Ce qu’il faut pour philosopher
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Thèse - Objectif :
Montrer les confusions conceptuelles, méthodologiques et théoriques des entreprises philosophiques bâtardes qui visent à concilier les sciences, la métaphysique et la théologieAcculturation
École philosophique
PositivismeRéférence bibliographique
Balfour, Stewart et Tait, L'Univers invisible : études physiques sur un état futur, Paris, 1883, éd. G. Baillière
Commentaire référence bibliographique
Wyrouboff opère une étude critique de l'ouvrage de Balfour et Tait
Discute :
Balfour, Stewart et Tait, L'Univers invisible : études physiques sur un état futur, Paris, 1883, éd. G. Baillière
Commentaire Discute
Wyrouboff met en relief les erreurs conceptuelles et méthodologiques présentes dans l'ouvrage de Balfour et Tait :
« Les doctrines de MM; B. Stewart et Tait n'appartiennent à aucune de ces trois catégories, elles offrent un mélange incohérent de méthodes et par conséquent un inextricable tissu de contradctions. » (Wyrouboff (1883), p. 15)
Intervention citée
NonIntervention discutée
NonURL
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k779059/f4.image
Fiche complète
OuiCréateur de la fiche
Greber, Jules-HenriCe qu’il faut pour philosopher est le dixième article de fond en philosophie des sciences publié par Wyrouboff au sein de La Philosophie Positive. Parue en 1883 et motivée par la publication de L'Univers invisible : études physiques sur un état futur de Balfour et Tait, l’intervention du Chimiste-Philosophe a pour objectif de montrer les confusions conceptuelles, méthodologiques et théoriques des entreprises philosophiques bâtardes qui visent à concilier les sciences, la métaphysique et la théologie.