Sur l’induction

Titre

Sur l’induction

Statut

Année de publication

Périodique de publication

Volume

10

Pagination

39-54

Type d'intervention

Champ Scientifique

Thèse - Objectif :

Traiter du fondement de l'induction (opération par laquelle nous passons de la connaissance des faits à celle des lois / nous passons du particulier au général)

Montrer que le fondement de l'induction est dans un certain rapport entre la pensée du chercheur et la nature

Acculturation

Non

Référence bibliographique

  • Comte, Cours de philosophie positive

  • Aristote

  • Mill, Stuart

  • Lachelier, Jules

  • Renouvier, Essai de critique générale

  • Cournot

  • Bacon

  • Rabier

  • Gergonne, Archives de l'Académie des Belles-Lettres, Bordeaux

  • Bernard, Claude

Commentaire référence bibliographique
  • Hamelin examine et discute la théorie de l'induction de Cournot selon laquelle le principe fondamental de l'induction repose sur des considérations de probabilité. L'auteur est conduit à examiner la théorie du hasard de Cournot et à chercher où peuvent être le hasard et la probabilité dont la théorie de l'induction a besoin :

    « Cournot a bien compris que le nerf, la raison, le moyen terme de l’induction, est dans certaines considérations de probabilité, dans l’impossibilité morale de mettre au compte du hasard des concordances significatives. Mais, tout en reconnaissant que sa théorie est suggestive et qu’il faut conserver quelque chose de l’esprit qui l’anime, nous avons beaucoup de réserves à faire. (…) » (Hamelin (1899), pp. 45-48)

  • Hamelin examine les différentes définitions ou remarques sur les fondements de l'induction de Comte, Aristote, Stuart Mill, Lachelier, Renouvier, Rabier, Bacon...

URL

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k255869x/f42.item

Créateur de la fiche

Greber, Jules-henri

Sur l’induction est le premier article de fond en philosophie des sciences publié par Hamelin dans L'Année philosophique. Parue en 1899, l'intervention a pour obejctif de montrer que le fondement de l'induction est dans un certain rapport entre la pensée du chercheur et la nature.