve surabondamment que nous ne nous portons point les défenseurs des causes occultes. Ennemis de toute métaphysique, soumettant toutes nos théories au contrôle de l’expérience, nous ne pouvons que nous rallier à tout ce qu’a dit M. Deville des mots introduits dans la science pour marquer notre ignorance des causes réelles, mots qui non seulement ont le défaut de ne rien nous apprendre, mais encore celui d’arrêter nos investigations en nous faisant croire que nous savons. <a href="#_ftn9" title="">[13]</a> » ( Naquet (1867), 85)<br /><br />Les atomistes, en s’accordant avec les présupposés philosophiques et méthodologiques anti-métaphysique du positivisme<a href="#_ftnref10" title="">[14]</a>, dépouillent ainsi les hypothèses portant sur des entités inobservables de toute connotation ontologique. En d’autres termes, les atomistes refusent non seulement la thèse doxastique selon laquelle employer et accepter des théories portant sur des entités inobservables conduit nécessairement à s’engager ontologiquement en faveur de ces entités<a href="#_ftn11" title="">[15]</a>, mais aussi la thèse axiologique prônant l’idée que l’objectif premier et essentiel des sciences chimiques est de construire des théories scientifiques susceptibles de mettre à jour les causes premières des phénomènes. En revendiquant un accord avec le système positiviste<a href="#_ftn12" title="">[16]</a>, le chimiste pose la base du code d’honneur fictionnaliste qui sera systématisé par Wyrouboff (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff (1880)</a>). Ce code d’honneur, qui constitue les conditions présidant à l’introduction théorique d’entités inobservables, permet d’exclure toute interprétation ontologique de ces entités. Il consiste à reconnaître que les concepts théoriques portant sur des entités inobservables sont des artifices logiques provisoires de l’esprit n’ayant aucune prétention ontologique :<br /><br />« Pourquoi donc repousser cette théorie ? Je le concevrais si, à la manière des métaphysiciens antiques, nous acceptions les atomes, les molécules, les groupements atomiques, comme des vérités absolues, comme des faits démontrés. Mais, à l’époque présente, la métaphysique est trop définitivement sortie de toutes les sciences exactes pour pouvoir y rentrer sous quelque forme que ce soit. Les chimistes les plus partisans de la théorie atomique ne considèrent cette théorie que comme une hypothèse (…). » (Naquet (1868), p. 107)<br /><br />Enfin, après avoir déjoué les attaques des anti-atomistes, Naquet est conduit à examiner la valeur et la fonction de la théorie atomique en tant qu’artifice logique, à partir de la méthodologie de la philosophie positive :<br /><br />« La philosophie positive, en effet, n’a jamais repoussé les hypothèses. Elle s’est bornée à déterminer dans quels cas elles sont légitimes, scientifiques, utiles, et dans quels cas elles ne le sont pas. Si l’on repoussait les hypothèses d’une manière absolue, toute recherche scientifique se réduirait à un empirisme aussi improductif que fastidieux. La philosophie positive admet d’abord, comme hypothèses légitimes les suppositions qui sont susceptibles d’être soumises à la sanction de l’expérience et d’être ainsi démontrées vraies ou fausses. Elle admet en outre une seconde classe d’hypothèse, à laquelle appartient l’hypothèse atomique (…).<a href="#_ftn13" title="">[17]</a>» (Naquet (1868), p. 85).<br /><br />Le Chimiste-Philosophe distingue ainsi deux catégories d’hypothèses dont l’emploi est nécessaire et légitime en science<a href="#_ftn14" title="">[18]</a> La première catégorie recouvre les hypothèses phénoménales. La deuxième catégorie recouvre les artifices logiques. La différence épistémique entre les deux catégories d’hypothèses repose sur le fait que les conditions de recevabilité en science diffèrent d’une catégorie d’hypothèses à l’autre : la vérification expérimentale pour les premières, des critères pragmatistes pour les secondes. Naquet avance ainsi qu’on ne peut pas attendre des hypothèses portant sur des entités inobservables le même mode de justification que celui qui convient aux hypothèses phénoménales. Il s’attache alors aux conditions d’acceptabilité des deux catégories d’hypothèses. Les hypothèses phénoménales sont des suppositions qui <i>sont susceptibles d’être soumises à la sanction de l’expérience et d’être ainsi démontrées vraies ou fausses</i><a href="#_ftn15" title="">[19]</a>. Elles sont de nature à être directement mises à l’épreuve expérimentale en portant exclusivement sur des entités et des phénomènes observables. Ce qui va garantir leur légitimité, leur scientificité, c’est qu’elles ne peuvent être admises en science que si elles subissent avec succès la vérification expérimentale. Elles peuvent ainsi prétendre se fixer définitivement, en tant que lois expérimentales, dans la connaissance scientifique. Les artifices logiques, qui appartiennent à la deuxième catégorie d’hypothèses, ont pour caractéristiques principales d’être théoriquement et empiriquement fécondes<a href="#_ftn16" title="">[20]</a> :<br /><br />« lorsqu’on connaît un certain nombre de phénomènes et de lois, ces phénomènes et ces lois, sans lien entre eux, ne font point un ensemble, un tout. Ils ne permettent pas de prévoir des faits nouveaux et de guider l’expérimentateur dans ses recherches. C’est ici que l’hypothèse devient utile. Elle groupe les phénomènes et les lois et forme de ces phénomènes et de ces lois un ensemble complet, un système. (…) Il y a mieux, l’hypothèse ne se borne pas à classer et à relier les faits déjà connus, elle fait prévoir des faits nouveaux. (…) Elle doit répondre à un nombre de faits supérieurs à celui que l’on connaissant en la créant. (…) Elle fait prévoir mathématiquement les phénomènes encore inconnus susceptibles d’être groupés par elle, elle dirige le savant. (…) On ne peut s’en passer qu’en faisant de la chimie un empirisme dans lequel la science étouffe. » (Naquet (1868), pp. 86-87)<br /><br />Ainsi, ce qui rend nécessaire l’élaboration et l’usage de la théorie atomique et qui lui confère une valeur et une légitimité est non seulement sa capacité à simplifier, ordonner et classer les lois expérimentales déjà connues, mais aussi et surtout sa fécondité heuristique et empirique, c’est-à-dire sa capacité à prédire des lois expérimentales nouvelles. L’élaboration et l’utilisation des artifices logiques dans la connaissance scientifique se justifient à partir de critères épistémiques de nature pragmatiste. Naquet (1868) présente les six hypothèses principales qui constituent la théorie atomique. Cette présentation met en relief le pouvoir prédictif de la théorie en exposant les découvertes qu’elle a rendu possible.<br /><br />Naquet poursuivra sa campagne épistémologique en faveur de la théorie atomique en mobilisant le positivisme libérale dans <i>Le Moniteur Scientifique</i> (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215200m/f800.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1877)</a>, <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215233s/f64.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1900)</a>, <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152400/f321.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1904)</a> et <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2152557/f360.image" target="_blank" rel="noreferrer">Naquet (1911)</a>).<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Source :</span></strong> <br /><br />- Bensaude-Vincent, Bernadette (2009), « Une science sous influence positiviste ? », in <i>Matière à penser. Essais d’histoire et de philosophie de la chimie</i>, Presses universitaires de Paris Nanterre, Paris, 2009, pp. 199-249. (<a href="http://books.openedition.org/pupo/1308" target="_blank" rel="noreferrer">http://books.openedition.org/pupo/1308</a>)<br /><br />- Chabaud, Jean-Paul (2002), <em>Alfred Naquet, Parlementaire Comtadin, "Père" du Divorce</em>, éd. Etudes Comtadines, Pernes-les-Fontaines, 2002.<br /><br />- Deville, Henri Sainte-Claire (1864), « Sur la Dissociation », in <em>Leçons de chimie professées de 1860 à 1869 inclus Société chimique de Paris</em>, T.5, éd. Hachette, Paris, 1864, pp. 255-353.<br /><br />- Deville, Henri Sainte-Claire (1866), « Sur l’Affinité », in <em>Leçons de chimie professées de 1860 à 1869 inclus Société chimique de Paris</em>, T.6, éd. Hachette, Paris, 1866, pp.1-85.<br /><br />- Flax (1909), « Alfed Naquet », in Les Hommes du jour, n°73, 12-06-1909, (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k442309n.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k442309n.item</a>)<br /><br />- Laudan, Larry (1971), « Towards a Reassessment of Comte’s ‘Methode Positive’ », in <i>Philosophy of Science</i>, Vol. 38, No. 1 (Mar., 1971), pp. 35-53.<br /><span><br />- Lestel, Laurence (2007), </span><em>Itinéraires de chimistes</em><span>, éd. EDP sciences, Paris, 2007<br /><br /></span>- Naquet, Alfred (1895), « Les médecins ignorés. La carrière médicale de M. Naquet contée par lui-même », in <em>La Chronique médicale : revue bi-mensuelle de médecine scientifique, littéraire et anecdotique</em>, n°2, 1895, pp. 42-48. (<a href="http://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/medica/resultats/index.php?p=44&do=page&cote=130381x1895x02" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/medica/resultats/index.php?p=44&do=page&cote=130381x1895x02</a>)</p>
<p>- Pigeard-Micault, Nathalie (2011), <em>Charles-Adolphe Wurtz, Un savant dans la tourmente</em>, éd. Hermann, Paris, 2011.<br /><br />- Portalez, Christophe (2015), <em>Alfred Naquet et ses amis politiques : patronage, influence et scandale en République (1870-1898)</em>, Université d'Avignon, 2015.<br /><br />- Proth, Mario (1883), <em>A. Naquet</em>, éd. A. Quantin, Paris, 1883 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411661m" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411661m</a>)<br /><br />- Robert, Adolphe, Bourloton, Edgar et Cougny, Gaston (1889, <em>Dictionnaire des parlementaires français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889</em>, éd. Bourloton, Paris, 1889-1891 : (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081</a> / <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a>)<br /><br /></p>
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong><br /></strong></span><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Würtz, Charles-Adolphe (1817-1884). En 1834, il entre à la Faculté de médecine de Strasbourg. En 1839, il est nommé Chef des travaux de chimie à la Faculté de médecine de Strasbourg. En 1843, il est docteur de médecine. En 1844, il travaille au laboratoire privé de Jean-Baptiste Dumas. En 1845, il est l’assistant de Dumas à l’Ecole de médecine de Paris. En 1849, il est chargé de cours de chimie organique à l’Ecole de médecine. De 1859 à 1852 ; il est professeur de chimie à l’Institut agronomique de Versailles. En 1853, il occupe la chaire de chimie à la Faculté de médecine de Paris (chaire de chimie organique et chaire de chimie minérale et de toxicologie). En 1866, il est nommé Doyen de la Faculté de médecine. En 1875, il est titulaire de la chaire de chimie organique de la Faculté des sciences de Paris. C’est dans les années 1850 que Naquet rencontre Würtz qui devient son ami et son initiateur aux sciences chimiques. Les deux hommes collaborent à plusieurs reprises. Pour une biographie scientifique de Würtz, nous renvoyons à Lestel (2007), p. 545. Pour une étude historiographique du parcours de Würtz, nous renvoyons à Piegard-Micault (2011).<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[2]</a> Les agrégés nouvellement nommés deviennent stagiaires et doivent attendre 3 ans, sans traitement, avant de prendre leurs fonctions : « N’allez pas croire qu’une fois nommé, j’entrai tout de suite en fonctions. A cette époque on devait faire un stage de 3 ans, à partir de la date du début du concours. Comme les candidats pour les chaires de sciences accessoires passaient les derniers, je n’eus que deux ans à attendre. » Naquet (1895), p. 44.<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[3]</a> Suite aux propos tenus lors de la clôture du Congrès le 13 septembre 1867 (« Je (Naquet) propose au congrès de ne pas se séparer sans un vote de flétrissure à la mémoire de Napoléon 1<sup>er</sup>, le plus grand malfaiteur du siècle »), Naquet est arrêté à la frontière. Il est accusé d’avoir colporté des livres et brochures contre l’empire. En décembre 1867, il est condamné par l’empire pour délit de société secrète et manœuvres à l’intérieur à 15 mois de prison et à la privation de ses droits civiques pendant 5 ans. En 1869, il est condamné à 4 mois de prison et à la privation à perpétuité de ses droits civiques et politiques pour la publication de <i>Religion, Propriété, Famille</i>.<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[4]</a> « Reprendre la chimie ? C’est mon rêve doré mais c’est impossible. La science, j’en suis convaincu ne peut réussir qu’à ceux qui ont des moyens d’existence et qui peuvent lui donner tout leur temps, ce qui n’est pas mon cas. Quand il faut gagner sa vie et celle de sa famille et qu’on n’a pas une de ces santés qui permettent quatorze ou quinze heures de travail par jour, expérience faite, j’y ai renoncé. » Cité par Chabaud (2002), p. 38.</p>
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<p><a href="#_ftnref1" title="">[5]</a> Les titres des deux interventions du Chimiste-Philosophe, « De l’affinité » et « De l’Atomicité », correspondent aux deux concepts fondamentaux de la théorie atomique de l’École de Würtz.</p>
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<p><a href="#_ftnref2" title="">[6]</a> Il convient de souligner que Naquet est l’unique chimiste de l’École de Würtz à intervenir dans un périodique philosophique pour défendre la théorie atomique.</p>
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<p><a href="#_ftnref3" title="">[7]</a> Henri Sainte-Claire Deville (1818-1881), formé à la chimie expérimentale par Louis Jacques Thenard (1777-1857) et Jean-Baptiste Dumas (1800-1884), est docteur ès sciences physiques (1841), docteur en médecine (1843) et licencié ès sciences mathématiques (1843). Il est professeur de chimie à la Sorbonne. Pour plus de précisions sur la biographie du chimiste, nous renvoyons le lecteur Lestel (2007), pp. 475-481.</p>
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<p><a href="#_ftnref4" title="">[8]</a> Deville (1864) et Deville (1866).</p>
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<p><a href="#_ftnref5" title="">[9]</a> Les atomistes hypostasieraient l’atome.</p>
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<p><a href="#_ftnref6" title="">[10]</a> Les atomistes prétendraient énoncer à travers la théorie atomique, le constituant essentiel de la réalité matérielle censé donner naissance aux phénomènes observables.</p>
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<p><a href="#_ftnref7" title="">[11]</a> Deville et Berthelot préconisent une méthodologie des sciences empiriste et inductiviste. Ils soutiennent que les lois scientifiques doivent être construites par induction à partir de l’observation sans avoir recours à des hypothèses théoriques. Pour une étude des principes épistémologiques invoqués par Berthelot dans la controverse qui oppose atomistes et anti-atomistes, nous renvoyons à Bensaude-Vincent (2008).</p>
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<p><a href="#_ftnref8" title="">[12]</a> Naquet soutient qu’il est en mesure de repousser les attaques des anti-atomistes « en faisant voir que la théorie atomique et les formules de constitution qui en découlent, sont des théories et des hypothèses parfaitement légitimes, permises, même par la philosophie la plus scrupuleuse à ce point de vue, par la philosophie positive. » Naquet (1868), 313. La revendication du chimiste d’un accord avec le système positiviste permet d’exclure toute interprétation ontologique des concepts théoriques portant sur des entités inobservables.</p>
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<p><a href="#_ftnref9" title="">[13]</a> Voir aussi Naquet (1900), 486.</p>
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<p><a href="#_ftnref10" title="">[14]</a> L’une des caractéristiques du positivisme est de proscrire la métaphysique des sciences positives. L’argument central, d’ordre historique, invoqué par les positivistes à l’appui de cette thèse, est la fameuse loi des trois états à laquelle <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1867)</a> consacre l’article programmatique de la revue.</p>
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<p><a href="#_ftnref11" title="">[15]</a> En d’autres termes, l’épistémologie positiviste autorise un rapport d’acceptation qui n’est pas en même temps un rapport de croyance. Par là, l’élaboration, l’acceptabilité et l’emploi de la théorie atomique en chimie n’impliquent aucunement la croyance en la réalité de l’atome. </p>
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<p><a href="#_ftnref12" title="">[16]</a> Ainsi, pour Naquet, « le positivisme a été dans le vrai lorsqu’il a déclaré la raison pure impuissante à nous faire connaître des vérités objectives. En réduisant les hypothèses sur la nature intime des choses, sur le noumène, à de <i>simples artifices de l’esprit</i>, à de simples fils d’Ariane capables de nous diriger dans le labyrinthe des recherches, en refusant de leur attribuer aucun caractère de réalité, il a posé la véritable base de la connaissance scientifique ». Naquet (1904), 486.</p>
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<p><a href="#_ftnref13" title="">[17]</a> Naquet s’appuie sur la 28<sup>ème</sup>leçon du <i>Cours de philosophie positive</i> au sein de laquelle Comte a élaboré une « théorie fondamentale des hypothses » et à déterminer « les conditions positives qui doivent présider à la formulation et à l’emploi de cet instrument positif. » (Comte (1975), p. 456). D’un point de vue général, le père du positivisme considère les hypothèses comme un instrument nécessaire pour l’élboration d’une science pleinement positive. Comme le souligne Laudan (nous traduisons) « de manière évident, les hypothèses sont pour Comte l’ingrédient le plus fondamental dans la recherche scientifique. » (Laudan (1971), p. 47)</p>
<p><a href="#_ftnref14" title="">[18]</a> La 28<sup>ème</sup> leçon du <i>Cours</i> consacrée aux hypothèses scientifiques, et sur laquelle s’appuie Naquet, a donné naissance à deux formes de positivisme. La première peut être qualifiée de conservatrice. Elle soutient, en interprétant la vérification expérimentale dans un sens fort, que le positivisme nous autorise à employer des hypothèses phénoménales, mais interdit tout usage d’hypothèse portant sur des entités inobservables. La seconde interprétation peut être qualifiée de libérale. Elle soutient que le positivisme reconnaît comme hypothèses légitimes non seulement les hypothèses phénoménales, mais aussi et surtout les hypothèses portant sur des entités inobservables. Cette forme de positivisme autorise ainsi, à condition de ne pas s’engager ontologiquement à l’égard des entités qu’elles postulent, l’emploi d’hypothèses portant sur des entités qui échappent à toute procédure expérimentale directe. Nous reprenons cette distinction entre positivisme conservateur et positivisme libérale à Laudan (1971), pp. 47-50.</p>
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<p><a href="#_ftnref15" title="">[19]</a> Naquet précisera en 1904, au sein du <i>Moniteur Scientifique</i>, que ces hypothèses sont de « simples conjectures, susceptibles de recevoir de l’expérience une confirmation ou un démenti (…). Ces hypothèses-là sont non seulement licites mais nécessaires : elles ne demeurent d’ailleurs qu’un temps très court à l’état hypothétique ; l’expérience vient bien vite ou leur donner un caractère de certitude ou les éliminer comme fausses. » Naquet (1904), p. 485.</p>
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<p><a href="#_ftnref16" title="">[20]</a> Le concept de prédiction est central dans la pensée positiviste. Il est conçu comme un principe de démarcation à double tranchant. Il permet de faire la distinction entre les énoncés scientifiques (prédictifs) et les énoncés métaphysiques (non prédictifs), ainsi qu’entre les énoncés scientifiques et la simple accumulation empirique de faits d’observation (qui étant sans lien théorique sont stériles d’un point de vue prédictif). Voir à ce sujet, Laudan (1971), pp. 38-39.</p>
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Commentaire Profession
Naquet est Professeur agrégé de Chimie Organique
Date Profession
1863-1865
1865-1867
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Naquet, Alfred Joseph (1834-1916)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Wyrouboff
