F. Mentré, Professeur à l'École des Roches : Cournot et la Renaissance du Probabilisme au XIXe siècle

Titre

F. Mentré, Professeur à l'École des Roches : Cournot et la Renaissance du Probabilisme au XIXe siècle

Auteur Intervention

Statut

Année de publication

Périodique de publication

Volume

61

Pagination

156-158

Type d'intervention

Théorie scientifique examinée

Thèse - Objectif :

Réaliser un compte-rendu de l'ouvrage de Mentré consacré à une présentation des principes fondamentaux et méthodologiques de la philosophie de Cournot (idée de hasard et d'ordre ; probabilité philosophique et mathématique ; rapport entre philosophie et science ; classification des sciences ; histoire des sciences)

Acculturation

Non

Référence bibliographique

  • Mentré, François, Cournot et la Renaissance du Probabilisme au XIXe siècle, Paris, Alcan 1909

  • Cournot

Intervention citée

Non

Intervention discutée

Non

URL

www.persee.fr/doc/phlou_0776-5541_1909_num_16_61_4235_t1_0156_0000_1

Créateur de la fiche

Greber, Jules-henri

F. Mentré, Professeur à l'École des Roches : Cournot et la Renaissance du Probabilisme au XIXe siècle est le premier compte-rendu en philosophie des sciences publié par Nicolas dans la Revue néo-scolastique. Parue en 1909, l'intervention a pour objectif de réaliser un compte-rendu de l'ouvrage de Mentré consacré à une présentation des principes fondamentaux et méthodologiques de la philosophie de Cournot (idée de hasard et d'ordre ; probabilité philosophique et mathématique ; rapport entre philosophie et science ; classification des sciences ; histoire des sciences). L'enjeu de l'ouvrage est de faire la preuve de la modernité des thèses et méthode de Cournot et de la nécessité de lire aujourd'hui les écrits du géomètre-philosophe :

« Cournot a été peu connu, presque méconnu. Il semble bénéficier d’un regain d’actualité. Selon M. Mentré, son insuccès résulte de ce que son œuvre mixte exige en quelque sorte une compétence double : elle est trop philosophique pour les spécialistes, trop scientifique pour des philosophes. Certes le volume considérable de M. Mentré contribuera à faire vivre le philosophe auquel il semble avoir voué un véritable culte, et chez lequel il a beaucoup à glaner. On admettra volontiers avec M. Mentré que Cournot a fait œuvre de bon ouvrir en philosophie. » (Nicolas (1909), p. 158)