Philosophie scientifique, par H. Girard, Bruxelles, chez Macquardt. Bibliographie (La)
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Champ Scientifique
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Sous-Domaine disciplinaire
Thèse - Objectif :
Montrer la stérilité philosophique de l'ouvrage de GirardAcculturation
École philosophique
PositivismeRéférence bibliographique
Girard, H., La philosophie scientifique, Bruxelles, Macquardt, 1880
Vernier, « La Philosophie scientifique », in Le Temps, 16 décembre 1879
Commentaire référence bibliographique
Wyrouboff rappelle la critique adressée par Vernier à l'encontre de l'essai de Girard (http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k227863g/f1.item). Selon Vernier, il serait prématuré, du fait des transformations actuelles des sciences, de vouloir fonder une philosophie scientifique.
Discute :
Girard, H., La philosophie scientifique, Bruxelles, Macquardt, 1880
Commentaire Discute
Wyrouboff met en lumière la stérilité philosophique de l'ouvrage de Girard :
« Je lui dirai qu'il vient trop tard, que la philosophie scientifique est faite depuis longtemps, et faite de telle façon que les rapides progrès du savoir n'ont pu en modifier les bases. Refaire les travaux de M. Comte, sans les connaitre, revient à refaire les travaux de Newton comme s'ils n'existaient pas, (...)M. Girard classe les sciences en deux grands groupes : les sciences naturelles et les sciences sociales, les premières subdivisées en sciences naturelles prprement dites, et en sciences mathématiques. (...) Qu'est-ce qu'une pareille classification sinon un lieu commun sans aucune efficacité philosophique ? » (Wyrouboff (1880), p. 319)
Intervention citée
NonIntervention discutée
NonURL
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77895t/f318.image
Fiche complète
OuiCréateur de la fiche
Greber, Jules-HenriLa philosophie scientifique est le sixième compte-rendu en philosophie des sciences publié par Wyrouboff au sein de La Philosophie Positive. Parue en 1880, l'intervention du Chimiste-Philosophe est une critique de l'ouvrage de Girard. Tout en reconnaissant les qualités scientifiques de l'essai de Girard, Wyrouboff lui reproche sa stérilité philosophique et son retard sur le système positiviste.