Prénom
Grégoire Nicolaevitch
Année de naissance
1843
Année de décès
1913
Ville Naissance
Moscou
Ville Décès
Paris
Nationalité
Russe
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de médecine
Faculté des Sciences
École de chimie de Frémy, Muséum national d’histoire naturelle
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Saint Pétersbourg
Berlin
Paris
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Doctorat ès sciences physiques
Date Doctorat
1886
Titre Doctorat
Recherches sur la structure des corps cristallisés doués de pouvoir rotatoire (thèse 1) et recherches sur la composition et la forme cristalline de quelques nouveaux tartrates (thèse 2)
Ville Exercice Professionnel
Paris
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Société Chimique de Paris
Société française de minéralogie
Société de Sociologie
Société d'anthropologie de Paris
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1867
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1883
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Source
<p>Clauzade, Laurent, « Grégoire Wybouroff : Penser la Russie. Essais de sociologie positive appliquée ? », in <em>Archives de Philosophie</em>, t. 79, 2016, pp. 297-316. (<a href="https://www.cairn.info/revue-archives-de-philosophie-2016-2-page-297.htm" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.cairn.info/revue-archives-de-philosophie-2016-2-page-297.htm</a>)</p>
<p>Copaux, Hippolyte, « Notice sur la vie et les travaux de Grégoire Wybouroff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la société chimique de France</em>, t.15, pp. 1-21. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image</a>)</p>
<p>Jourdy, Émile, « Wyrouboff, sa vie, son œuvre », in <em>Revue scientifique</em>, 1914, pp. 14-19. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image</a>)</p>
<p>Wallerant, Frédéric, « Wyrouboff », in <em>La nature</em>, n°2119, p. 94. (<a href="http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716</a>)</p>
<p>Semlali, Yusef, « Eugène de Roberty (1843-1915). Une page peu connue de l’histoire de la sociologie », 22 pages, 2005. (<a href="https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document</a>)</p>
<p>Heilbron, Johan, « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)</p>
<p>Wallerant, Frédéric, « Wyrouboff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la Société française de minéralogie</em>, t. 37, 1914, Paris, pp. 44-58. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image</a>)</p>
<p>Charle, Christophe, Telkès, Eva. 91. Wyrouboff (<i>Grégoire</i>, Nicolas), in Charle Christophe, Telles Eva, <i>Les professeurs du Collège de France - Dictionnaire biographie 1901-1939</i>, Paris : Institu. National de recherche pédagogique, 1988, pp. 242-243. (<a href="http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170</a>)</p>
Commentaire Profession
<p>Bien que Wyrouboff soit identifié comme Professeur de sciences-physiques sur la première de couverture de son ouvrage <em>La Science vis-à-vis de la religion </em>(<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s</a>), ses activités, productions et recherches scientifiques conduisent à le catégoriser comme Chimiste. Voir à ce sujet, le recensement des contributions de Wyrouboff à la chimie (1866-1908) réalisé par <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f740.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Copaux, Hippolyte (1914), pp. XV-XXI</a>.</p>
<p>En 1903, Wyrouboff est titulaire de la Chaire d'Histoire générale des sciences du Collège de France</p>
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/12" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La Physique Moderne, <em>Essai sur l'unité des phénomènes naturels</em>, par M. Saigey. Paris, 1867, in-18, Germer-Baillière</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.1, Paris, 1867, pp. 156-164. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f157.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f157.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le Certain et le probable, l’absolu et le relatif</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.1, Paris, 1867, pp. 165-182. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f164.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f164.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/14" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’hypothèse de l’éther en optique</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.2, Paris, 1868, pp. 246-264 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f249.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f249.image</a>)</p>
<p> « <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/15" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De l’individu dans le règne inorganique</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.4, Paris, 1869, pp. 52-70 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f51.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f51.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/16" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Quelques mots à propos d’une nouvelle métaphysique : conséquences philosophiques et métaphysiques de la thermodynamique, par G. A. Hirn</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.6, Paris, 1870, pp. 225-240. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f228.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f228.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/17" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Minéralogie</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 16, Paris, 1876, pp. 199-215. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f199.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f199.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/18" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De l’esprit métaphysique en chimie</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 23, Paris, 1879, pp. 177-199. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77894g/f176.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77894g/f176.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Les Hypothèses scientifiques</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 25, Paris, 1880, pp. 169-184. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778965/f168.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778965/f168.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/20" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Ce qu’il faut pour philosopher</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 31, Paris, 1883, pp. 5-26. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f4.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f4.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/21" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La philosophie matérialiste et la philosophie positive</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 22, Paris, 1879, pp. 23-49 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778934/f23.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778934/f23.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/23" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. L'Année philosophique. Études critiques sur le mouvement des idées générales dans les divers ordres de connaissances, par Ch. F. Pillon, avec une introduction par M. Ch. Renouvier. Paris, 1868, Germer-Baillière</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 2, Paris, 1868, pp. 467-472. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f470.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77873h/f470.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/24" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. L'Année philosophique, par J. Pillon. - Paris, 1869. Chez Germer-Baillière</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 5, Paris, 1869, pp. 321-324. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f321.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f321.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/25" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. Annuaire scientifique, par Deherain, huitième année, 1869</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 5, Paris, 1869, pp. 324-326 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f324.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77876j/f324.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/26" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. Infini et quantité. Études sur le concept de l'infini en philosophie et dans les sciences, par E. Evellin, ancien élève de l'École normale supérieure, agrégé de philosophie au Lycée Saint-Louis. Paris, G. Baillière, 1881; Essai de philosophie naturelle, par J. Tissot, ingénieur en chef du corps des mines. Tome 1er, G. Baillière, Paris, 1881</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 26, Paris, 1881, pp. 452-457. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77897h/f451.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77897h/f451.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/27" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La Lumière électrique, son histoire, sa production et son emploi, par E. Alglave et J. Boulard. Paris, F. Didot, 1882</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t. 28, Paris, 1882, pp. 313-314. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778996/f312.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778996/f312.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/42" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Qu'est-ce que la géologie</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.1, Paris, 1867, pp. 31-50. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f30.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f30.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/43" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La science au point de vue philosophique, par E. Littré, Paris, Chez Didier</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>, t.10, Paris, 1873, pp. 477-478. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778814/f476.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778814/f476.image</a>)</p>
« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/44" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bibliographie. La philosophie scientifique, par H. Girard, Bruxelles, chez Macquardt</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em><br />, t.24, Paris, 1880, pp. 319-320. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f318.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f318.image</a>)
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/337" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De la méthode dans la statistique</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie</a></em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"> Positive</a>, t. 6, Paris, 1870, pp. 23-43. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f26.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f26.item)</a></p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
19
Autre Publication
<p>Voir la liste des articles (en particulier sociologiques et politiques) de Grégoire Wyrouboff parus dans la revue <em>La Philosophie positive</em> réalisée par Clauzade dans Clauzade, Laurent, « Grégoire Wybouroff : Penser la Russie. Essais de sociologie positive appliquée ? », in <em>Archives de Philosophie</em>, t. 79, 2016, pp. 297-316.</p>
<p>Voir la liste chronologique des articles scientifiques (une centaine consacrée principalement à la chimie, la minéralogie et la cristallographie) de Grégoire Wyrouboff réalisée par Copaux dans <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f740.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Copaux, Hippolyte, « Notice sur la vie et les travaux de Grégoire Wybouroff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la société chimique de France</em>, t.15, pp. I-XXI</a></p>
<p>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Wyrouboff dans <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em>dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f483.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 16, Paris, 1876, pp. 483-485 et dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f468.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 469-470.</p>
<p>Wyrouboff publia deux articles dans la<em> Revue Générale des Sciences pures et appliquées </em>(non référencés ailleurs) :<br /><br />« L’Enseignement de la minéralogie », in <em>Revue Générale des Sciences pures et appliquées</em>, 1903, pp. 9-12. (<a href="%C2%AB%C2%A0L%E2%80%99Enseignement%20de%20la%20min%C3%A9ralogie%C2%A0%C2%BB,%20in%20Revue%20G%C3%A9n%C3%A9rale%20des%20Sciences%20pures%20et%20appliqu%C3%A9es,%201903,%20pp.%209-12.%20(http%3A//gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17078s" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17078s</a>)<br /><br /></p>
<p>« Les Théories modernes sur la structure des milieux cristallisés », in <em>Revue Générale des Sciences pures et appliquées</em>, 1906, pp. 1050-1059. (<a href="%C2%AB%C2%A0Les%20Th%C3%A9ories%20modernes%20sur%20la%20structure%20des%20milieux%20cristallis%C3%A9s%C2%A0%C2%BB,%20in%20Revue%20G%C3%A9n%C3%A9rale%20des%20Sciences%20pures%20et%20appliqu%C3%A9es,%201906,%20pp.%201050-1059.%20http%3A//gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17081p/f1054.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17081p/f1054.image</a>)</p>
Profession
Chimiste
Professeur de philosophie
Commentaire Statut Professionnel Reconstitué
<p>Malgré sa nomination à la chaire d'"Histoire générale des sciences" du Collège de France, Wyrouboff n'est pas catégorisé comme Philosophe. Ses publications en philosophie des sciences dans les périodiques philosophiques cessent avec l'arrêt de <em>La Philosophie Positive </em>en 1883. Il ne publia pas les cours professés au Collège de France.</p>
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/22" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><em>La Science vis-à-vis de la religion</em></a>, éd. Germer-Baillière, Paris, 1865. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k84211s</a>)</p>
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
École de chimie de Frémy, Muséum national d’histoire naturelle
Faculté des Sciences
Collège de France
Statut Prof. reconstitué
Chimiste-Philosophe
Date Profession
1887-1913
1903-1913
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><br /><br />Grégoire Wyrouboff est né à Moscou le 14 novembre 1843. Il descend d’une famille noble russe<a href="#_ftn1" title="">[1]</a>. Il est naturalisé français le 4 janvier 1887. Wyrouboff meurt à Paris le 13 décembre 1913.</p>
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Formation</strong></span><strong> :</strong></p>
<p>Après des études au Lycée Bonaparte (Lycée Condorcet aujourd’hui) à Paris de 1855 à 1857 et au Lycée Alexandre de Saint-Pétersbourg<a href="#_ftn2" title="">[2]</a>, il suit des études de médecine et de sciences naturelles (cristallographie et chimie) à la Faculté des sciences et à la Faculté de médecine de Saint-Pétersbourg, Berlin et Paris.</p>
<p>En 1864, il entre à l’École de chimie de Frémy où la chimie est enseignée non seulement du point de vue de ces « applications à l’analyse, aux sciences-naturelles et à l’agriculture (…), mais aussi dans ses rapports avec les autres sciences, telles que la physique, la minéralogie et la géologie<a href="#_ftn3" title="">[3]</a> ». Wyrouboff reçoit ainsi une formation en chimie minérale (première année), en chimie organique (deuxième année) et en chimie appliquée (troisième et quatrième année). C’est en 1864, avec l’appui du directeur du Muséum national d’histoire naturelle Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) et du directeur de l’enseignement supérieur Victor Duruy (1811-1894), que le chimiste Edmond Frémy (1819-1844) fonde le premier laboratoire public français d’enseignement et de recherche gratuit de chimie pratique au Muséum national d’histoire naturelle. L’École fonctionne de 1864 à 1892, date à laquelle Frémy est mis à la retraite<a href="#_ftn4" title="">[4]</a>.</p>
<p class="p1">En 1886, Wyrouboff obtient le doctorat ès sciences-physiques à la Faculté des sciences de Paris (1ère thèse : Recherches sur la structure des corps cristallisés doués du pouvoir rotatoire ; 2ème thèse : Recherches sur la composition et la forme de quelques nouveaux tartrates).<br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Carrière scientifique</strong></span><strong> :</strong></p>
<p class="p1">Wyrouboff débute sa carrière scientifique à partir des années 1870 au sein de l’École de chimie de Frémy. Il mène plusieurs travaux en cristallographie et chimie. De 1866 à 1908, il publie ses travaux dans le <i>Bulletin de la Société chimique de France</i>, les <i>Annales de Chimie-physique</i>, le <i>Bulletin des Sociétés des Naturalistes de Moscou</i>, le <i>Bulletin de la Société de Minéralogie</i>, les <i>Comptes-Rendus de l’Académie des Sciences</i><a href="#_ftn5" title=""><b>[5]</b></a>. En 1889, il publie un <i>Manuel pratique de cristallographie</i> (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k91951f.texteImage" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k91951f.texteImage</a>). Wyrouboff est membre de la Société Française de minéralogie et de la Société chimique de France.</p>
<p class="p1">Du 15 novembre 1893 au 21 février 1894, il donne des conférences au laboratoire de Charles Friedel (1832-1899) à la Faculté des sciences de Paris<a href="#_ftn6" title="">[6]</a>.</p>
<p class="p1">En 1901, suite à la fermeture de l’École de Frémy, la Sorbonne lui prête gracieusement un laboratoire personnel où il poursuit ses travaux jusqu’en 1908.</p>
<p>En 1903, Wyrouboff est nommé titulaire de la chaire d’histoire générale des sciences du Collège de France. Il occupe cette chaire jusqu’à sa mort en 1913<a href="#_ftn7" title="">[7]</a>. Cette nomination a suscité plusieurs polémiques. Fondée en 1892, la chaire d’histoire des sciences est occupée par le positiviste Pierre Laffitte (1823-1903). À la mort de ce dernier en 1903, la chaire est mise au concours. L’ingénieur et historien des sciences Paul Tannery (1843-1904) est le candidat favori pour succéder à Laffitte. Il est placé premier par l’ensemble des professeurs du Collège de France et de l’Académie des sciences. Cependant, le Ministre de l’Instruction publique, par arrêté ministérielle en date du 20 décembre 1903, désigne Wyrouboff comme titulaire de la chaire. Pour une présentation et analyse historiographiques des polémiques suscitées par la titularisation de Wyrouboff, nous renvoyons le lecteur à Sarton (1947), Petit (1995) et Paul (1976) et Pineau (2010).<br />Les cours professés par Wyrouboff au Collège de France<a href="#_ftn8" title="">[8]</a> portent principalement sur l’histoire des sciences physiques et chimiques<a href="#_ftn9" title="">[9]</a>.</p>
<p class="p1"><span style="text-decoration:underline;"><strong><br />Engagements sociaux, civiques et politiques :</strong></span></p>
<p class="p1">En 1870, pendant le siège de Paris, il est incorporé dans l’ambulance de la Presse. Il est en charge du service hospitalier. En récompense de sa collaboration à la défense nationale, il reçoit la croix de chevalier de la légion d’honneur (1873).</p>
<p>En 1875, il est reçu, avec <em>É</em>mile Littré (1801-1881) et Jules Ferry (1832-1893), par le Grand Orient de France (loge « La Clémente Amitié ») et devient franc-maçon.</p>
<p class="p1">En 1877, lors de la guerre turco-russe, il est médecin-chef d’une grande ambulance dans la région frontière en face de Kars (Caucase). Il est décoré de l’ordre de Saint-Vladimir.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</strong></span><strong> :</strong><span style="text-decoration:underline;"><strong><br /><br /></strong></span>C’est par l’intermédiaire du philosophe positiviste Louis Edmond Pommier (1812- 1 ???)<a href="#_ftn10" title="">[10]</a>, alors professeur titulaire de la chaire de littérature française au Lycée Impérial Alexandre de Saint-Pétersbourg depuis 1859, que Wyrouboff s’initie au positivisme. C’est ainsi à travers une leçon sur le mouvement des idées dans la France contemporaine que « Wyrouboff reçoit non seulement une doctrine, le positivisme dans sa version « incomplète », antireligieuse et républicaine, mais aussi un réseau de relations au sein duquel il évoluera toute sa vie : par son professeur de littérature, il a eu accès à Littré, qu’il rencontre dès 1862, ainsi qu’à Madame Comte, qui le poussera plus tard, (…) à s’engager dans l’aventure de la revue <i>La Philosophie positive</i>, et enfin à tous les cercles de pouvoir des quarante premières années de la troisième République » (Clauzade (2016), pp. 299-300).</p>
<p class="p1">En 1862, jouissant d’une grande fortune personnelle, Wyrouboff propose à Madame Comte de subventionner la réimpression du <i>Cours de Philosophie positive</i> d’Auguste Comte (1798-1857). En 1867, en collaboration avec Littré, il participe à la fondation, au financement et au fonctionnement de la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>. En 1872, il participe à la fondation de la première Société de sociologie<a href="#_ftn11" title="">[11]</a> dont l’objectif premier est une étude scientifique des problèmes sociaux et politiques<a href="#_ftn12" title="">[12]</a>.<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Wyrouboff débute en 1867 et cesse en 1883. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 11 articles de fond et 8 recensions. Elle représente ainsi 12% de la production totale de l'auteur dans le périodique<a href="#_ftn13" title="">[13]</a>.</p>
<ul><li>4 Articles de fond et 1 recension sont consacrés à une présentation et défense des principes et méthodes fondamentales du système positiviste (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/23" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1868)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/16" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1870)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/21" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1879)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/20" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1883)</a>).</li>
<li>3 Articles de fond portent sur l’actualité scientifique liée à la géologie (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/42" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a>) et à la minéralogie (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/15" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1869)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/17" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1876)</a>). Ces sciences sont abordées à partir de la classification positivistes des sciences. L'objectif principal de l'auteur est de fixer la place qu'occupent la géologie et la minéralogie dans la série hiéarchique des sciences. Une étude similaire est réalisée par <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/337" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1870)</a> sur la statistique et ses méthodes. En donnant une définition rationnelle et positive de la statistique et de ses méthodes, le Chimite-Philosophe est conduit à condamner l'utilisation du calcul des probabilités dans l'étude des phénomènes sociaux.</li>
<li>3 Articles de fond et 1 recension sont dédiés à l’actualité scientifique liées aux sciences physiques et chimiques. La théorie de l’éther (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/12" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/14" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1868)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a>) et l’atomisme (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/18" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1879)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a>) sont principalement examinés à partir de la théorie positiviste des hypothèses scientifiques. L'enjeu de ces interventions est de déterminer la nature, la valeur et la légitimité des hypothèses scientifiques. </li>
</ul><p class="p1"><br />En 1867, dans le deuxième numéro du périodique, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1867)</a> publie un article programmatique dans lequel il expose le principe fondamental du positivisme<a href="#_ftn1" title="">[14]</a> à partir duquel son activité éditoriale et épistémologique s’articule. Faisant suite à l’article programmatique de <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Littré (1867)</a> publié dans la première livraison de la revue et consacré à l’exposé de la méthode, de la doctrine et des conséquences du système positiviste, l’intervention du Chimiste-Philosophe propose une interprétation scientiste et phénoméniste extrêmement strict de la philosophie comtienne. Ce positivisme hétérodoxe qui structure d’un point de vue théorique le périodique s’oppose à la religion positiviste et à la méthode subjective développées par Comte dans le <i>Système de Politique positive</i> et entretenues par Laffitte et les collaborateurs de <i><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/34" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Revue occidentale</a> </i>(Clauzade (2016). L’interprétation scientiste et phénoméniste du positivisme constitue le schème conceptuel et le cadre théorique<a href="#_ftn14" title="">[15]</a> au sein duquel Wyrouboff mène un travail éditorial et une activité épistémologique de médiation scientifique. C’est à travers ce travail que l'auteur vise à fournir aux lecteurs les principes positivistes permettant non seulement de s’affranchir des recherches ontologiques et d’éliminer des sciences positives toute forme résiduelle de métaphysique, mais aussi de lutter contre la spécialisation exagérée du travail scientifique.</p>
<p class="p1"><br />Les analyses épistémologiques dédiées aux théories physiques et chimiques conduisent <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a> à abandonner l’interprétation conservatrice et phénoméniste de la méthodologie positiviste des sciences selon laquelle les hypothèses portant sur des entités inobservables sont des conceptions métaphysiques devant être éliminées des connaissances positives au profit de recherches exclusivement limitées aux propriétés phénoménales de la matière<a href="#_ftn1" title="">[16]</a>. L'auteur systématise alors une forme libérale de positivisme que nous pouvons qualifier de positivisme fictionaliste. Dans cette forme de positivisme, les hypothèses portant sur des entités inobservables sont des fictions légitimes théoriquement et empiriquement fécondes n'ayant aucune valeur ontologique<a href="#_ftn1" title="">[17]</a>. <br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Source</strong></span><strong> : </strong></p>
<p>- Charle, Christophe, Telkès, Eva (1988). 91. Wyrouboff (<i>Grégoire</i>, Nicolas), in Charle Christophe, Telles Eva, <i>Les professeurs du Collège de France - Dictionnaire biographie 1901-1939</i>, Paris : Institu. National de recherche pédagogique, 1988, pp. 242-243. (<a href="http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6170</a>)</p>
<p>- Clauzade, Laurent (2016), « Grégoire Wybouroff : Penser la Russie. Essais de sociologie positive appliquée ? », in <em>Archives de Philosophie</em>, t. 79, 2016, pp. 297-316.<br /><br />- Copaux, Hippolyte (1913), « Notice sur la vie et les travaux de Grégoire Wybouroff (1843-1913) », in <em>Bulletin de la société chimique de France</em>, t.15, Paris, 1913, pp. 1-21. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k282050k/f726.image</a>)<br /><br />- Heilbron, Johan (2007), « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)<br /><br />- Jourdy, Émile (1914), « Wyrouboff, sa vie, son œuvre », in <em>Revue scientifique</em>, 1914, pp. 14-19. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215160c/f18.image</a>)<br /><br />- Kersaint, Georges (1964), « L’École de chimie de Frémy », in <em>Revue d’histoire de la pharmacie</em>, 1964, pp. 165-172. (<a href="http://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_1964_num_52_183_8236" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_1964_num_52_183_8236</a>)<br /><br />- Paul, Harry W (1976), « Scholarship and ideology : The chair of the general history of science at the Collège de France, 1892-1913 », in <i>Isis</i>, 1976, pp. 376-397.<br /><br />- Petit, Annie (1995), « L’héritage du positivisme dans la création de la chaire d’histoire générale des sciences au Collège de France », in <i>Revue d’histoire des sciences</i>, t. 48, 1995, pp. 521-556. (<a href="http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1995_num_48_4_1241" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1995_num_48_4_1241</a>)<br /><br />- Pineau, François (2010), <i>Historiographie de Paul Tannery et réceptions de son oeuvre : sur l’invention du métier d’historien des sciences</i>, Université de Nantes, 2010. (<a href="https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00726388/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00726388/</a>)<br /><br />- Sarton, Georges (1947), « Paul, Jules, and Marie Tannery (With a Note on Grégoire Wyrouboff) », in <em>Isis</em>, Vol. 38, 1947, pp. 33-51.<br /><br />- Schnitter, Claude (1996), « Le développement du Muséum national d’histoire naturelle de Paris au cours de la seconde moitié du XIX siècle : « se transformer ou périr » », in Revue d’histoire des sciences, t. 49, 1996, pp. 53-98. (<a href="http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1996_num_49_1_1248" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_1996_num_49_1_1248</a>)<br /><br />- Semlali, Yusef (2005), « Eugène de Roberty (1843-1915). Une page peu connue de l’histoire de la sociologie », 22 pages, 2005. (<a href="https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document">https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003964/document</a>)<br /><br />- Wallerant, Frédéric, « Wyrouboff », in La nature, n°2119, p. 94. (<a href="http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716">http://sciences.gloubik.info/spip.php?article716</a>)<br /><br />- Wallerant, Frédéric (1914), « Wyrouboff (1843-1913) », in Bulletin de la Société française de minéralogie, t. 37, 1914, Paris, pp. 44-58. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1090134/f60.image</a>)</p>
<p> </p>
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<p><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Wyrouboff est Conte (Yusef (2005)).</p>
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<p><a href="#_ftnref2" title="">[2]</a> École privilégiée de la noblesse, où l’on enseigne à la fois les sciences, les lettres et le droit (Copaux (1913), p. II).</p>
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<p><a href="#_ftnref3" title="">[3]</a> Kersaint (1964).</p>
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<p><a href="#_ftnref4" title="">[4]</a> Pour une présentation historiographique de l’École de Frémy, nous renvoyons le lecteur à Kersaint (1964) et Schnitter (1996).</p>
</div>
<div>
<p><a href="#_ftnref5" title="">[5]</a> Pour une présentation des travaux scientifiques de Wyrouboff, nous renvoyons le lecteur à Copaux (1913) et Wallerant (1914).</p>
</div>
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<p class="p1"><a href="#_ftnref6" title="">[6]</a> « Sur la nature des phénomènes de polymorphisme et d’isomorphisme » (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5462541w/f10.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5462541w/f10.image</a>)</p>
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<p><a href="#_ftnref7" title="">[7]</a> Du fait de la maladie de Wyrouboff, le Collège de France a fait parfois appel à un suppléant. Le docteur Léonce Manouvrier (1850-1927) remplaça ainsi le Chimiste-Philosophe à plusieurs reprises et professa des cours sur les sciences inorganiques (« Constitution de la psychologie, de l’anthropologie, de la sociologie, et leurs rapports suivant le plan général de la classification d’Auguste Comte », premier semestre de 1909-1910).</p>
</div>
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<p><a href="#_ftnref8" title="">[8]</a> Les cours sont conservés dans le fond Grégoire Wyrouboff et déposés à l’IMEC.</p>
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<p><a href="#_ftnref9" title="">[9]</a> Liste des intitulés des cours professés par Wyrouboff : « Histoire moderne des sciences physico-chimiques » (1903-1904), « Histoire des théories sur la structure de la matière. Évolution générale des sciences physico-chimique » (1903-1904), « Histoire de la géologie et de la minéralogie » (1905-1906), « Histoire de la chimie » (1906-1907), « Histoire de la physique depuis les premières tentatives d’Aristote jusqu’à nos jours » (1907-1908), « Tableau général du développement des connaissances positives sur la nature depuis les faits les plus simples que nous donnent les mathématiques jusqu'aux phénomènes si complets de la vie » (1908-1909), « Histoire de la Chimie depuis Lavoisier » (1909-1911), « Évolution des théories géologiques » (1910-1911), « Étude critique des théories générales de la physique depuis les premières généralisations de Galilée jusqu'aux conceptions aussi ingénieuses qu'hypothétiques de la physique moderne » (1911-1912), « Histoire des hypothèses cosmogoniques et des théories géologiques » (1913-1914). Le cours sur l’histoire des hypothèses cosmogoniques n’a jamais eu lieu.</p>
</div>
<div>
<p><a href="#_ftnref10" title="">[10]</a> Pommier adhère en 1848 à la société positiviste fondée par Comte. À l’instar de Littré, Pommier rejette le positivisme religieux. Il contribue au dictionnaire de Littré.</p>
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<p><a href="#_ftnref11" title="">[11]</a> Parmi les 26 membres fondateurs, 3 ont une activité dans le champ de la philosophie des sciences au sein de <i>La Philosophie positive </i>: <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/28" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Louis André (1838-1913)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/48" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Littré</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/55" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Stupuy Hippolyte (1832-1900)</a>. La première séance de la Société ainsi que son règlement et ses membres sont publiés dans Littré, Émile, « Fondation d'une Société de Sociologie », in <em>La Philosophie positive</em>, t. 8, 1872.(<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image</a>)</p>
</div>
<div>
<p><a href="#_ftnref12" title="">[12]</a> Pour une étude historiographique et prosopographique de la Société, nous renvoyons le lecteur à Heibron (2007).</p>
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<div>
<p><a href="#_ftnref13" title="">[13]</a> Wyrouboff totalise 155 interventions dans <i>La Philosophie positive </i>(articles, notes, commentaires, recensions, lettres). Heilbron (2007), p. 316. Les articles de Wyrouboff consacrés à la philosophie des sciences représentent donc une part assez faible de sa production dans <em>La Philosophie positive</em>. Ce dernier va principalement s'illustrer dans le domaine de la sociologie appliquée. Pour une analyse de la production du chimsite-philosophe dans ce domaine, nous renvoyons le lecteur à Clauzade (2016).<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[14]</a> Selon ce principe, les propriétés phénoménales de la matière, ordonnées par des lois scientifiques, constituent la réalité empirique, seul lieu possible d’une véritable connaissance positive.<br /><i></i></p>
</div>
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<p><a href="#_ftnref14" title="">[15]</a> Wyrouboff reviendra sur les principes fondamentaux du positivisme afin de dénoncer les confusions conceptuelles, méthodologiques et théoriques des entreprises qui visent à concilier les sciences, la métaphysique et la théologie (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/16" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1870)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/20" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1883)</a>), de faire la preuve que le positivisme n’est pas un matérialisme (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/21" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1879)</a>), de défendre le positivisme contre les attaques formulées par les néo-criticistes Charles Renouvier (1815-1903) et François Pillon (1830-1914) (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/23" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1868)</a>).<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[16]</a> « (Les Hypothèses) ont toujours été considérées comme indispensables. Elles ne sont donc pas des produits accidentels de tel ou tel état des esprits, de telle ou telle doctrine régnante, elles nous apparaissent comme intimement liées au développement des recherches scientifiques, comme inséparables des destinées de la science (…). Cette conclusion, fort légitime pourtant, peut provoquer une objection et une objection très sérieuse. On peut dire que les esprits ne sont pas arrivés encore, dans l’immense majorité des cas du moins, à l’état pleinement positif, qu’ils continuent à se laisser bercer par les illusions des causes finales envisagées à un point de vue spiritualiste ou à un point de vue matérialiste ; que, parvenus à la phase strictement scientifique, ils rejetteront définitivement les derniers vestiges des conceptions métaphysiques et ne chercheront plus d’interprétations en dehors de la phénoménalité. <em><strong>C’est là une opinion soutenue par un certain nombre de penseurs se rattachant à l’école positive, une opinion que j’ai longtemps acceptée dans sa forme la plus absolue</strong></em>. Un examen attentif démontre que l’objection peut et doit être écartée. L’hypothèse scientifique (…) est le produit d'un état donné de la science, de l'ensemble de ses faits, de ses lois, de ses théories; elle est une sorte de conclusion suprême de toutes nos connaissances exactes sur un groupe entier de phénomènes naturels. (...) Plusieurs sciences sont arrivées à leur pleine maturité, à une positivité aussi satisfaisante que possible, pourtant elles possèdent toutes des hypothèses pénibement élaborées et qu'elles conservent précieusement. Il me suffira de citer la physique, une science inférieure, par conséquent simple, une science relativement ancienne, extraordinairement riche en faits exacts, en lois précises et directement vérifiables; elle renferme deux grandes hypothèses qui sont des types du genre et dont l'une, née d'hier, se développe, s'accroît tous les jours. (...) Il n'est donc nullement exact de dire que les hypothèses correspondent à la période métaphysique de la science, qu'elles représentent les derniers reste de la méthode à priori; elles coexistent avec les doctrines les plus positives sans les gêner et sans en être aucunement gênées. (...) La plupart des hypothèses scientifiques ont été très fécondes en résultats, elles ont inspiré et dirigé un grand nombre de travaux considérables, et cela dans les parties les plus délicates, les moins accessibles de la science. Comment eussent-elles pu aboutir, d'une façon si constante et si directe à des lois scientifiques, si elles n'étaient qu'une manifestation de la méthode métaphysique ? Cela nous est une preuve de plus qu'elles font corps aevec la science et qu'il n'est nul besoin de les en exclure.» <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/19" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Wyrouboff (1880)</a>, pp. 178-179.<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[17]</a> Les scientifiques doivent ainsi respecter le code d’honneur fictionnaliste des positivistes.</p>
</div>
</div>
Commentaire Attache Institutionnelle
Wyrouboff est président de la Société française de minéralogie, fondateur et vice-président de la Société de Sociologie
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Commentaire Fiche Complète
Certains comptes rendus sont à revoir (déterminer s'ils font partis du corpus en philosophie des sciences)
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Wyrouboff, Grégoire Nicolaevitch (1843-1913)
-
Acteur
Un individu.
Nom
André
Prénom
Louis Joseph Nicolas
Année de naissance
1838
Année de décès
1913
Ville Naissance
Nuits-Saint-Georges
Ville Décès
Dijon
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Polytechnique
École d'application de l'artillerie
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Metz
Date Établissement ou Lieu de Formation
1857
1859
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Militaire
Commentaire Profession
En 1861, il est lieutenant en second au 9e régiment d'artillerie.
En 1867, il est capitaine en second au 7e régiment d'artillerie.
En 1870, il est affecté à l'École de pyrotechnie et à la Commission d'expériences de Bourges.
En 1877, il est chef d'escadron au 34e régiment d'artillerie.
En 1885, il est lieutenant-colonel à Grenoble, puis colonel en 1888.
En 1893, il est nommé général de brigade.
De 1894 à 1896, il est commandant de l'École polytechnique.
En 1899, il est général de division commandant la 10e division de l'École polytechnique.
De 1900 à 1904, il est nommé ministre de la Guerre.
En 1902, il est conseiller général du canton de Gevrey-Chambertin.
Ville Exercice Professionnel
Bourges
Paris
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1868
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1883
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<p>Quelques polytechniciens (X) dans l'affaire Dreyfus par Hubert Lévy-Lambert (X 53) : <a href="http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html</a></p>
<p>Heilbron, Johan, « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm" target="_blank" rel="noreferrer">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)</p>
<p><span>Comité des travaux historiques et scientifiques : <span>CTHS-La France savante, <span>Diane Dosso, Bruno Delmas : <a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#" target="_blank" rel="noreferrer">http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#</a></span></span></span></p>
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/29" target="_blank" rel="noreferrer">De l'esprit métaphysique en géométrie</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 3, Paris, 1868, pp. 265-277. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77874v/f266.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77874v/f266.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/30" target="_blank" rel="noreferrer">Le spiritualisme et l'école expérimentale</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 4, Paris, 1869, pp. 135-153. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f134.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778756/f134.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/31" target="_blank" rel="noreferrer">Variétés. Le postulatum d'Euclide à l'Académie des sciences</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 6, Paris, 1870, pp. 310-311. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f313.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77877w/f313.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/32" target="_blank" rel="noreferrer">De l'Espace</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 11, Paris, 1873, pp. 169-184. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77882g/f168.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77882g/f168.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/33" target="_blank" rel="noreferrer">De la Matière, de la Vie et de l'Esprit</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 12, Paris, 1874, pp. 32-58. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77883t/f33.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77883t/f33.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/45" target="_blank" rel="noreferrer">Sur l'établissement des lois numériques</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 339-362. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f338.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f338.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/46" target="_blank" rel="noreferrer">Études critiques de philosophie mathématique</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 243-273. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f242.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f242.item</a>)</p>
« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/47" target="_blank" rel="noreferrer">Bibliographie. Annuaire du bureau des longitudes</a> », in <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a>, </em>t. 7, Paris, 1871, pp. 174-176. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f173.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f173.image</a>)
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
8
Commentaire Général
<p>André, Louis Joseph Nicolas (1838-1913) publie ses articles dans <em>La Philosophie positive</em> sous le pseudonyme de Louis André-Nuytz. Il souligne dans « De l'esprit métaphysique en géométrie » p. 277 : « Je prie mes lecteurs de ne pas considérer ce nom comme un masque destiné à arbriter ma personnalité. Je le prends, au contraire, pour préserver mes nombreux homonymes de la confusion qui pourrait s'établir entre nous. Louis André. »<br />En 1883, il publie deux articles sous le pseudonyme de Gauvain-Gavignon (source : <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f460.item" target="_blank" rel="noreferrer">T</a><span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f460.item" target="_blank" rel="noreferrer">able Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, p.461)</span>. </p>
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
École de pyrotechnie
École polytechnique
Attache Institutionnelle
Oui
Statut Prof. reconstitué
Militaire-Philosophe
Autre Publication
<p><span>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par André dans </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em><span>dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f475.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 16, Paris, 1876, p. 475 et dans la </span><a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f460.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a><span>, in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><span>, t. 31, Paris, 1883, p. 461.</span></p>
Date Profession
1861-1904
Nom Attache Institutionnelle
Société de Sociologie
Société de sociologie de Paris
Société positiviste internationale
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat Civil</strong></span><strong> :</strong><strong><br /><br /></strong>André est né à Nuits-Saint-Georges le 29 mars 1858. Il meurt à Dijon le 20 mars 1913.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span><strong> :</strong><strong><br /><br /></strong>Après des études au Lycée de Dijon et au Collège Sainte Barbe, il intègre l'<span>École Polytechnique en 1857.<br /></span>En 1859, il est élève à l'<span>École d'application du génie et de l'artillerie de Metz. <br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span><strong> :<br /><br /></strong></span>En 1861, André est nommé lieutenant en second au 9e régiment d'artillerie.<br />En 1867, il est nommé capitaine en second au 7e régiment d'artillerie.<br />En 1870, il est affecté à l'École de pyrotechnie et à la Commission d'expériences de Bourges.<br />En 1877, il est chef d'escadron au 34e régiment d'artillerie.<br />En 1885, il est lieutenant-colonel à Grenoble, puis colonel en 1888.<br />En 1893, il est nommé général de brigade.<br />De 1894 à 1896, il est commandant de l'École polytechnique.<br />En 1899, il est général de division commandant la 10e division de l'École polytechnique.<br />De 1900 à 1904, il est nommé ministre de la Guerre.<br />En 1902, il est conseiller général du canton de Gevrey-Chambertin.<br />André participe à l'établissement des nouvelles méthodes de tir, aux études relatives à la mélimite, et à la confection des cartouches du nouveau fusil dit Lebel. Il prend part aux recherches théoriques sur l'aviation et publie en 1865 <em>De la navigation aérienne et de l'aviation</em>. Il publie ses recherches en sciences-militaires dans la <em>Revue d'artillerie</em> et <em>L'Armée Moderne</em><a href="#_ftn1" title="">[1].<br /><br /><br /></a><strong><span style="text-decoration:underline;">Engagements sociaux, civiques et politiques</span> :</strong></p>
Suite à sa participation aux combats de Champigny et du Bourget, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1871. En 1903, il est décoré de la médaille militaire. <br />Dreyfussard, il prend la défense des officiers républicains « dont la carrière avait souffert du fait de leur prise de position dans l'Affaire, contre les attaques des éléments réactionnaires. À cet effet, il confia à son chef de cabinet le général Percin et son ordonnance le capitaine Mollin, membre du Grand Orient, la constitution d'un système de fiches relatant les opinions politiques et religieuses des officiers. 25000 fiches furent ainsi constituées à l'aide d'informations transmises par la hiérarchie militaire quelquefois aidée par les francs-maçons. La découverte de certaines fiches par deux députés nationalistes, Guyot de Villeneuve et Gabriel Syveton, mit le feu aux poudres. En octobre 1904, ces derniers attaquèrent violemment André à la Chambre des députés, l'accusant d'avoir instauré un système de délation et utilisé les fiches pour décider de la carrière des intéressés et allant jusqu'à le frapper. Malgré l'appui de Jaurès, il dut démissionner en novembre 1904, entraînant le gouvernement Combes dans sa chute. » (Lévy-Lambert, Hubert (2006))<br /><strong><br /><br /><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences</span> :<br /><br /></strong>L'activité éditoriale en philosophie des sciences d'André débute en 1868 et cesse en 1883. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 6 articles de fond et 2 recensions. Elle représente 53% de la production totale de l'auteur dans le périodique. <br /><ul><li>
<p>4 articles de fond et 1 recension sont consacrés à la philosophie positive des sciences mathématiques. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/29" target="_blank" rel="noreferrer">André (1868)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/31" target="_blank" rel="noreferrer">André (1870)</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/32" target="_blank" rel="noreferrer">André (1873)</a> ont pour objectif principal de faire la preuve que les premiers principes de la géométrie sont des généralisations de l’expérience établies à partir d’un processus d’abstraction inductif. Ainsi, l'espace géométrique, conçu positivement comme un artifice logique sans aucune valeur ontologique, est l'abstraction subjective de la propriété objective qu'à la matière d'être étendue. L'auteur est ainsi conduit à éliminer les résidus métaphysiques (en particulier la croyance en l'existence de l'espace) qui se trouvent aux fondements de la géométrie. <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/46" target="_blank" rel="noreferrer">André (1883)</a> restitue aux sciences mathématiques leur caractère de sciences naturelles. Il est alors amené à corriger, modifier et compléter les considérations de Comte sur la mathématique (division, définition, classification et organisation des sciences mathématiques). André, à l'instar de <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/48" target="_blank" rel="noreferrer">Littré</a> et <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/11" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff</a>, entretient une interprétation phénoméniste extrêmement stricte de la philosophie positive. </p>
</li>
<li>
<p>2 articles de fond sont consacrés à une présentation et défense des principes et méthodes fondamentales du système positiviste (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/30" target="_blank" rel="noreferrer">André (1869)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/33" target="_blank" rel="noreferrer">André (1874)</a>). Il convient de souligner qu'en 1868, André publie une brochure <a href="https://archive.org/details/lepositivismepo00andrgoog" target="_blank" rel="noreferrer"><em>Le Positivisme pour tous</em></a> (préface de Littré) dédiée à un exposé élémentaire des principes et méthodes fondamentales de <em>La Philosophie positive. </em></p>
</li>
<li>
<p>1 recension est dédiée à un périodique d'actualité scientifique : <em>L'Annuaire du Bureau des Longitudes </em>(<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/47" target="_blank" rel="noreferrer">André (1871)</a>)</p>
</li>
</ul><p><br />De 1872 à 1874, André est membre de la première Société de sociologie. Il est membre de la Société positiviste internationale et de la Société de Sociologie de Paris.<br /><br /><br /><strong><span style="text-decoration:underline;">Source</span> :<br /><br /></strong>- Dosso, Diane et Delmas, Bruno, Comité des travaux historiques et scientifiques : CTHS-La France savante. (<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#" target="_blank" rel="noreferrer">http://cths.fr/an/savant.php?id=12012</a>)<br /><br />- Heilbron, Johan (2007), « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in <em>Revue française de sociologie</em>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (<a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm" target="_blank" rel="noreferrer">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a>)<br /><br />- Lévy-Lambert, Hubert (2006), « Quelques polytechniciens (X) dans l'affaire Dreyfus », in <i>La Jaune et la Rouge</i>, 2006, pp. 60-65. (<a href="http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.annales.org/archives/x/dreyfusards.html</a>)<br /><br /><br /></p>
<div>
<p><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Ces informations sont données par Dosso, Diane et Delmas, Bruno, Comité des travaux historiques et scientifiques : CTHS-La France savante (<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=120128#" target="_blank" rel="noreferrer">http://cths.fr/an/savant.php?id=12012</a>)</p>
<div></div>
</div>
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
André, Louis Joseph Nicolas (1838-1913)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Littré
Prénom
Émile
Année de naissance
1801
Année de décès
1881
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de Médecine
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Philologue
Lexicologue
Politicien
Publiciste
Statut Prof. reconstitué
Publiciste-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer">Les Trois philosophies</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 1, Paris, 1867, pp. 5-30. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f4.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77871t/f4.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/51" target="_blank" rel="noreferrer">Les Hypothèses positives de Cosmogonie</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 9, Paris, 1872, pp. 343-371. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f344.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77880s/f344.image)</a></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/52" target="_blank" rel="noreferrer">De la Logique Formelle. Liard, Revue Philosophique de la France et de l'étranger</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 18, Paris, 1877, pp. 456-461. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77889w/f455.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77889w/f455.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/229" target="_blank" rel="noreferrer">Transrationalisme</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.24, Paris, 1880, pp. 33-51. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f31.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f31.item</a>)</p>
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>La science au point de vue philosophique</em>, éd. Didier et Ce, Paris, 1873. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f1.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f1.item</a>)</p>
Autre Publication
<p>Voir la liste des articles, comptes rendus et variétés publiés par Littré dans <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a><em> </em>dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778876/f479.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les seize premiers volumes (1867-1876)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 16, Paris, 1876, pp. 479-481 et dans la <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f463.item" target="_blank" rel="noreferrer">Table Générale des matières contenues dans les quinze derniers volumes (1876-1883)</a>, in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t. 31, Paris, 1883, pp. 464-465.</p>
<p>« Cosmos, essai d’une description physique du monde, par Alexandre de Humboldt », in <em>Revue germanique</em>, Paris, 1858. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f12.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f12.item</a>)</p>
<p>« Discours sur l’étude de la philosophie naturelle », in <em>Le National</em>, Paris, 1835. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f55.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f55.item</a>)</p>
<p>« Les étoiles filantes », in <em>Revue des Deux Mondes</em>, Paris, 1852 (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f66.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f66.item</a>)</p>
<p>« Ampère et l’électro-magnétisme », in <em>Revue des Deux Mondes</em>, Paris, 1837. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f96.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f96.item</a>)</p>
<p>« Résumé des nouvelles recherches des géomètres sur la chaleur de la Terre », in <em>Revue républicaine</em>, Paris, 1834. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f121.item" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700/f121.item</a>)</p>
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1867
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1880
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
4
Nom Attache Institutionnelle
Société de sociologie
Biographie
<b><span style="text-decoration:underline;">État Civil</span> :<br /><br /></b>Émile Littré est né à Paris le 1<sup>er</sup> février 1801. Il meurt à Paris le 2 juin 1881.<br /><br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Formation</span> :<br /><br /></b>De 1822 à 1827, il étudie à la Faculté de Médecine de Paris.<br />En 1827, suite au décès de son père, Littré abandonne les études de médecine et donne des cours de latin et de grec pour subvenir aux besoins de sa famille.<br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Carrière scientifique</span> :<br /><br /></b>De 1831 à 1851, il est l’un des principaux rédacteurs du journal <i>Le National</i>.<br />En 1836, il débute sa collaboration à la <i>Revue des deux Mondes</i>.<br />De 1839 à 1862, il réalise la traduction d’Hippocrate.<br />En 1862, il débute la traduction de l’<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2820810" target="_blank" rel="noreferrer"><i>Histoire naturelle</i></a> de Pline l’Ancien.<br />De 1847 à 1865, il rédige le <i>Dictionnaire de la langue française</i>.<br />En 1870, il est nommé par Gambetta professeur d’histoire et de géographie à l’École polytechnique. Son cours est publié dans <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f380.image" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1870)</a>.<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k778787/f380.image)"><br /></a>Le 30 décembre 1871, il est élu à l’Académie française.<br /><br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Engagement sociaux, civiques et politiques</span></b><b> :<br /><br /></b>Lors de la Révolution de juillet 1830, Littré s’engage du côté des insurgés.<br />En 1848, il est conseiller municipal de Paris.<br />De 1871 à 1881, il endosse des responsabilités politiques. Du 8 février 1871 au 7 mars 1876, il est élu représentant de la Seine à l’Assemblée nationale. Du 15 décembre 1875 au 2 juin 1881, il est élu sénateur.<br />En 1875, il est reçu, avec <i>Grégoire Wyrouboff </i> (1843-1913) et Jules Ferry (1832-1893), par le Grand Orient de France (loge « La Clémente Amitié ») et devient franc-maçon.<br /><br /><br /><b><span style="text-decoration:underline;">Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sciences :<br /><br /></span></b>En 1840, il découvre les travaux d’Auguste Comte et devient un disciple militant de la philosophie positive.<br />En 1844, il publie six articles sur la philosophie positive dans <i>Le National</i>.<br />En 1849, il rédige onze articles dans <i>Le National</i> sur « l’application de la philosophie positive au gouvernement des sociétés et en particulier à la crise actuelle ». Ces articles sont réunis dans le recueil <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k86046c" target="_blank" rel="noreferrer"><i>Conservation, Révolution, Positivisme</i></a>.<br />En 1863, il publie <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k954949" target="_blank" rel="noreferrer"><i>Auguste Comte et la philosophie positive</i></a>.<br />De 1835 à 1858, il publie plusieurs articles de vulgarisation dans la <i>Revue républicaine</i>, la <i>Revue des deux mondes</i>, et la <i>Revue germanique</i>. Ces articles sont réunis dans <a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2080700" target="_blank" rel="noreferrer"><i>La science au point de vue philosophique</i></a>.<br />En 1852, Littré s’oppose à la religion positiviste et à la méthode subjective développées par Comte dans le <i>Système de Politique positive</i>. Il est alors accusé par le père du positivisme « de faire un schisme positiviste ». Littré devient ainsi le représentant d’un positivisme hétérodoxe, antireligieux et républicain.<br />En 1867, en collaboration avec <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/11" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff</a>, il participe à la fondation et au fonctionnement de la revue <i>La Philosophie Positive</i>. En 1872, il participe à la fondation de la première Société de sociologie<a href="#_ftn1" title="">[1]</a> dont l’objectif premier est une étude scientifique des problèmes sociaux et politiques<a href="#_ftn1" title="">[2]</a>.<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Littré débute en 1867 et cesse en 1880. Elle se déploie exclusivement dans la revue <em><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer">La Philosophie Positive</a></em>. Elle se compose de 3 articles de fond et 1 recension. Elle représente ainsi 2% de la production totale de l’auteur dans le périodique<a href="#_ftn1" title="">[3]</a>.
<ul><li>2 Articles de fond sont consacrés à une présentation des méthodes et principes fondamentaux de la philosophie positive. Dans son article programmatique (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/49" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1867)</a>), Littré propose une interprétation scientiste et phénoméniste du positivisme qui constitue le schème conceptuel et le cadre théorique à partir desquels se structure le périodique. Cette interprétation est reprise par <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/13#_ftn1" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff (1867)</a>. En 1880, à travers l’analyse du concept cournotien de transrationalisme, Littré revient sur certains principes fondamentaux du positivisme (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/229" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1880)</a>).</li>
<li>1 Article de fond porte sur les hypothèses positives de Cosmogonie. La nature, la valeur et les limites de ces hypothèses sont examinées à partir de la théorie contienne des hypothèses scientifiques (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/51" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1872)</a>).</li>
<li>1 Recension est dédiée aux interventions de Louis Liard sur la logique formelle publiées dans la <i>Revue Philosophique de la France et de l’étranger</i>. Cette recension permet à Littré non seulement de présenter aux lecteurs les travaux en logique de Raymond Lull, Boole et Stanley Jevons, mais aussi de réaffirmer la nature expérimentale des principes fondamentaux de la logique (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/52" target="_blank" rel="noreferrer">Littré (1877)</a>).</li>
</ul><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Source</strong></span> : <br /><br /><br />- Gouhier Henri. <em>Émile Littré et la philosophie</em>, in <em>Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres</em>, 125ᵉ année, n°4, 1981. pp. 606-615. (<a href="http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1981_num_125_4_13890" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1981_num_125_4_13890</a>)<br /><br /><span>- Heilbron, Johan (2007), « Sociologie et positivisme en France au XIXe siècle : les vicissitudes de la Société de sociologie (1872-1874) », in </span><em>Revue française de sociologie</em><span>, 2007/2 (Vol. 48), pp. 307-331. (</span><a href="https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm">https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2007-2-page-307.htm</a><span>)</span><br /><div><br />- Robert, Adolphe, Bourloton, Edgar et Cougny, Gaston (1889, <em>Dictionnaire des parlementaires français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889</em>, éd. Bourloton, Paris, 1889-1891 : (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k837081</a> / <a href="http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506" target="_blank" rel="noreferrer">http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/5506</a>)<br /><br /><br /></div>
<div>
<div><a href="#_ftnref1" title="">[1]</a> Parmi les 26 membres fondateurs, 3 ont une activité dans le champ de la philosophie des sciences au sein de <i>La Philosophie positive </i>: <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/28" target="_blank" rel="noreferrer">Louis André (1838-1913)</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/11" target="_blank" rel="noreferrer">Wyrouboff</a>, <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/55" target="_blank" rel="noreferrer">Stupuy Hippolyte (1832-1900)</a>. La première séance de la Société ainsi que son règlement et ses membres sont publiés dans Littré, Émile, « Fondation d'une Société de Sociologie », in <em>La Philosophie positive</em>, t. 8, 1872.(<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77879k/f299.image</a>)<br /><br /><a href="#_ftnref1" title="">[2]</a> Pour une étude historiographique et prosopographique de la Société, nous renvoyons le lecteur à Heilbron (2007).<br /><br /><div>
<div><a href="#_ftnref1" title="">[3]</a> Littré totalise 181 interventions dans <i>La Philosophie Positive</i> (articles, notes, commentaires, recensions, lettres). Heilbron (2007), p. 316.
<div></div>
</div>
</div>
</div>
</div>
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Littré, Émile (1801-1881)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Pinet
Prénom
Gaston Léon Édouard
Année de naissance
1844
Année de décès
1918
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Polytechnique
École d’Application de l’Artillerie et du Génie
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1864
1866
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Chef d’Escadron d’Artillerie à la Direction de Vincennes
Inspecteur des Études à l’École Polytechnique
Bibliothécaire à l’École polytechnique
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
École polytechnique
Ville Exercice Professionnel
Paris
Date Profession
1868-1898
1880-1884
1900-1913
Statut Prof. reconstitué
Militaire-Philosophe
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1881
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1881
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La Philosophie Positive
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La Philosophie Positive
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/70" target="_blank" rel="noreferrer">L’ensemble de la science mathématique, résumé des idées d’Auguste Comte</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/8" target="_blank" rel="noreferrer"><em>La Philosophie Positive</em></a>, t.27, Paris, 1881, pp. 165-186. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77898v/f165.image" target="_blank" rel="noreferrer">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77898v/f165.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<p><a href="http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_2=PRENOMS&VALUE_2=%27Edouard%20L%E9on%27&NUMBER=19&GRP=1&REQ=%28%28%27Edouard%20L%E9on%27%29%20%3APRENOMS%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All" target="_blank" rel="noreferrer">Leonore</a></p>
<p>Christian Marbach, « Langlois, X 1806, reporter de guerre et/ou historien », Bulletin de la Sabix [En ligne], 52 | 2013 (<a href="http://sabix.revues.org/1165" target="_blank" rel="noreferrer">http://sabix.revues.org/1165</a>)</p>
Fiche Complète
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Biographie
<p><span style="text-decoration:underline;"><strong>Etat-Civil</strong></span> :<br /><br />Pinet est né à Paris le 15 juin 1844. Il meurt à Paris le 21 novembre 1918.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Formation</strong></span> :<br /><br />En 1864, il entre à l’École Polytechnique.<br />En 1866, il intègre l’École d’Application de l’Artillerie et du Génie.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Carrière scientifique</strong></span> :<br /><br />Le 1<sup>er</sup> décembre 1868, il est Lieutenant en second du 10<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 26 juillet 1869, il est Lieutenant en second de la 8<sup>ème</sup> compagnie d’ouvriers d’artillerie.<br />Le 6 août 1869, il est Lieutenant en second du 10<sup>e</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 24 octobre 1870, il est Lieutenant du 10<sup>e</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 20 avril 1872, il est Capitaine en second à Rennes.<br />Le 30 aout 1872, il est Capitaine en second à l’École de Pyrotchenie.<br />Le 21 octobre 1873, il est Capitaine en second du 35<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 11 mai 1875, il est Capitaine en second du 26<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Le 3 janvier 1876, il est Capitaine du 4<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Du 29 mars 1880 au 17 avril 1884, il est Inspecteur des Études à l’École Polytechnique.<br />Du 17 avril 1884 au 1<sup>er</sup> juillet 1887, il est Capitaine du 2<sup>e</sup> Bataillon d’artillerie de forteresse.<br />Du 1<sup>er</sup> juillet 1887 au 18 Juillet 1894, il est Chef d’Escadron du 1<sup>er</sup> régiment de pontonniers.<br />Du 18 juillet 1894 au 6 avril 1896, il est Chef d’Escadron du 4<sup>ème</sup> régiment d’artillerie.<br />Du 6 avril 1896 au 20 mai 1898, il est Chef d’Escadron à l’État-Major.<br />De 1900 à 1913, il est Bibliothécaire de L’École Polytechnique.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Engagements sociaux, civiques et politiques</strong></span> :<br /><br />Aucune information.<br /><br /><br /><span style="text-decoration:underline;"><strong>Activité philosophique et éditoriale en philosophie des sicences</strong></span> :<br /><br />L’activité éditoriale en philosophie des sciences de Pinet débute en 1881 et cesse en 1881. Elle se déploie exclusivement dans la revue <i>La Philosophie Positive</i>. Elle se compose d’un article de fond et représente la totalité de la production de l’auteur dans le périodique.<br /><br /></p>
<ul><li>Un article de fond de philosophie des sciences-mathématiques consacré à un résumé dogmatique de la conception comtienne de la science mathématique (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/70" target="_blank" rel="noreferrer">Pinet (1881)</a>). L'auteur présente et détaille ainsi la distinction positiviste entre la mathématique concrète<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftnref1" title="">[1]</a> et la mathématique abstraite<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftn1" title="">[2]</a>.</li>
</ul><div><br /><div>
<p><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftnref1" title="">[1]</a> La mathématique concrète porte sur les phénomènes géométriques et mécaniques. Elle a un caractère de physique expérimentale. Elle se compose ainsi des sciences géométriques et des sciences mécaniques.</p>
</div>
</div>
<p><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/admin/items/show/70#_ftnref1" title="">[2]</a> La mathématique abstraite porte sur des relations numériques. Elle a un caractère essentiellement rationnel. Elle se compose ainsi de l'analyse mathématique.</p>
Commentaire Profession
Le 1er décembre 1868, il est Lieutenant en second du 10ème régiment d’artillerie.
Le 26 juillet 1869, il est Lieutenant en second de la 8ème compagnie d’ouvriers d’artillerie.
Le 6 août 1869, il est Lieutenant en second du 10e régiment d’artillerie.
Le 24 octobre 1870, il est Lieutenant du 10e régiment d’artillerie.
Le 20 avril 1872, il est Capitaine en second à Rennes.
Le 30 aout 1872, il est Capitaine en second à l’École de Pyrotchenie.
Le 21 octobre 1873, il est Capitaine en second du 35ème régiment d’artillerie.
Le 11 mai 1875, il est Capitaine en second du 26ème régiment d’artillerie.
Le 3 janvier 1876, il est Capitaine du 4ème régiment d’artillerie.
Du 29 mars 1880 au 17 avril 1884, il est Inspecteur des Études à l’École Polytechnique.
Du 17 avril 1884 au 1er juillet 1887, il est Capitaine du 2e Bataillon d’artillerie de forteresse.
Du 1er juillet 1887 au 18 Juillet 1894, il est Chef d’Escadron du 1er régiment de pontonniers.
Du 18 juillet 1894 au 6 avril 1896, il est Chef d’Escadron du 4ème régiment d’artillerie.
Du 6 avril 1896 au 20 mai 1898, il est Chef d’Escadron à l’État-Major.
De 1900 à 1913, il est Bibliothécaire de L’École Polytechnique.
Attache Institutionnelle
Non
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Pinet, Gaston Léon Édouard (1844-1918)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Léchalas
Prénom
Georges
Année de naissance
1851
Année de décès
1919
Ville Naissance
Nantes
Ville Décès
Rouen
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Polytechnique
École des Ponts et Chaussées
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1870
1872-1875
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Ingénieur des Ponts et Chaussées
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Administration des Ponts et Chaussées - Ports de Dieppe et du Tréport
Ville Exercice Professionnel
Rennes
Rouen
Date Profession
1875-1876
1876-1913
Statut Prof. reconstitué
Ingénieur-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1884
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1919
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
X
Périodique Mobilisé
Revue Néo-Scolastique
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p><span>« </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/126" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Les fondements de la Géométrie. A propos d'un livre récent</a> <span>», </span><span>in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a>, t.8, Louvain, 1901, pp. 338-354. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1901_num_8_32_1287" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1901_num_8_32_1287</a>)</p>
<p></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/127" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Les fondements de la Géométrie. A propos d'un livre récent (suite) </a>», in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a>, t.9, Louvain, 1902, pp. <span>19-34</span>. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1902_num_9_33_1728" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1902_num_9_33_1728</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/128" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le Hasard</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a>, t.10, Louvain, 1903, pp. <span>148-164. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1903_num_10_38_1791" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1903_num_10_38_1791</a>)</span></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/129" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Identité et Réalité d'après M. Meyerson</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a>, t.21, Louvain, 1914, pp. <span>336-357. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1914_num_21_83_2220" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1914_num_21_83_2220</a>)</span></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/130" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Identité et Réalité d'après M. Meyerson (suite et fin)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a>, t.21, Louvain, 1919, pp. <span>480-494</span>. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1919_num_21_84_2229" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1919_num_21_84_2229</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/342" target="_blank" rel="noreferrer noopener">À propos de Cournot. Hasard et déterminisme</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 14, 1906, pp. 109-114. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110608/f113.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110608/f113.item</a>)</p>
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Source
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=Cnoms&VALUE_1=Lechalas&FIELD_2=PRENOMS&VALUE_2=&FIELD_3=DATE%2dNSS&VALUE_3=&FIELD_4=LIEU%2dNSS&VALUE_4=&FIELD_5=Nom%20de%20jeune%20fille&VALUE_5=&FIELD_6=SEXE&VALUE_6=%20&FIELD_7=COTE&VALUE_7=&NUMBER=1&GRP=0&REQ=%28%28Lechalas%29%20%3aNOM%2cNOM2%2cNOM%2dJF%2cNOM%2dMARI%2cSURNOM%2cNOTES%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Léchalas, Georges (1851-1919)
-
Acteur
Un individu.
Nom
De La Vallée Poussin
Prénom
Charles-Louis Joseph Xavier
Année de naissance
1827
Année de décès
1903
Ville Naissance
Namur
Ville Décès
Bruxelles
Nationalité
Belge
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté des Sciences
Faculté des Lettres
École Polytechnique
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Louvain
Date Établissement ou Lieu de Formation
1853-1863
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Professeur de Minéralogie et de Géologie
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Faculté des Sciences
Ville Exercice Professionnel
Louvain
Date Profession
1863-1903
Statut Prof. reconstitué
Minéralogiste-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Société Géologie de Belgique
Source
<p>Malaise, Constantin, « Notice sur Charles-Louis-Joseph-Xavier De la Vallée Poussin », in <em>Annuaire de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique</em>, 1904, pp. 57-76.(<a href="Malaise,%20Constantin,%20%C2%AB%C2%A0Notice%20sur%20Charles-Louis-Joseph-Xavier%20De%20la%20Vall%C3%A9e%20Poussin%C2%A0%C2%BB,%20in%20Annuaire%20de%20l%E2%80%99Acad%C3%A9mie%20royale%20des%20Sciences,%20des%20Lettres%20et%20des%20Beaux-Arts%20de%20Belgique,%201904,%20pp.%2057-76%20(http%3A//www.academieroyale.be/academie/documents/DELAVALLEEPOUSSINCharlesLouisJosep8007.pdf)" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.academieroyale.be/academie/documents/DELAVALLEEPOUSSINCharlesLouisJosep8007.pdf</a>)</p>
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1894
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Néo-Scolastique
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1895
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Néo-Scolastiques
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
Revue Néo-Scolastique
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/132" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><span>La Cristallographie</span></a> », <span>in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a><span>, t.1, Louvain, 1894, pp. <span>322-338. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1894_num_1_4_1387" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1894_num_1_4_1387</a>)</span></span></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/133" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Cristallographie (suite)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a>, t.2, Louvain, 1895, pp. <span>139-162. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1895_num_2_6_1409" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1895_num_2_6_1409</a>)</span></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/134" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La Cristallographie (suite)</a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Revue Néo-Scolastique</a>, t.2, Louvain, 1895, pp. <span>257-271</span>. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1895_num_2_7_1428">www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1895_num_2_7_1428</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
3
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
De La Vallée Poussin, Charles-Louis Joseph Xavier (1827-1903)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Gilson
Prénom
Étienne
Année de naissance
1884
Année de décès
1978
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Cravant
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de Lettres
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1904-1907
Licencié
Oui
Type Licence
Licence ès Lettres
Date Licence
1905
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Agrégation ès Lettres
Date Agrégation
1907
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Doctorat ès Lettres
Date Doctorat
1913
Titre Doctorat
La liberté chez Descartes et la théologie (grande thèse) ; Index scolastico-cartésien (petite thèse)
Profession
Professeur de Philosophie
Commentaire Profession
De 1907 à 1913, il est Professeur de philosophie dans différents collèges (Bourg de 1907 à 1908, Rochefort de 1908 à 1910, Tours de 1910 à 1911, Saint—Quentin de 1911 à 1912, Angers de 1912 à 1913)
De 1913 à 1919, il est Maître de conférences de philosophie et science de l’éducation à la Faculté de lettres de Lille
De 1919 à 1921, il est Professeur d’histoire de la philosophie à la Faculté de Lettres de Strasbourg
De 1921 à 1932, il est Maître de conférences d’histoire des philosophies médiévales à la Faculté de lettres de Paris
De 1921 à 1932, il est Directeur d’études pour les théologies et philosophies médiévales à l’École pratique des Hautes Études
En 1923, il est Professeur d’échange à l’Université libre de Bruxelles
En 1926, il est Professeur d’échange à l'Université d'Harvard
En 1927, il est chargé d’un enseignement supplémentaire d’histoire de la philosophie grecque à la Faculté des lettres de Paris
De 1927 à 1928, il est Professeur titulaire de philosophie médiévale à l’Université d’Harvard
De 1932 à 1951, il est Professeur d’histoire de la philosophie du Moyen Age au Collège de France
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Faculté de Lettres
École pratique des Hautes Études
Collège de France
Ville Exercice Professionnel
Lille
Strasbourg
Paris
Date Profession
1913-1919
1919-1921
1921-1951
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie Française
Source
<p>Charle, Christophe, Telkès, Eva, 29. Gilson (<em>Etienne</em>, Henri), in <em>Les professeurs du Collège de France – Dictionnaire biographique 1901-1939</em>, Paris, Institut national de recherche pédagogique, 1988, pp. 84-87. (<em>Histoire biographique de l'enseignement</em>, 3) (<a href="http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6107" target="_blank" rel="noreferrer">http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6107</a>)</p>
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1909
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1921
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Néo-Scolastique
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
2
Périodique Mobilisé
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Revue Néo-Scolastique
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/177" target="_blank" rel="noreferrer">Météores cartésiens et Météores scolastiques</a> <span>», <span>in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer">Revue Néo-Scolastique</a><span>, t.22, Louvain, 1920, <span>pp. 358-384. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1920_num_22_88_2256" target="_blank" rel="noreferrer">www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1920_num_22_88_2256</a>)</span></span></span></span></p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/178" target="_blank" rel="noreferrer"><span>Météores cartésiens et Météores scolastiques (suite et fin)</span></a> », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer">Revue Néo-Scolastique</a>, t.23, Louvain, 1921, <span>pp. 73-84. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1921_num_23_89_2268" target="_blank" rel="noreferrer">www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1921_num_23_89_2268</a>)</span></p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
3
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Autre Publication
<p>Voir la liste des articles et comptes rendus publiés par Gilson dans la <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer">Revue Néo-Scolastique</a> dans <a href="http://www.persee.fr/author/persee_285314" target="_blank" rel="noreferrer">Persée</a></p>
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Gilson, Étienne (1884-1978)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Maritain
Prénom
Jacques
Année de naissance
1882
Année de décès
1973
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Toulouse
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de Lettres
Faculté des Sciences
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1900-1902
Licencié
Oui
Type Licence
Licence ès Lettres
Licence ès Sciences Naturelles
Date Licence
1901
1902
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Agrégation de Philosophie
Date Agrégation
1905
Doctorat
Non
Profession
Professeur de Philosophie
Commentaire Profession
En 1912, il est Professeur de philosophie au Lycée Stanislaus.
De 1914 à 1920, il est Professeur Assistant à l’Institut Catholique de Paris.
De 1921 à 1927, il est Professeur de Philosophie à l’Institut Catholique de Paris.
De 1928 à 1939, il est nommé à la Chaire de Logique et Cosmologie de l’Institut Catholique de Paris.
De 1940 à 1948, il enseigne à l’Université de Princeton et Columbia.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Institut Catholique
Ville Exercice Professionnel
Paris
Date Profession
1914-1939
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1910
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de Philosophie
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1926
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de Philosophie
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
4
Périodique Mobilisé
Revue de Philosophie
Revue Néo-Scolastique
Revue Thomiste
Revue Universelle
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/207" target="_blank" rel="noreferrer"><span>La quantification du Prédicat et la logique de l'École</span></a> </span><span>», in </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer">Revue Néo-Scolastique</a><span>, t.25, Louvain, 1923, pp. <span>57-69</span>. (<a href="http://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1923_num_25_97_2332">www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1923_num_25_97_2332</a></span><span>)</span></p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
9
Autre Publication
<span>Voir la liste des articles et comptes rendus publiés par Maritain dans la </span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/77" target="_blank" rel="noreferrer">Revue Néo-Scolastique</a><span> dans </span><a href="http://www.persee.fr/author/persee_25855" target="_blank" rel="noreferrer">Persée</a>
Source
<p>Sweet, William, « Jacques Maritain », <em>The Stanford Encyclopedia of Philosophy </em>(Summer 2013 Edition), Edward N. Zalta (ed.)(<a href="https://plato.stanford.edu/archives/sum2013/entries/maritain/" target="_blank" rel="noreferrer">https://plato.stanford.edu/archives/sum2013/entries/maritain/</a>)</p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Maritain, Jacques (1882-1973)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Liard
Prénom
Louis
Année de naissance
1846
Année de décès
1917
Ville Naissance
Falaise
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (L)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1866
Licencié
Oui
Type Licence
Sciences-naturelles
Date Licence
1873
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Lettres
Date Agrégation
1869
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Lettres
Date Doctorat
1873
Titre Doctorat
Des définitions géométriques et des définitions empiriques
Profession
Professeur de philosophie
Recteur d'Académie
Directeur de l'enseignement supérieur
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
Faculté des lettres
Académie
Ministère de l'Instruction publique
Ville Exercice Professionnel
Mont-de-Marsan
Poitiers
Bordeaux
Caen
Paris
Date Profession
1869-1871
1871
1874
1880
1884
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Administrateur
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie des sciences morales et politiques
Comité des travaux historiques et scientifiques
Commentaire Attache Institutionnelle
Liard est membre de l'Académie des sciences morales et politiques de 1903 à 1917
Liard est membre du Comité des travaux historiques et scientifiques de 1903 à 1917
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1877
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue des deux mondes
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1880
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
2
Périodique Mobilisé
Revue des deux mondes
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/232" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Un Géométrie Philosophe</a> », in <em>Revue des deux mondes</em>, vol. 22, juil. 1877, n°4, Paris, pp. 102-124. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k87070g/f106.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k87070g/f106.item</a>)</p>
<p>« La logique algébrique de Boole », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 4, 1877, pp. 285-317. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17143d/f289.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17143d/f289.item</a>)</p>
<p>« Un nouveau système de logique formelle. M. Stanley Jevons », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 3, 1877, pp. 277-293. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171422/f281.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171422/f281.item</a>)</p>
<p>« Théorie de la science et de l’induction d’après Whewell », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 8, 1879, pp. 33-48. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17147s/f37.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17147s/f37.item</a>)</p>
<p>« La méthode et la mathématique universelle de Descartes », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 10, 1880, pp. 569-600. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17149g/f573.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17149g/f573.item</a>)</p>
Commentaire Profession
De 1869 à 1871, il est Professeur de philosophie au lycée de Mont-de-Marsan.
En 1871, il est Professeur de philosophie au Lycée de Poitiers.
En 1874, il est nommé Professeur à la faculté des lettres de Bordeaux.
En 1880, il est nommé Recteur de l'Académie de Caen.
En 1884, il est nommé Directeur de l'enseignement supérieur au ministère de l'Instruction publique.
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
5
Source
À CONSULTER : <br /><br />Dauriac, Lionel, « Louis Liard », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 33, 1926, pp. 379-423. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11232k/f91.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11232k/f91.image</a>)
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Liard, Louis (1846-1917)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Charpentier
Prénom
Thomas-Victor
Année de naissance
1841
Année de décès
1900
Ville Naissance
Alençon
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieur (l)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1860
Licencié
Oui
Type Licence
Droit
Date Licence
1861
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1863
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Lettres
Date Doctorat
1869
Titre Doctorat
Essai sur la méthode de Descartes (thèse principale) / De methodo mathematica in iis scientiis adhibenda quae ad varias philosophiae moralis partes pertinent (thèse complémentaire)
Profession
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
De 1863 à 1874, il est Professeur de philosophie aux Lycée d'Alençon, Clerment, Montpellier et Paris (Lycée Louis-le-Grand.
En 1875, il est Maître de conférence de philosophie à l'École Normale Supérieure.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
École Normale Supérieure
Ville Exercice Professionnel
Alençon
Clermont
Montpellier
Paris
Date Profession
1863-1874
1875-1900
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1875
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Comptes rendus de l’Académie des Sciences morales et politiques
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1881
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
2
Périodique Mobilisé
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Comptes rendus de l’Académie des Sciences morales et politiques
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/234" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La logique du hasard d’après M. John Venn</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 6, 1878, pp. 24-38. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171453/f27.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171453/f27.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/235" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La logique du hasard d’après M. John Venn (fin)</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 6, 1878, pp. 146-163. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171453/f150.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171453/f150.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/236" target="_blank" rel="noreferrer noopener">A. Cugnin. Essai de psychologie appliquée aux sciences mathématiques</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 6, 1878, pp. 540-541. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171453/f544.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171453/f544.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/237" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Dr E. Dühring. Kritische Geschichte der Allgemeinen Principien der Mechanik (Histoire critique des principes généraux de la mécanique</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 7, 1879, pp. 343-347. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17146f/f347.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17146f/f347.image</a>)</p>
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/238" target="_blank" rel="noreferrer noopener">A. Macfarlane. </a></span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/238" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Principles of the Algebra of Logic with Examples</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 9, 1880, pp. 108-112. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171484/f112.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171484/f112.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/239" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Philosophes Contemporains. M. Cournot</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 11, 1881, pp. 494-518. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17150p/f498.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17150p/f498.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/400" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Mémoire sur la nécessité d’instituer la logique du probable</a> », in <em>Comptes rendus de l’Académie des Sciences morales et politiques</em>, t. 103, 1875, pp. 657-680. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57352015/f655.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57352015/f655.item</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
7
Source
<p><span>Huguet, Françoise, «Les thèses de doctorat ès lettres soutenues en France de la fin du XVIIIe siècle à 1940», novembre 2009 [en ligne] </span><a href="http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=theses-record/491" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=theses-record/491</a></p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Charpentier, Thomas-Victor (1841-1900)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Fouillée
Prénom
Alfred
Année de naissance
1838
Année de décès
1912
Ville Naissance
La Pouëze
Ville Décès
Lyon
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Autodidacte
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1864
Licencié
Non
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1864
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1872
Titre Doctorat
La Liberté et le déterminisme
Platonis Hippias Minor sive Socratica contra liberum arbitrium argumenta
Profession
Professeur de Philosophie
Commentaire Profession
De 1864 à 1872, il enseigne la philosophie dans les Lycées de Douai, Montpellier et Bordeaux.
De 1872 à 1875, il est nommé Maître de Conférences à l'École Normale Supérieure.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
École Normale Supérieure
Ville Exercice Professionnel
Douai
Montpellier
Bordeaux
Paris
Date Profession
1864-1875
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie des sciences morales et politiques
Société de sociologie de Paris
Commentaire Attache Institutionnelle
<p>En 1872, Fouillée est correspondant (section de philosophie) de l'Académie des sciences morales et politiques. <br />De 1893 à 1912, il est membre (section de philosophie) de l'Académie des sciences morales et politiques. <br />En 1900, il est membre de la Société de sociologie de Paris.</p>
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/241" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Les nouveaux expédients en faveur du libre arbitre</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 14, 1882, pp. 585-617. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17153q/f589.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17153q/f589.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/242" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le libre arbitre et la contingence des futurs</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 15, 1883, pp. 585-610. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171542/f589.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171542/f589.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/243" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le libre arbitre et le temps</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 15, 1883, pp. 86-88. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171542/f87.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171542/f87.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/244" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Les arguments métaphysiques en faveur du libre arbitre. Causalité et Liberté</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 16, 1883, pp. 28-57. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17155d/f32.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17155d/f32.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/245" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Liberté et déterminisme</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 16, 1883, pp. 643-649. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17155d/f647.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17155d/f647.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/246" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’abus de l’inconnaissable et la réaction contre la science</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 36, 1893, pp. 337-365. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171751/f341.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171751/f341.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/247" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’abus de l’inconnaissable et la réaction contre la science. II La philosophie de la contingence</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 37, 1894, pp. 1-33. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17176c/f5.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17176c/f5.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/248" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’hégémonie de la science et de la philosophie</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 41, 1896, pp. 1-25. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17180m/f3.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17180m/f3.item</a>)</p>
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1882
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1896
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
8
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Fouillée, Alfred (1838-1912)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Janet
Prénom
Paul
Année de naissance
1823
Année de décès
1899
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (ENS) (l)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1841
Licencié
Non
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1844
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1848
Titre Doctorat
Essai sur la dialectique de Platon
De plastica naturae vita quae a Cudwortho in systemate intellectuali celebratur
Profession
Professeur de Philosophie
Commentaire Profession
De 1845 à 1848, Paul Janet est Professeur de Philosophie au Collège Royal de Bourges.
De 1848 à 1857, il est Professeur de Philosophie à la Faculté des lettres de Strasbourg.
De 1857 à 1864, il occupe la chaire de Logique au Lycée Louis-le-Grand à Paris.
En 1864, il est nommé professeur d'histoire de la philosophie à la Sorbonne.
En 1887, il est transféré dans la chaire de Philosophie à la Sorbonne.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Collège
Faculté des Lettres
Lycée
Sorbonne
Ville Exercice Professionnel
Bourges
Strasbourg
Paris
Date Profession
1845-1899
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie des sciences morales et politiques
Commentaire Attache Institutionnelle
<p>En 1864, Paul Janet est membre de l'Académie des sciences morales et politiques</p>
Source
<p><span>Françoise Huguet, « Les thèses de doctorat ès lettres soutenues en France de la fin du XVIIIe siècle à 1940 », novembre 2009 (<a href="http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=theses-record/1262" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=theses-record/1262</a>)</span></p>
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1878
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Séances et travaux de l’Académie des sciences morales et politiques
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1888
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
2
Périodique Mobilisé
Séances et travaux de l’Académie des sciences morales et politiques
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/250" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De la valeur du syllogisme</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 12, 1881, pp. 105-118. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171511/f109.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171511/f109.item</a>)</p>
<p>«<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/251" target="_blank" rel="noreferrer noopener"> Introduction à la science philosophique. III. La science et la croyance en philosophie</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 26, 1888, pp. 313-334. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17165q/f317.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17165q/f317.item</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/252" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Rapport sur le mémoire de M. Boussinesq intitulé Conciliation du véritable déterminisme mécanique avec l’existence de la vie et de la liberté morale</a> », in <em>Séances et travaux de l’Académie des sciences morales et politiques</em>, t. 9, 1878, pp. 696-719. (<a href="http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k405871f/f695.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k405871f/f695.item</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
3
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Autre Publication
<p>« Rapport sur le mémoire de M. Boussinesq intitulé Conciliation du véritable déterminisme mécanique avec l’existence de la vie et de la liberté morale », in <em>Mémoires de la société des sciences de l’agriculture et des arts de Lille</em>, 1879, pp. 3-24. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5497779d/f7.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5497779d/f7.item</a>)</p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Paul, Janet (1823-1899)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Piéron
Prénom
Henri
Année de naissance
1881
Année de décès
1964
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté des lettres
Faculté des sciences
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1899-1903
1904-1907
Licencié
Oui
Type Licence
ès lettres
ès sciences-naturelles
Date Licence
1899
1907
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1903
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès sciences-naturelles
Date Doctorat
1912
Titre Doctorat
Travaux sur la physiologie du sommeil
Profession
Philosophe
Physiologiste
Psychologue
Commentaire Profession
<p>De 1901 à 1907, il est préparateur à l'École pratique des Hautes Études dans le laboratoire de psychologie expérimentale du docteur Toulouse à l'asile Villejuif. <br />En 1903, il est Professeur suppléant au collège de Saint-Germain-en-Laye.<br />En 1907, il est Chef de travaux à l'École pratique des Hautes Études. <br />En 1907, il est nommé Maître de conférences à l'École pratique des Hautes Études.<br />En 1912, il est Directeur du laboratoire de psychologie physique à la Sorbonne.<br />De 1923 à 1951, il est Professeur de physiologie des sensations au Collège de France.<br />De 1937 à 1951, il est Président de la IIIème section à l'École pratique des Hautes Études.<br />Il dirige l'Institut national d'étude du travail et d'orientation professionnelle jusqu'en 1962.<br /><br /><br /></p>
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Collège de Saint-Germain-en-Laye
École pratique des Hautes Études
Laboratoire de psychologie physique à la Sorbonne
Collège de France
Institut national d'étude du travail et d'orientation professionnelle
Ville Exercice Professionnel
Paris
Date Profession
1901-1962
Statut Prof. reconstitué
Psychologue
Commentaire Statut Professionnel Reconstitué
Au moment de sa publication dans la <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, Piéron est préparateur à l'École pratique des hautes études dans le laboratoire de psychologie expérimentale du docteur Toulouse à l'asile de Villejuif.
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Association française pour l'avancement des sciences
Société française de pédagogie
Société zoologie de France
Commentaire Attache Institutionnelle
Piéron est président de l'Association française pour l'avancement des sciences.
Il est membre de la société française de pédagogie.
Il est président de la société zoologie de France.
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1902
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de métaphysique et de morale
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1902
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de métaphysique et de morale
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
Revue de métaphysique et de morale
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/292" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Essai sur le Hasard. La psychologie d’un concept</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 10, 1902, pp. 682-695. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110561/f686.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110561/f686.item</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<p><span>Charle, Christophe, Telkès, Eva (1988).</span><span>77. Piéron (Louis, Charles, </span><em>Henri</em><span>), in Charle Christophe, Telkès Eva, <em>Les professeurs du Collège de France – Dictionnaire biographique 1901-1939,</em> Paris : Institut national de recherche pédagogique, 1988. pp. 203-205. (</span><em>Histoire biographique de l'enseignement</em><span>, 3). (<a href="http://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6156" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6156</a>)</span></p>
<p>Charmasson, Thérèse et Parot, Françoise, <em>Archives d'Henri Piéron</em>. (<a href="http://www.bu.parisdescartes.fr/doc/documents/Fonds%20Henri%20Pi%C3%A9ron%20-%20Archives%20Nationales.pdf" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.bu.parisdescartes.fr/doc/documents/Fonds%20Henri%20Piéron%20-%20Archives%20Nationales.pdf</a>)</p>
Mengal, Paul, <em>Henri Piéron (1881-1964) et les Néo-Lamarckiens français</em>. (<a href="http://www.histcnrs.fr/ColloqDijon/Mengal-Pieron.pdf" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://www.histcnrs.fr/ColloqDijon/Mengal-Pieron.pdf</a>)
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Piéron, Henri (1881-1964)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Tarde
Prénom
Gabriel
Année de naissance
1843
Année de décès
1904
Ville Naissance
Sarlat-la-Canéda
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de droit
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Toulouse
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1862-1866
Licencié
Oui
Type Licence
droit
Date Licence
1866
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Juge d'instruction
Directeur de la statistique judiciaire au ministère de la justice
Professeur au Collège de France (chaire de philosophie moderne)
Commentaire Profession
De 1867 à 1869, il est Secrétaire assistant de juge à Sarlat.
De 1869 à 1873, il est Juge suppléant au parquet de Sarlat.
De 1873 à 1875, il est Substitut du Procureur de la République à Ruffec.
De 1875 à 1894, il est Juge d'instruction à Sarlat.
De 1894 à 1900, il est Directeur de la statistique judiciaire au ministère de la justice.
En 1896, il est Professeur à l'École libre des Sciences politiques de Paris.
En 1900, il est élu à la chaire de philosophie moderne au Collège de France.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Tribunal
Ministère de la justice
Collège de France
Ville Exercice Professionnel
Sarlat
Paris
Date Profession
1873-1904
1894-1904
1900-1902
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie des Sciences morales et politiques
Société de Sociologie de Paris
Société française de Philosophie
Société générale des prisons et de législation criminelle
Commentaire Attache Institutionnelle
En 1900, il est nommé membre titulaire de l'Académie des Sciences morales et politiques
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1904
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de philosophie
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1904
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de philosophie
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
Revue de philosophie
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<div><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/294" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La notion de hasard chez Cournot</a> », in <i>Revue de Philosophie</i>, t. 5, 1904, pp. 497-515. (<a href="https://archive.org/details/revuedemtaphys05pariuoft" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://archive.org/details/revuedemtaphys05pariuoft</a>)</span></div>
<div><span></span></div>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<span>Martine François, </span><i>CTHS-La France savante </i>(<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=101518#" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://cths.fr/an/savant.php?id=101518#</a>)
<p><a href="https://www.enap.justice.fr/histoire/gabriel-tarde-1843-1904" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.enap.justice.fr/histoire/gabriel-tarde-1843-1904</a></p>
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Tarde, Gabriel (1843-1904)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Milhaud
Prénom
Gaston
Année de naissance
1858
Année de décès
1918
Ville Naissance
Nîmes
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (ENS) (S)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1878
Licencié
Oui
Type Licence
Mathématiques
Physiques
Date Licence
1880
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Mathématiques
Date Agrégation
1881
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1894
Titre Doctorat
Essai sur les conditions et les limites de la certitude logique
Profession
Professeur de mathématiques
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
De 1881 à 1882, il est professeur de mathématiques élémentaires au Lycée de Nice.
De 1882 à 1887, il est professeur de mathématiques spéciales au Lycée du Havre.
En 1887, il est professeur de mathématiques spéciales au Lycée de Nice.
De 1887 à 1888, il est professeur de mathématiques élémentaires au Lycée de Lille.
De 1888 à 1894, il est professeur de mathématiques spéciales au Lycée de Montpellier.
De 1895 à 1899, il est chargé de cours de philosophie à la Faculté des lettres de Montpellier.
De 1899 à 1908, il est professeur de philosophie à la Faculté des lettres de Montpellier.
De 1909 à 1918, il est professeur d'histoire de la philosophie dans ses rapports avec les sciences à la Faculté des lettres de Paris.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
Faculté des lettres
Ville Exercice Professionnel
Nice
Havre
Lille
Montpellier
Date Profession
1881-1894
1895-1918
Statut Prof. reconstitué
Mathématicien-Philosophe
Philosophe
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1887
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue scientifique
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1918
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Scientia
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
9
Périodique Mobilisé
Bulletin de la Société francaise de philosophie
La Grande revue
Revue de métaphysique et de morale
Revue des idées
Revue du mois
Revue générale des sciences pures et appliquées
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Revue scientifique
Scientia
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/296" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Note sur la raison chez Cournot</a> », in <i>Revue de Métaphysique et de</i> morale, t. 13, </span><span>1905, pp. 307-318. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110592/f313.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110592/f313.image</a>)</span></p>
<div><span></span></div>
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/297" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le développement de la pensée de Cournot</a> », in <i>La Revue du mois</i>, t. 12, 1911, pp. 404-427. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68125r/f12.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68125r/f12.image</a>)</span></p>
<div><span></span></div>
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/298" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le hasard chez Aristote et chez Cournot</a> », in <i>Revue de Métaphysique et de morale</i>, t. 10, Paris, 1902, pp. 667-681. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110561/f671.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110561/f671.image</a>)</span></p>
<div><span></span></div>
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/299" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La définition du hasard de Cournot</a> », in <i>Revue philosophique de la France et de l'étranger</i>, t. 72, 1911, pp. 136-159. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k172112/f140.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k172112/f140.image</a>)</span></p>
<div><span></span></div>
<p><span>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/300" target="_blank" rel="noreferrer noopener">La science et la religion chez Cournot</a> », in <i>Bulletin de la Société Française de Philosophie, </i>1911, pp. 83-104. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68125r/f114.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68125r/f114.item</a>)</span></p>
<div><span></span></div>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/301" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Cournot et le pragmatisme scientifique contemporain</a> », in <em>Scientia</em>, t. 10, 1911, pp. 370-380. (<a href="https://amshistorica.unibo.it/7" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://amshistorica.unibo.it/7</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/348" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Essai sur la classification des sciences, par M. Goblot</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 7, 1899, pp. 325-346. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110530/f325.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110530/f325.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/375" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le raisonnement géométrique et le syllogisme</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 44, 1897, pp. 364-389.</p>
<p>« Science grecque et science modern », in <em>Séances et travaux de l’Académie des sciences morales et politiques : Compte-rendu</em>, t. 60, 1904, pp. 335-368. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2992571/f343.item.r=Cournot" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2992571/f343.item.r=Cournot</a>)</p>
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Source
<span>Nadal, André, « Gaston Milhaud (1858-1918) », in </span><em>Revue d'histoire des sciences et de leurs applications</em><span>, t.12, n°2, 1959. pp. 97-110. (<a href="https://www.persee.fr/doc/rhs_0048-7996_1959_num_12_2_3733" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.persee.fr/doc/rhs_0048-7996_1959_num_12_2_3733</a>)</span>
<p><span>Charle, Christophe, « 79. Milhaud (Samuel, </span><em>Gaston</em><span>) », in, <em>Les professeurs de la faculté des lettres de Paris – Dictionnaire biographique 1909-1939</em>, Paris, Institut national de recherche pédagogique, 1986, pp. 160-161. (<a href="https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1986_ant_2_2_2772" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1986_ant_2_2_2772</a>)</span></p>
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
X
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Milhaud, Gaston (1858-1918)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Penjon
Prénom
Auguste
Année de naissance
1843
Année de décès
1919
Ville Naissance
Valence
Ville Décès
Douai
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (L)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1863
Licencié
Oui
Type Licence
ès lettres
Date Licence
1866
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1866
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1878
Titre Doctorat
Études sur la vie et les oeuvres philosophiques de Georges Berkeley (thèse de doctorat) / De infinito apud Leibnitium thesim facultati litterarum Parisiensi proponebat (thèse complémentaire)
Profession
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
De 1866 à 1867, il est Professeur de philosophie au Lycée de Mâcon.
De 1868 à 1878, il est Professeur de psychologie et de morale à l'École normale d'instituteurs de Cluny.
De 1880-1881, il est Professeur de philosophie à la Faculté des lettres de l'Université de Toulouse.
De 1881 à 1882, il est Chargé de cours de philosophie à la Faculté des lettres de l'Université de Douai.
De 1882 à 1913, il est Professeur de philosophie à la Faculté des lettres de l'Université de Douai.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
École normale d'instituteurs
Faculté des lettres
Ville Exercice Professionnel
Mâcon
Cluny
Toulouse
Douai
Date Profession
1866-1867
1868-1878
1880-1881
1881-1882
1882-1913
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie des sciences morales et politiques
Commentaire Attache Institutionnelle
En 1899, il est élu Correspondant de l'Académie des sciences morales et politiques.
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1909
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1909
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/313" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Cournot et la renaissance du probabilisme au XIXe siècle de F. Mentré</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 68, 1909, pp. 67-75. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17207t/f71.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17207t/f71.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/378" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Traité de l’enchaînement des idées fondamentales dans les sciences et dans l’histoire</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 73, 1912, pp. 514-516. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17212d/f518.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17212d/f518.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<p><em>CTHS-La France savante </em>(<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=118053" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://cths.fr/an/savant.php?id=118053</a>)</p>
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Penjon, Auguste (1843-1919)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Parodi
Prénom
Dominique
Année de naissance
1870
Année de décès
1955
Ville Naissance
Gènes
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (L)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1890
Licencié
Non
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1893
Doctorat
Non
Profession
Professeur de philosophie
Inspecteur de l’Académie de Paris
Inspecteur général de l’Instruction publique
Commentaire Profession
En 1893, il est Professeur de philosophie au Lycée de Rodez.
De 1893 à 1899, il est Professeur de philosophie au Lycée de Limoges.
De 1899 à 1900, il est Maître surveillant à l'École normale supérieure.
De 1900 à 1902, il est Professeur de philosophie au Lycée de Bordeaux.
De 1902 à 1905, il est Professeur de philosophie au Lycée de Rouen.
De 1905 à 1906, il est Professeur de philosophie au Lycée Saint-Louis et Henri IV.
De 1906 à 1909, il est Professeur de philosophie au Lycée Charlemagne.
De 1909 à 1912, il est Professeur de philosophie au Lycée Michelet.
De 1910 à 1914, il est chargé de cours à l'École des Hautes Études sociales.
De 1912 à 1917, il est Professeur de philosophie au Lycée Condorcet.
De 1917 à 1919, il est Inspecteur de l'Académie de Paris.
De 1919 à 1937, il est Inspecteur de l'Instruction publique.
En 1939, il est Chargé de l'enseignement de la philosophie au Lycée Saint-Louis.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Collège
Lycée
École des Hautes Études sociales
Ville Exercice Professionnel
Rodez
Limoges
Bordeaux
Rouen
Paris
Date Profession
1893-1905
1905-1955
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie des sciences morales et politiques
Commentaire Attache Institutionnelle
De 1945 à 1955, il est membre de l'Académie des sciences morales et politiques.
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1905
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue du mois
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1925
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
3
Périodique Mobilisé
Revue du mois
Revue de Métaphysique et de morale
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/315" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Le criticisme de Cournot</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 13, 1905, pp. 451-484. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110592/f457.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110592/f457.item</a>)</p>
<p>« Les tendances de la philosophie en France », in <em>Revue du mois</em>, t. 9, 1910, pp. 141-162. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1235561/f148.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1235561/f148.image</a>)</p>
<p>« Philosophie des sciences », in <em>Revue du mois</em>, t. 16, 1913, pp. 614-620. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1235603/f619.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1235603/f619.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/368" target="_blank" rel="noreferrer noopener">De l’explication dans les sciences par Émile Meyerson</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 31, pp. 585-597.(<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11217p/f81.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11217p/f81.image</a>)</p>
<p>« La philosophie française de 1918 à 1925 », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 100, 1925, pp. 359-383. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17239f/f359.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17239f/f359.item</a>)</p>
<p>« Science et philosophie », in <em>Revue du mois</em>, t. 17, 1914, pp. 47-65. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1183346k/f59.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1183346k/f59.item</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
6
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>La Philosophie contemporaine en France. Essai de classification des </em><em>doctrines</em>, Paris, Alcan, 1920. (<a href="https://archive.org/details/laphilosophieco00paro" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://archive.org/details/laphilosophieco00paro</a>)</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Source
<p><em>CTHS-La France savante </em>(http://cths.fr/an/savant.php?id=113786)</p>
<p>Lalande, André, « Dominique Parodi (1970-1955) », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, 1955.</p>
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Parodi, Dominique (1870-1955)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Boutroux
Prénom
Pierre
Année de naissance
1880
Année de décès
1922
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté des sciences
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
Inconnue
Licencié
Oui
Type Licence
ès sciences-mathématiques
Date Licence
Inconnue
Agrégation
Non
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès sciences-mathématiques
Date Doctorat
1903
Titre Doctorat
Sur quelques propriétés des fonctions entières
Profession
Professeur de mathématiques
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
De 1906 à 1907, il est Maître de conférence sà la Faculté des sciences de Montpellier.
De 1907 à 1908, il est Chargé du cours complémentaire de mathématiques de la Fondation Peccot.
De 1908 à 1909, il est Chargé de cours de mécanique rationnelle et appliquée à la Faculté des sciences de Poitiers.
De 1909 à 1910, il est Chargé de cours de calcul différentiel à la Faculté des sciences de Nancy.
De 1910 à 1913, il est Professeur de calcul différentiel à la Faculté des sciences de Poitiers.
De 1913 à 1914, il est Professeur de mathématiques à l'Université de Princeton.
De 1920 à 1922, il est Professeur d'histoire des sciences au Collège de France.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Faculté des sciences
Collège de France
Ville Exercice Professionnel
Montpellier
Poitiers
Nancy
Princeton
Paris
Date Profession
1906-1919
1920-1922
Statut Prof. reconstitué
Mathématicien-Philosophe
Philosophe
Attache Institutionnelle
Non
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1901
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de métaphysique et de morale
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1921
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de métaphysique et de morale
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
3
Périodique Mobilisé
Revue de métaphysique et de morale
La Revue du mois
Scientia
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« Cournot et la renaissance du probabilisme, par F. Mentré », in <em>Scientia</em>, t. 7, 1910, pp. 386-389. (<a href="https://amshistorica.unibo.it/7" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://amshistorica.unibo.it/7</a>) </p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
19
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>L'Imagination et les mathématiques selon Descartes</em>, Paris, 1910.</p>
<p><em>Les Principes de l'analyse mathématique, exposé historique et critique</em>, 2 vol., Hermann, Paris, 1914-1919. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k99368f" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k99368f</a> / <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k993762" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k993762</a>)</p>
<p><em>L'Idéal scientifique des mathématiciens dans l'antiquité et dans les temps modernes</em>, Alcan, Paris, 1920. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k29111g" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k29111g</a>)</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
3
Source
<p><span>Charle, Christophe, Telkès, Eva. <em>7. Boutroux (Pierre, Léon)</em></span><span>, in Charle Christophe, Telles Eva, </span><i>Les professeurs du Collège de France - Dictionnaire biographie 1901-1939</i><span>, Paris : Institu. National de recherche pédagogique, 1988, pp. 36-37. (<a href="https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6084" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1988_ant_3_1_6084</a>)</span></p>
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Boutroux, Pierre (1880-1922)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Rey
Prénom
Abel
Année de naissance
1873
Année de décès
1940
Ville Naissance
Chalon-sur-Saône
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Faculté de lettres
Faculté des sciences
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1893
Licencié
Oui
Type Licence
ès sciences-physiques
Date Licence
Inconnue
Agrégation
Oui
Type Agrégation
philosophie
Date Agrégation
1896
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1907
Titre Doctorat
La Théorie de la physique chez les physiciens contemporains
Profession
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
De 1896 à 1907, il enseigne dans plusieurs lycée de province (Beauvais).
De 1908 à 1918, il est Chargé de cours, puis Professeur de philosophie à la Faculté des lettres de l'Université de Dijon.
De 1919 à 1940, il est Professeur de philosophie à la Faculté des lettres de l'Université de Paris (Chaire d'histoire et philosophie des sciences).
En 1932, il fonde l'Institut d'histoire des sciences
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Faculté des lettres
Ville Exercice Professionnel
Dijon
Paris
Date Profession
1908-1918
1919-1940
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1903
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1929
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de synthèse historique
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
7
Périodique Mobilisé
Annales de philosophie chrétienne
Bulletin de la Société française de philosophie
Revue scientifique
Revue de métaphysique et de morale
Revue de synthèse historique
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Scientia
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/331" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Traité de l'enchaînement des idées fondamentales dans les sciences et dans l'histoire, par A. Cournot</a> », in <em>Scientia</em>, t. 14, 1913, pp. 117-118. (<a href="https://amshistorica.unibo.it/7" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://amshistorica.unibo.it/7</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
67
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>La Théorie de la physique chez les physiciens contemporains</em>, Alcan, Paris, 1907. (<a href="https://archive.org/details/lathoriedelaphy00reygoog" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://archive.org/details/lathoriedelaphy00reygoog</a>)</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
X
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Source
<p><span class="UpperCase">Brenner,</span><span> Anastasios, « L’épistémologie historique d’Abel Rey », in </span><i>Revue de métaphysique et de morale</i><span>, 2016/2 (N° 90), pp. 159-176. (<a href="https://www.cairn.info/revue-de-metaphysique-et-de-morale-2016-2-page-159.htm" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.cairn.info/revue-de-metaphysique-et-de-morale-2016-2-page-159.htm</a>)</span></p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Rey, Abel (1873-1940)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Couturat
Prénom
Louis
Année de naissance
1868
Année de décès
1914
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Melun
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (L)
Faculté des sciences
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1887
1891
Licencié
Oui
Type Licence
ès lettres
ès sciences-mathématiques
Date Licence
1890
1892
Agrégation
Oui
Type Agrégation
philosophie
Date Agrégation
1890
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1894
Titre Doctorat
De l'infini mathématique (thèse principale) / De platonicien mythes (thèse supplémentaire)
Profession
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
De 1894 à 1895, il est Maître de conférences à la Faculté des lettres de Toulouse.
De 1897 à 1899, il est Chargé de cours à la Faculté des lettres de Caen.
De 1905 à 1906, il est Assistant d'Henri Bergson au Collège de France.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Faculté des lettres
Collège de France
Ville Exercice Professionnel
Toulouse
Caen
Paris
Date Profession
1894-1895
1897-1899
1905-1906
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1892
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1917
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de métaphysique et de morale
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
3
Périodique Mobilisé
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Revue de métaphysique et de morale
Bulletin de la Société française de philosophie
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/333" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Sur les rapports du nombre et de la grandeur</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 6, 1898, pp. 442-447. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11052n/f427.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11052n/f427.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/334" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’Algèbre universelle de M. Whitehead</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 8, 1900, pp. 323-362. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11054b/f323.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11054b/f323.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/345" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’année philosophique</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t.1, 1893, pp. 65-85. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110472/f67.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110472/f67.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/346" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Études sur l’espace et le temps de MM. Léchalas, Poincaré, Delboeuf, Bergson, L. Weber et Evellin</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 4, 1896, pp. 646-669. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11050z/f648.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11050z/f648.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/347" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Essai sur les fondements de la géométrie, par Bertrand Russell</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 6, 1898, pp. 354-380. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11052n/f359.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11052n/f359.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
X
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Couturat, Louis (1868-1914)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Poincaré
Prénom
Henri
Année de naissance
1854
Année de décès
1912
Ville Naissance
Nancy
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Polytechnique
École des mines
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1873
1875-1878
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès sciences-mathématiques
Date Doctorat
1879
Titre Doctorat
Sur les propriétés des fonctions définies par les équations aux différences partielles
Profession
Ingénieur des mines
Professeur de mathématiques
Professeur d'électricité théorique
Commentaire Profession
De 1879 à 1886, il est Ingénieur ordinaire des mines.
En 1879, il est Chargé de cours à la Faculté des sciences de Caen.
En 1881, il est Maître de conférences d'analyse à la Faculté des sciences de Paris.
De 1883 à 1897, il est Répétiteur d'analyse à l'École polytechnique.
De 1885 à 1886, il est Chargé d'un cours de mécanique physique et expérimentale à la Faculté des sciences de Paris.
En 1886, il est Professeur de physique mathématique et de calcul des probabilités à la Faculté des sciences de Paris.
De 1893 à 1901, il est Ingénieur en chef des mines.
En 1896, il est Professeur d'astronomie mathématique et de mécanique céleste à la Faculté des sciences de Paris.
En 1902, il est Professeur d'électricité théorique à l'École professionnelle supérieure des postes et télégraphes.
De 1904 à 1908, il est Professeur d'astronomie générale à l'École polytechnique.
En 1910, il est Inspecteur général des mines.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Faculté des sciences
École polytechnique
École professionnelle supérieure des postes et télégraphes
Ville Exercice Professionnel
Caen
Paris
Date Profession
1879-1880
1879-1912
Statut Prof. reconstitué
Mathématicien-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Société Mathématique de France
Société Astronomique de France
Société Française de Physique
Société Française de Philosophie
Bureau des Longitudes
Académie des Sciences
Commentaire Attache Institutionnelle
Il est membre et président (1886, 1900) de la Société Mathématique de France ; membre et président (1901-1902 / 1902-1903) de la Société Astronomique de France ; membre de la Société Française de Physique ; membre de la Société Française de Philosophie ; membre et président (1899, 1909) du Bureau des Longitudes ; membre et président (1906) de l'Académie des Sciences, section de géométrie.
Correspondance
<p><a href="http://henripoincarepapers.univ-lorraine.fr/chp/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://henripoincarepapers.univ-lorraine.fr/chp/</a></p>
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1891
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue générale des sciences pures et appliquées
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1912
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue scientifique
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
8
Périodique Mobilisé
Revue générale des sciences pures et appliquées
Revue scientifique
La Revue du mois
La Revue des idées
Foi et vie
La Nouvelle revue
Scientia
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/336" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Cournot et les principes du calcul infinitésimal</a> », in <em>Revue de métaphysique et de morale</em>, t. 13, 1905, pp. 293-306. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110592/f299.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110592/f299.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
40
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Source
<p>Charle Christophe, Telkès Eva. 96. Poincaré (Henri), <span>in Charle Christophe, Telles Eva, Les Professeurs de la faculté des sciences de Paris, 1901-1939. Dictionnaire biographique (1901-1939, Paris, Institut national de recherche pédagogique, 1989. pp. 230-232. (<a href="https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1989_ant_25_1_8745" target="_blank" rel="noreferrer noopener">www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1989_ant_25_1_8745</a>)</span></p>
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Title
A name given to the resource
Poincaré, Henri (1854-1912)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Lévy-Bruhl
Prénom
Lucien
Année de naissance
1857
Année de décès
1939
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (l)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1876
Licencié
Oui
Type Licence
ès lettres
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1879
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1884
Titre Doctorat
L'idée de responsabilité (première thèse) / Quid de Deo Seneca senserit (seconde thèse)
Profession
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
De 1879 à 1880, il est Professeur de philosophie au Lycée de Poitiers.
De 1881 à 1884, il est Professeur de philosophie au Lycée d'Amiens.
De 1885 à 1886, il est Professeur divisionnaire de philosophie au Lycée Louis-le-Grnd.
De 1886 à 1918, il est Professeur d'histoire des idées politiques en Allemagne à l'École libre des sciences politiques.
En 1895, il est Maître de conférences suppléant de philosophie à l'École Normale Supérieure.
En 1899, il est Maître de conférences de philosophie à La Sorbonne et chargé des études de philosophie.
En 1902, il est chargé d'un cours d'histoire de la philosophie moderne à la Sorbonne.
En 1904, il est Professeur adjoint d'histoire de la philosophie moderne à la Sorbonne.
En 1908, il est Professeur d'histoire de la philosophie moderne à la Sorbonne.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
Faculté des lettres
École libre des sciences politiques
École Normale Supérieure
Ville Exercice Professionnel
Paris
Date Profession
1879-1886
1886-1926
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Académie des sciences morales et politiques
Commentaire Attache Institutionnelle
De 1917 à 1939, Lévy-Bruhl est membre de l'Académie des sciences morales et politiques. Il est nommé président en 1928.
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1911
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de métaphysique et de morale
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1911
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de métaphysique et de morale
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
Revue de métaphysique et de morale
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/339" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Une réimpression de Cournot</a> », in <em>Revue de métaphysique t de morale</em>,t. 19, 1911, pp. 292-295. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11121n/f12.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11121n/f12.item</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><b> </b><span></span><em>La philosophie d'Auguste Comte</em>, Alcan, Paris, 1900. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k81330m.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k81330m.image</a>)</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Source
<p>François, Martine, et Marchand, Rémi, <i>CTHS </i>(<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=105332#" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://cths.fr/an/savant.php?id=105332#</a>)</p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Lévy-Bruhl, Lucien (1857-1939)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Segond
Prénom
Joseph
Année de naissance
1872
Année de décès
1954
Ville Naissance
Nice
Ville Décès
Nice
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (l)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1892
Licencié
Oui
Type Licence
ès lettres
Date Licence
1894
Agrégation
Oui
Type Agrégation
philosophie
Date Agrégation
1895
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1910
Titre Doctorat
La prière, étude de psychologie religieuse (Thèse principale) / Cournot et la psychologie vitaliste (Thèse complémentaire)
Profession
Professeur de Philosophie
Commentaire Profession
De 1895 à 1912, il est Professeur de philosophie au Lycée de Toulon.
En 1913, il est chargé de cours de philosophie à la Faculté des lettres de l'Université d'Aix-Marseille.
En 1929, il est nommé Professeur à la Faculté des lettres de l'Université d'Aix-Marseille
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
Faculté des lettres
Ville Exercice Professionnel
Toulon
Aix-Marseille
Date Profession
1895-1912
1913-1954
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Attache Institutionnelle
Non
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1905
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de synthèse historique
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1919
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
2
Périodique Mobilisé
Revue de synthèse historique
Revue philosophique de la France et de l'étranger
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/341" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Les idées de Cournot sur l’histoire</a> », in <i>Revue de synthèse historique</i>, t.10, 1905, pp. 1-9. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k101543h/f4.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k101543h/f4.image</a>)</p>
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/382" target="_blank" rel="noreferrer noopener">L’imagination pure et la pensée scientifique</a> », in <em>Revue philosophique de la France et de l’étranger</em>, t. 88, 1919, pp. 297-321. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17227f/f301.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17227f/f301.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
2
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>Hasard et contingence</em><span>, Paris, Hermann, Actualités scientifiques et industrielles, 1938</span></p>
<p><i>La logique du pari</i><span>, Paris, Hermann, Acutalité scientifiques et industrielles, 1938</span></p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
2
Source
<p><span>Institut de France, <em>CTHS</em> (<a href="http://cths.fr/an/savant.php?id=118095" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://cths.fr/an/savant.php?id=118095</a>)</span></p>
<p><span>Françoise Huguet, «Les thèses de doctorat ès lettres soutenues en France de la fin du XVIIIe siècle à 1940», novembre 2009 (</span><a href="http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=theses-record/2169" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=theses-record/2169</a>)</p>
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Segond, Joseph (1872-1954)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Montessus de Ballore
Prénom
Robert de
Année de naissance
1870
Année de décès
1937
Ville Naissance
Villeurbanne
Ville Décès
Arcachon
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
Écoles des mines
Faculté des sciences
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Saint-Étienne
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1887-1889
1898-1899
Licencié
Oui
Type Licence
ès sciences-mathématiques
Date Licence
1901
Agrégation
Non
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès sciences-mathématiques
Date Doctorat
1905
Titre Doctorat
Sur les fractions continues algébriques (première thèse) / Calculs des probabilités, théorie des erreurs (seconde thèse)
Profession
Professeur de Mathématiques
Commentaire Profession
En 1893, il entre à la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM)
En 1895, il est nommé professeur de Mathématiques élémentaires au Collège des Jésuites d'Evreux.
En 1897, il est nommé professeur de Mathématiques au Collège des Jésuites d'Yzeure (Allier).
En 1898, il est nommé professeur de Mathématiques élémentaires au Collège des Maristes de Senlis.
De 1898 à 1899, il suit les cours de Paul Appell, Gaston Darboux et Émile Picard à la Faculté des sciences de Paris.
En 1902, il est chargé de cours à l'Université catholique de Lille.
En 1903, il est nommé Maître de Conférences rémunéré et chargé des cours de Mathématiques spéciales et de mécanique rationnelle à l'Université catholique de Lille.
De 1915 à 1919, il est nommé professeur libre à La Sorbonne.
En 1917, il est employé par le gouvernement pour travailler sur la balistique.
En 1919, il retourne à Lille. Il se retrouve en position de congé vis-à-vis de l'Université catholique de Lille.
En 1924, il est nommé Professeur à l'Office National Météorologique de Paris.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Collège
Université catholique
Faculté des sciences
Office National Météorologie
Ville Exercice Professionnel
Province
Lille
Paris
Date Profession
1895-1901
1902-1914
1924-1937
Statut Prof. reconstitué
Mathématicien-Philosophe
Correspondance
Adhémar, Robert d'
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1907
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
La revue du mois
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1907
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
La revue du mois
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
La revue du mois
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/344" target="_blank" rel="noreferrer noopener">À propos du hasard</a> », in <em>La revue du mois</em>, t. 3, 1907, pp. 364-369. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1235548/f367.image" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1235548/f367.image</a>)</p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
1
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Source
<p>Le Ferrand, Hervé, <em>Notes sur la vie et l’oeuvre de Robert de Montessus de Ballore 1870-1937</em>. (<a href="https://hal.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/544743/filename/rmb_bio_HAL.pdf" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://hal.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/544743/filename/rmb_bio_HAL.pdf</a>)</p>
Créateur Fiche
Greber, Jules-henri
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Montessus de Ballore, Robert de (1870-1937)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Espinas
Prénom
Alfred
Année de naissance
1844
Année de décès
1922
Ville Naissance
Saint-Florentin
Ville Décès
Saint-Florentin
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Normale Supérieure (ENS) (l)
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1864
Licencié
Oui
Type Licence
ès lettres
Date Licence
1865
Agrégation
Oui
Type Agrégation
Philosophie
Date Agrégation
1871
Doctorat
Oui
Type Doctorat
ès lettres
Date Doctorat
1877
Titre Doctorat
Des sociétés animales, étude de psychologie comparée (thèse principale) / De civitate apud Platonem, qua fiat una (thèse complémentaire)
Profession
Professeur de philosophie
Commentaire Profession
<p>En 1867, il est Suppléant de philosophie au Lycée de Bastia.<br />En 1868, il est Chargé de cours de philosophie au Lycée de Chaumont.<br />En 1871, il est Professeur de philosophie au Lycée du Havre.<br />En 1873, il est Professeur de philosophie au Lycée de Dijon.<br />En 1878, il est Maître de conférence de philosophie à la Faculté des lettres de Douai.<br />EN 1882, il est Chargé de cours de philosophie à la Faculté des lettres de Bordeaux.<br />En 1887, il est Assesseur du doyen de la Faculté des lettres de Bordeaux.<br />De 1887 à 1890, il est Doyen de la Faculté des lettres de Bordeaux.<br />En 1890, il est Doyen honoraire de la Faculté des lettres de Bordeaux.<br />En 1894, il est Chargé de cours d'histoire de l'économie sociale à la Faculté des lettres de Paris. <br />En 1898, il est Professeur honoraire à la Faculté des lettres de Bordeaux.<br />En 1899, il est Professeur adjoint à la Faculté des lettres de Paris.<br />En 1904, il est Professeur d'histoire de l'économie sociale à la Faculté des lettres de Paris.<br /><br /></p>
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Lycée
Faculté des lettres
Ville Exercice Professionnel
Bastia
Chaumont
Havre
Dijon
Douai
Bordeaux
Paris
Date Profession
1867-1898
1899-1912
Statut Prof. reconstitué
Philosophe
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p>« Cournot et la Renaissance du pro- babilisme au XIXe <span>siècle »</span>, in <em>Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques : Compte-rendu</em>, t. 71, 1909, pp. 562-571. (<a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/428" target="_blank" rel="noreferrer noopener">http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/428</a>)</p>
Source
<p><span>Charle, Christophe, «39. Espinas (</span><em>Alfred</em><span>, Victor) », in <em>Les professeurs de la faculté des lettres de Paris – Dictionnaire biographique 1809-1908</em>, Paris, Institut national de recherche pédagogique, 1985. pp. 70-71. (<a href="https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1985_ant_2_1_2618">www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1985_ant_2_1_2618</a>)</span></p>
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Espinas, Alfred (1844-1922)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Calinon
Prénom
Zéphirin Auguste
Année de naissance
1850
Année de décès
190?
Ville Naissance
Boissy-l'Aillerie
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Polytechnique
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1870
Licencié
Non
Agrégation
Non
Doctorat
Non
Profession
Industriel
Commentaire Profession
En 1874, Calinon est sous-lieutenant élève du Génie d'application.
En 1877, il est lieutenant du Génie démissionnaire.
De 1879 à 1887, il est chef de la comptabilité des Usines et Forges de Pompey.
De 1889 à 1893, il est Chef du Service commercial aux Aciéries de Longwy.
De 1896 à 1899, il est Directeur gérant du dépôt des Forges de la Providence.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
Usines et Forges de Pompey
Aciéries de Longwy
Dépôt des Forges de la Providence
Ville Exercice Professionnel
Pompey
Longwy
Paris
Date Profession
1979-1899
Statut Prof. reconstitué
Ingénieur-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Société des Sciences de Nancy
Commentaire Attache Institutionnelle
Le 16 mars 1885, devant les membres de la Société des Sciences-naturelles de Nancy, <a href="https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00767965" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Gaston Floquet (1847-1920)</a>, professeur de mathématiques à la Faculté des sciences de Nancy, présente la candidature d’un jeune ingénieur lorrain, ancien élève de l’École polytechnique, Auguste Calinon (1850-1900). Élu membre titulaire le 16 avril 1885, Calinon va rapidement devenir l’un des représentants majeurs des sciences mathématiques au sein de la Société. Il présente et publie ainsi de 1885 à 1900, 7 mémoires dans le Bulletin de la Société des Sciences-naturelles de Nancy.<br />Passages des Procès-Verbaux des séances de la Société des Sciences de Nancy relatifs à l'élection de Calinon et publiés dans le <a href="http://documents.irevues.inist.fr/handle/2042/31969" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Bulletin de la Société des Sciences de Nancy de 1885</a> :<br />Séance du 16 mars 1885 (Présidence de M. Floquet) : Présentation. - MM. Hecht et Floquet présentent M. Calion comme membre titulaire.<br />Séance du 16 avril 1885 (Présidence de M. Floquet) : Rapport et Élection. - M. Floquet fait un rapport verbal sur la candidature de M. Calinon, présentée dans la dernière séance. À l'unanimité, M. Calinon, chef de la comptabilité des usines et forges de Pompey, est élu membre titulaire de la Société.
Correspondance
Correspondance avec Poincaré, Henri
Correspondance avec <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/125" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Léchalas, Georges (1851-1919)</a>
Commentaire Correspondance
<span><span>Poincaré et Calinon se rencontrent à Nancy en 1886. Calinon fait ensuite parvenir à Poincaré son <em>Étude critique sur la mécanique. </em></span></span><span></span>Les deux lettres de Calinon à Poincaré peuvent être consultées <a href="http://henripoincare.fr/s/correspondance/item/769#bib.bib2" target="_blank" rel="noreferrer noopener">ici</a>.<br />Léchalas et Calinon entretiennent une amitié polytechnicienne. Issu de la même promotion et instruit par Calinon dans les principes de la géométrie non-euclidienne, Léchalas <a></a>va contribuer à la promotion et à la circulation des recherches philosophico-mathématiques du mussipontains dans les périodiques néo-criticistes et néo-thomistes<a></a>. Léchalas consacre ainsi une douzaine d’interventions à diffuser, commenter et défendre les travaux de son ami polytechnicien. En plus de son travail de médiation dans les périodiques philosophiques, [Léchalas 1891c] est conduit, suite à une réaction de l’abbé Poulain dans les <em>Études </em>[Poulain, 1891], à présenter les travaux de Calinon dans les <em>Nouvelles Annales de mathématiques.<br /></em>Léchalas indique dans ses premiers articles consacrés aux géométries non-euclidiennes qu’ « une circonstance singulièrement favorable, l’amitié qui nous lie à M. Calinon, nous a permis de nous former une idée assez nette de cette science si contestée, d’en apprécier la valeur intrinsèque et de conclure à des conséquences métaphysiques singulièrement différentes de celles qu’on en tire généralement (…) Ce qui nous a été d’un secours infiniment plus précieux, c’est l’extrême complaisance avec laquelle notre ami nous a exposé les principes de la géométrie générale (…) et a répondu aux innombrables difficultés qui nous arrêtaient à tout moment. » [Léchalas 1889, 217-218].
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1887
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1900
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
1
Périodique Mobilisé
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p><span>« Le temps et la force », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/440" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><i>Revue philosophique de la France et de l’étranger</i></a>, t. 23, 1887, pp. 286-298 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17162p/f290.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17162p/f290.item</a>)</span><span></span></p>
<p>« Les notions premières en mathématiques », in <span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/440" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><i>Revue philosophique de la France et de l’étranger</i></a></span>, t. 26, 1888, pp. 42-48 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17165q/f46.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17165q/f46.item</a>)</p>
<p><span>« Les espaces géométriques », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/440" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><i>Revue philosophique de la France et de l’étranger</i></a>, t. 32, 1891, pp. 368-375 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17171n/f372.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17171n/f372.item</a>)</span><span></span></p>
<p>« Étude sur l’indétermination géométrie de l’univers », in <span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/440" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><i>Revue philosophique de la France et de l’étranger</i></a>,</span> t. 36, 1893, pp. 595-607 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171751/f599.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171751/f599.item</a>)</p>
<p>« Sur la définition des grandeurs », in <span><a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/440" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><i>Revue philosophique de la France et de l’étranger</i></a>,</span> t. 45, 1898, pp. 490-499 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171840/f494.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171840/f494.item</a>)</p>
<span>« Sur la géométrie numérique », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/440" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><i>Revue philosophique de la France et de l’étranger</i></a>, t. 49, 1900, pp. 614-620 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17188c/f618.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17188c/f618.item</a>)</span>
<p><span></span></p>
<p><span>« Les espaces géométriques », in <a href="http://prosophisci.ahp-numerique.fr/items/show/440" target="_blank" rel="noreferrer noopener"><i>Revue philosophique de la France et de l’étranger</i></a>, t. 27, 1889, pp. 588-595 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171662/f600.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k171662/f600.item</a>)</span></p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
7
Ouvrage Philosophie des Sciences
Non
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Calinon, Zéphirin Auguste (1850-190?)
-
Acteur
Un individu.
Nom
Urbain
Prénom
Georges
Année de naissance
1872
Année de décès
1938
Ville Naissance
Paris
Ville Décès
Paris
Nationalité
Française
Établissement ou Lieu de Formation
École Supérieure de Physique et de Chimie
Ville Établissement ou Lieu de Formation
Paris
Date Établissement ou Lieu de Formation
1890-1894
Licencié
Oui
Type Licence
Licencié ès Sciences-Physiques
Date Licence
1894
Agrégation
Non
Doctorat
Oui
Type Doctorat
Doctorat ès Sciences Chimiques
Date Doctorat
1899
Titre Doctorat
Recherches sur la séparation des terres rares
Profession
Professeur de Chimie
Commentaire Profession
De 1894 à 1895, il est Préparateur à l'École de Physique et de Chimie.
De 1895 à 1897, il est Préparateur à la Faculté des sciences PCN.
De 1895 à 1898, il est Préparateur particulier au laboratoire de Charles Friedel.
De 1897 à 1899, il est Professeur de physique et de chimie à l'École alsacienne.
De 1899 à 1904, il est Chef du laboratoire de recherches à la Compagnie générale d'électricité.
De 1905 à 1906, il est Sous-chef des travaux d'électrochimie à l'École de physique et de chimie de la Ville de Paris.
En 1906, il est Chargé d'un cours complémentaire de chimie analytique à la Faculté des sciences de Paris.
En 1907, il est Chargé d'un cours complémentaire de chimie minérale à la Faculté des sciences de Paris.
En 1908, il est Professeur de chimie à la Faculté des sciences de Paris.
En 1918, il est Professeur suppléant à l'École centrale des arts et manufactures.
En 1920, il est Professeur de chimie minérale et analytique à l'École centrale des arts et manufactures.
En 1928, il est Directeur de l'Institut de chimie de Paris.
En 1928, il est Co-directeur de l'Institut de biologie physico-chimique.
En 1930, il est Créateur du laboratoire des terres rares à l'École nationale supérieure de chimie de Paris.
Établissement ou Lieu Exercice Professionnel
École de Physique et de Chimie, École alsacienne, Laboratoire de recherches à la Compagnie générale d'électricité, Faculté des sciences, École centrale des arts et manufactures
Ville Exercice Professionnel
Paris
Date Profession
1894-1938
Statut Prof. reconstitué
Chimiste-Philosophe
Attache Institutionnelle
Oui
Nom Attache Institutionnelle
Commission internationale des poids atomiques; Commission internationale des atomes; Société de chimie-physique; Société de minéralogie; Société philomatique; Société chimique de France; Laboratoire d'Ivry du CNRS
Commentaire Attache Institutionnelle
En 1909, il est élu président de la Société de chimie-physique.
En 1910, il est élu membre de la Société française de Minéralogie.
En 1921, il est nommé membre de l'Académie des sciences.
En 1937, il est élu président de la Société française de Minéralogie.
Date Première Publication dans les Périodiques du Corpus
1920
Lieu Première Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de Métaphysique et de morale
Date Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
1929
Lieu Dernière Publication dans les Périodiques du Corpus
Revue de Métaphysique et de morale
Nombre Périodique du Corpus Mobilisé
2
Périodique Mobilisé
Revue de Métaphysique et de morale
Revue Philosophique de la France et de l'étranger
Intervention dans les Périodiques du Corpus
<p><span>« La valeur des idées de Comte sur la chimie », in <em>Revue de Métaphysique et de morale</em>, t.27, n°2, pp. 151-179. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11185w/f25.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k11185w/f25.item</a>)</span><span></span></p>
<p><span>« La chimie subatomique et l’atome moderne », in <em>Revue Philosophique de la France et de l'étranger</em>, t. 103, 1927, pp. 161–177. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17242b/f161.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k17242b/f161.item</a>)</span><span></span></p>
<p><span>« Remarques sur l’orientation des doctrines chimiques », in <em>Revue de Métaphysique et de morale</em>, t. 36, n°2, 1929, pp. 177-191. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112557/f21.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112557/f21.item</a>)<br /><br /></span><span></span></p>
Nombre Intervention dans les Périodiques du Corpus
3
Ouvrage Philosophie des Sciences
Oui
Titre Ouvrage Philosophie des Sciences
<p><em>Les Disciplines d'une science : la chimie</em>, coll. Encyclopédie scientifique, Bibliothèque d'histoire et de philosophie des sciences, Doin, 1921.</p>
Nombre Ouvrage Philosophie des Sciences
1
Autre Publication
<p><span>« L’atomistique dans l’enseignement et la recherche », in <em>La Revue du mois</em>, t. 7 (janvier-juin), 1909, pp. 417-429. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k123555n/f420.image.r=Urbain#" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k123555n/f420.image.r=Urbain#</a>)</span><span></span></p>
<p><span>« L’élément chimique », in <i>La Revue du mois</i>, t.8 (juillet-décembre), 1909.</span><span></span></p>
<p><span>« Les Lois fondamentales de la chimie sont-elles des lois rigoureuses ou seulement des lois limites? », in <em>Revue Scientifique</em>, 1909, pp. 577-583. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215151d/f581.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215151d/f581.item</a>) </span><span></span></p>
<p><span>« L’affinité chimique : les principes de Berthelot et Nernst », </span><span>in <em>Revue Scientifique</em>, 1910, pp. 641-649.(<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2151535/f669.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2151535/f669.item</a>)</span></p>
<p><span>« Transformation successive de la notion d’affinité », in <em>Revue Scientifique</em>, 1916, pp. 65-71. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215163h/f69.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215163h/f69.item</a>)</span><span></span></p>
<p><span>« Les bases énergétiques de la théorie atomique », in <em>Revue Scientifique</em>, 1921, pp. 545-553. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215168d/f582.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215168d/f582.item</a>)</span><span></span></p>
<p><span>« Les structures matérielles secrètes », in <i>Cahiers de la Nouvelle Journée</i></span><span></span>, 1929. </p>
<p><span>« Les méthodes des sciences physiques et naturelles sont-elles applicables à la sociologie ? », in <em>Journal de Psychologie</em>, 1920, pp. 481-495. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96573886/f489.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96573886/f489.item</a>)</span></p>
Source
<p><span>Glasser Édouard, « Georges Urbain », in </span><em>Bulletin de la Société française de Minéralogie</em><span>, vol. 61, 7-8, 1938, pp. 248-252. (<a href="https://www.persee.fr/doc/bulmi_0366-3248_1938_num_61_7_4448" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.persee.fr/doc/bulmi_0366-3248_1938_num_61_7_4448</a>)<br /></span></p>
<p>Courrier, Robert, <span>« Notice sur la vie et les travaux de Georges Urbain (1872-1938), Membre de la section de Chimie », in <i>Notices et discours de l’Académie des Sciences</i>, T.6, 1972-1973. (<a href="https://www.academie-sciences.fr/pdf/eloges/urbain_notice.pdf" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.academie-sciences.fr/pdf/eloges/urbain_notice.pdf</a>)</span></p>
<p><span>Hervé Danesi, Catherine Lallement, Bruno Delmas, « Urbain Georges », CTHS-La France savante (<a href="https://cths.fr/an/savant.php?id=110963" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://cths.fr/an/savant.php?id=110963</a>)</span></p>
<p><span>Charle Christophe, Telkès Eva, « 107. Urbain (Georges) », in <em>Les Professeurs de la faculté des sciences de Paris, 1901-1939. Dictionnaire biographique (1901-1939),</em> Paris : Institut national de recherche pédagogique, 1989. pp. 255-257. (<a href="https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1989_ant_25_1_8756" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.persee.fr/doc/inrp_0298-5632_1989_ant_25_1_8756</a>)</span></p>
<p><span>Bensaude-Vincent, Bernadette, « </span><em>Une science sous influence positiviste ? </em>», in<span> </span><em>Matière à penser : Essais d'histoire et de philosophie de la chimie</em>,<span> Nanterre : Presses universitaires de Paris Nanterre, 2008. (<a href="https://books.openedition.org/pupo/1308?lang=fr" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://books.openedition.org/pupo/1308?lang=fr</a>)</span></p>
<p><span>Lestel, Laurence, <i>Itinéraires de Chimistes, 1857-2007 : 150 ans de chimie en France</i>, éd. EDP Sciences, 2008.</span><span></span></p>
<p>Paul Langevin, « Hommage à Georges Urbain », in <em>La Pensée</em>, n°1 (avril-mai-juin), 1939, pp. 89-91. (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5818602k/f98.item" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5818602k/f98.item</a>)</p>
<p><span>José Manuel Claro-Gomes, </span>Georges Urbain (1872-1938) : chimie et philosophie<span>, 2003 (<a href="https://www.theses.fr/2003PA100165" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://www.theses.fr/2003PA100165</a>)</span></p>
Fiche Complète
Non
Créateur Fiche
Greber, Jules-Henri
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Urbain, Georges (1872-1938)